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Le Blog d’Autour du 1er mai

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jeudi 14 mars 2024

Projections débat au Labo de l'ESS : Les Doléances (20 mars - 18h30)

Le Labo de l'ESS, l'Association des lecteurs d'Alternatives Économiques, le Pacte du Pouvoir de Vivre et le Labo de l'ESS vous convient à une soirée de projection-rencontre autour du film Les Doléances, un documentaire d'Hélène Desplanques.

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Les Doléances, Hélène Desplanques, 2024, 52 min
En 2019, pendant la crise des Gilets jaunes, Emmanuel Macron lançait l’ouverture du Grand débat national et enjoignait les maires à ouvrir un cahier de doléances dans leur municipalité.
Un exercice de démocratie directe qui n’avait pas été pratiqué depuis 1789 et qui fut un succès ! 19 899 cahiers, plus de 200 000 contributions rédigées à la main. Un trésor national… mais aussi une promesse démocratique non tenue : ces textes éminemment politiques n’ont jamais été publiés par les gouvernements successifs.
La réalisatrice, Hélène Desplanques, a enquêté pendant plus de deux ans dans les archives départementales pour consulter ces textes, retrouver leurs auteurs et autrices, et redonner une existence publique à ces doléances. Sur sa route, elle a croisé Fabrice Dalongeville, maire rural d’Auger-St-Vincent, dans l’Oise. Il avait lui-même ouvert un cahier dans sa commune. Il sait l’importance de ces textes, de cette expression politique rare, de ce corpus républicain au volume inédit, de ce sondage unique des aspirations des Françaises et Français.

La rencontre
Cette projection sera suivie d'un débat avec la réalisatrice Hélène Desplaques, Claire Thoury, Présidente du Mouvement Associatif, représentant le Pacte du Pouvoir de Vivre, Fabrice Dalongeville, maire d'Auger-Saint-Vincent et Igor Martinache. Cette séquence sera animée par Dorian Dreuil, de Démocratie ouverte, et co-auteur de « Rendez les doléances ».

Rendez-vous mercredi 20 mars à 18h30
Au Labo de l'ESS, 5 rue Las Cases
Entrée libre, inscription recommandée ici

vendredi 6 octobre 2023

Pétition de soutien pour le projet Territoire zéro chômeur de longue durée

Autour du 1er mai a réalisé un film sur le projet Territoire zéro chômeur de longue durée que vous connaissez peut-être : Travailler ensemble, en territoire zéro chômeur de longue durée. Parce que nous suivons toujours ce projet que nous n'avons pas envie de voir disparaître, mais au contraire plutôt essaimer, nous nous permettons de relayer aujourd’hui la pétition lancée afin que le budget alloué au projet en 2024 permette de continuer à le faire vivre et le développer.

La pétition est à retrouver ici.

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mardi 8 mars 2022

Rencontre à la librairie utopia : Économie sociale et solidaire, clé du monde de demain ?

Rencontre avec Sébastien Chaillou pour son livre Un Notre monde est possible (publication le 10 mars 2022) et Thierry Jantet pour son livre L'ESS: la clé des possibles (Ed. Les Petits matins, 2021).

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(Cliquer sur l'image pour l'agrandir)

Inscription pour assister à la rencontre sur place en cliquant ici.

Retransmission en direct via Zoom en cliquant ici (ID de réunion : 859 2266 7252).

Informations pratiques
Jeudi 17 mars 2022 à 18h30
à la libraire utopia
1 rue Frédéric Sauton
75005 Paris (M° Maubert)

Plus d'informations sur le site de la librairie utopia

lundi 14 février 2022

L’Art Est Public : mobilisation pour une culture de la diversité et de la solidarité

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Alors que s’ouvre la période des élections présidentielle et législatives jusqu’à juin 2022, l’UFISC et ses organisations membres prennent l’initiative de relancer la dynamique L’Art Est Public et d’appeler à la mobilisation culturelle.

Dans cette période de crises sanitaires, climatiques, sociales, politiques… il nous faut nous interroger sur comment tisser autrement nos rapports au monde et aux autres, faire solidarité. Et pour cela, la culture joue un rôle fondamental dans les transformations écologiques, politiques, économiques, sociales à venir.

Parce que la culture est plus que jamais un enjeu essentiel, nous appelons à réunir « 500 signatures pour la culture » ! Élues et élus, candidates et candidats sont invité·e·s à signer l’appel L’Art Est Public pour plus de liberté, d’égalité et de fraternité par la culture.

Avec cette campagne, les actrices et les acteurs culturel·le·s souhaitent défendre la possibilité d'une voie culturelle et solidaire. Une voie qui porte des changements profonds, des transformations culturelles et qui accompagne de nouvelles capacités individuelles et collectives vers plus d'émancipation et une exigence démocratique renouvelée.

>> Téléchargez et diffusez l'appel à signature !

L'UFISC propose des mesures simples et directes pour une nouvelle dynamique culturelle, une ambition artistique, démocratique et solidaire :

- des politiques plus transversales et plus souples qui organisent une relation de confiance avec les acteur·ice·s artistiques et culturel·le·s, et qui soutiennent la diversité des initiatives citoyennes ;

- des aides directes à l’emploi qui permettent le fonctionnement des structures et des politiques qui viennent soutenir directement les plus fragiles, d’autant plus dans ce contexte de crise ;

- des politiques d’avenir qui accompagnent des démarches de transition ancrées dans le développement des coopérations, des droits humains, de l’écologie ;

- des espaces de dialogue, de concertation et de mise en œuvre de politiques renouvelées.

> Retrouvez le détail de ces propositions sur le site.

Rejoignez la mobilisation #LArtEstPublic!

Téléchargez le kit de mobilisation.

mardi 19 janvier 2021

Rencontre autour de la plateforme Solidarités créatives - 23 janvier de 14h30 à 16h.

Autour du 1er mai participe à la plateforme Solidarités créatives, qui s'adresse aux acteurs et habitants du 11ème arrondissement de Paris, engagés pour une société plus juste et écologiquement responsable. Les membres de la plateforme vous invitent à une rencontre, virtuelle, le samedi 23 janvier de 14h30 à 16h00, pour faire connaissance, échanger, et éventuellement nous rejoindre !

La plateforme Solidarités Créatives 11e s'adresse aux acteurs et habitants du 11ème, engagés pour une société plus juste et écologiquement responsable, qui souhaitent s'entraider et développer des coopérations entre eux dans le respect d'une charte de valeurs communes. N'hésitez pas à nous rejoindre !

Elle est aussi un espace pour "se rencontrer " (on espère physiquement pour bientôt !) : tisser des liens, voir les complémentarités, mutualiser des ressources, s'inspirer des projets des uns et des autres, inventer des actions communes.

Nous vous invitons à la 2ème Visio Rencontre Solidarités Créatives 11 qui a lieu le samedi 23 Janvier 2021 de 14h30 à 16h au cours de laquelle il s'agira de :

  • Faire connaissance, au travers notamment de vos aspirations et projets pour 2021
  • Voir les synergies possibles et inventer les formes concrètes qu'elles pourraient prendre dans le 11ème.

Voici le lien qui vous permettra d'y accéder :

Sujet : Visio Rencontres Solidarités créatives 11
Heure : 23 janv. 2021 02:30 PM Paris
Participer à la réunion Zoom : https://us02web.zoom.us/j/86043169208?pwd=cmhZcHVURFhLWGpKdEVzNmtoQ21hdz09

vendredi 9 octobre 2020

Appel à communication "Archives en mouvement : les 20 ans du CODHOS"

Depuis la création en 2001 du Collectif des centres de documentation en histoire ouvrière et sociale (CODHOS), les sources de l’histoire sociale se sont extraordinairement élargies en changeant de nature et de support.

Parallèlement à la production de nouvelles archives, notamment numériques, de nouvelles formes de mobilisations viennent bousculer les organisations ouvrières, syndicales et politiques au sein desquelles persistent néanmoins les modes traditionnels d’expression et d’intervention publique.

Ces évolutions importantes, dont les prodromes se situent dans l'après-68, se sont manifestées à l'orée des années 1980 en s’accélérant dans la période 1995-2001. Elles ont complètement bouleversé la manière d'interroger et d'analyser le champ de l'histoire ouvrière et sociale par les chercheur·e·s (historien·ne·s, sociologues, politistes, économistes, etc.) et obligé les archivistes à de nouvelles politiques et techniques de collecte, de conservation et de valorisation des fonds. L'incidence première s'est traduite dans le champ sémantique par l’évolution, voire la substitution, des terminologies : « histoire du mouvement ouvrier » vers « histoire sociale », « histoire des mouvements sociaux » vers « histoire populaire ». Dans le domaine de l’archivistique et de la conservation documentaire, le changement principal concerne ces documents nativement numériques, désormais incontournables. Les données du web et les réseaux sociaux sont devenus des sources primaires au même titre que les « archives traditionnelles » (archives papier, orales, audiovisuelles). Les campagnes de numérisation de fonds d’archives se sont également multipliées, souvent dans le cadre de projets collectifs, nationaux ou internationaux qui produisent des données de la recherche rendues accessibles au grand public.

Le développement et la progressive professionnalisation des centres d’archives et de documentation « militants » (liés par exemple à des partis ou à des syndicats) est aussi à souligner. Aux archives de la répression (archives de police en particulier) largement mobilisées autrefois par les historien·ne·s du social et aux « archives pour la recherche » collectées et mises à disposition par les établissements universitaires, s’ajoutent désormais celles traitées et valorisées par les services d'archives des producteurs eux-mêmes.

À l'occasion de son vingtième anniversaire, le CODHOS, dont les membres vivent et accompagnent au quotidien ces bouleversements, organise deux journées d’études pluridisciplinaires autour des sources de l’histoire sociale. Elles seront l’occasion de poursuivre les missions qu'il s'est fixées lors de sa création : organiser et favoriser les rencontres et les échanges entre chercheur·e·s en sciences sociales et archivistes, bibliothécaires, documentalistes et autres professionnel·le·s de la conservation, sur cette relation entre l’événement social et historique, l’archive produite et l’utilisation qui en est faite.

Il sera demandé aux intervenant·e·s d’entreprendre une démarche réflexive sur leur « pratique des archives » afin de répondre à un certain nombre de questions. Quelles opportunités de recherches le foisonnement de nouvelles sources a-t-il permis et favorisé ? Dans quelle mesure ces archives mises à disposition, ainsi que les outils innovants développés pour les signaler et les mobiliser, ont-ils contribué au renouvellement des questionnements et objets de recherche ? Ces mutations ont-elles participé, et de quelle manière, au décloisonnement des disciplines ? L’accès à des «  archives inédites » (notamment nées numériques) a-t-il modifié le regard porté sur les mouvements sociaux qui les produisent et plus largement sur le monde militant ? La difficulté d’accès à certaines sources, voire leur absence, seront également interrogées, de même que la surabondance de données disponibles sur Internet qui, non traitées ou mal référencées, ont pu impacter travaux des chercher.e.s.

Comment les professionnel·le·s qui travaillent dans des institutions publiques et privées ont-il·elle·s pris en compte ces évolutions ? Comment relèvent-t-il·elle·s les défis qu’elles impliquent ? Comment établissent-il·elle·s leurs priorités ? Quels dialogues ont-il·elle·s noué avec les producteur·rice·s de ces archives (militant·e·s politiques, syndicaux et associatifs, entre autres), les chercheur·e·s et les autres publics (journalistes, écrivain·ne·s, documentaristes, particuliers passionnés d’histoire) autour de ces problématiques ? Ils ou elles pourront étayer leurs réflexions sur la collecte, le traitement et la mise à disposition des sources d’histoire sociale en présentant des travaux et projets à partir de fonds concernés par les thématiques choisies et au-delà.

Sous forme de tables rondes, professionnel·le·s et usager·ère·s des archives seront invité·e·s à échanger sur ces questions à partir de sources relevant de quatre thématiques « emblématiques » pour l’histoire ouvrière et sociale qui ont suscité ces dernières années des travaux novateurs :

1- le travail (conditions de travail et santé, désindustrialisation, environnement, genre, précarisation, etc.)
2- le cadre de vie (logement, éducation, temps libre, protection sociale, etc.)
3- les mobilisations (luttes syndicales, le rapport au politique, nouvelles formes de mobilisation notamment les ZAD, Nuits debout, les Gilets jaunes, #metoo, etc.)
4- l’international (circulation des personnes et des idées, migrations, solidarités, globalisation, etc.).

Modalités de proposition
Les propositions de communication, rédigées en français ou en anglais, devront comporter un titre et un bref résumé de la communication (5 000 caractères espaces compris). Elles seront envoyées au plus tard 1er décembre 2020 à l’adresse suivante : a.mazet@ihs.cgt.fr

Comité scientifique :
Barbara Bonazzi (Centre d’histoire sociale des mondes contemporains, CNRS), Virginie Hébrard (Bibliothèque d’histoire sociale La Souvarine, AD 92), Ioanna Kasapi (Cité des Mémoires étudiantes), Eric Lafon (Musée de l’histoire vivante), Jean-Philippe Legois (Cité des Mémoires étudiantes), Stéphanie Legrand (Autour du 1er mai), Aurélie Mazet (Institut CGT d’histoire sociale), Thierry Mérel (Fondation Jean-Jaurès), Anne-Marie Pavillard (Archives du féminisme), Tatiana Sagatni (Institut CGT d’histoire sociale Mines-Énergie), Hèlene Saudrais (Archives CFDT), Rossana Vaccaro (GED-Campus Condorcet), Franck Veyron (La Contemporaine).

Partenariats (liste non définitive): 

  • Archives CFDT
  • Centre d’histoire sociale des mondes contemporains (Université Paris 1/CNRS)
  • Fondations Jean-Jaurès
  • Grand équipement documentaire (GED) - Campus Condorcet

Lieu 

  • Auditorium du Centre des Colloques du Campus Condorcet, Place du Front Populaire 93322 Aubervilliers

Dates :

  • 10-11 juin 2021

Contacts :

  • Rossana VACCARO, coordinatrice des référents, Service Soutien à la recherche et à l'innovation, GED-Campus Condorcet/CHS - rossana.vaccaro@campus-condorcet.fr
  • Aurélie MAZET, responsable des archives confédérales à l’IHS CGT - a.mazet@ihs.cgt.fr

mardi 16 juin 2020

Visio-rencontre avec Didier Fassin : COVID19 - Pauvres & racisés, la double peine ? (mercredi 17 juin)

La Ligue des droits de l'Homme Paris 10/11 vous propose une visio-rencontre avec Didier Fassin, anthropologue, sociologue et médecin : COVID19 - Pauvres & racisés, la double peine ?, le mercredi 17 juin 2020 à 20h00.

La crise sanitaire a été un révélateur de plus de l'abandon des minorités racisées. Malgré l'absence de statistiques ethniques, on constate que ce sont ces populations qui paient le plus lourd tribut à la crise. Conséquence d'un racisme systémique ?

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Didier Fassin est directeur d’études à l’EHESS et professeur à Princeton University. Titulaire de la chaire annuelle de santé publique au Collège de France, sa leçon inaugurale était intitulée L’inégalité des vies. Ses derniers livres sont La Vie. Mode d’emploi critique (Seuil, 2018) et Mort d’un voyageur. Une contre-enquête (Seuil, 2020).

Pour accéder à la visio-rencontre, le 17 juin à 20h00, contactez : paris.10.11(arobase)ldh-france.org

lundi 9 mars 2020

Et si on sortait du milieu des convaincus pour parler d'écologie ? Projection au Labo de l'ESS (10 mars 2020 - 19h00)

Le Labo de l’ESS vous propose de découvrir en avant-première les extraits du documentaire Douce France, un film réalisé par Geoffrey Couanon qui rend compte de l’enquête menée par des lycéens de Seine-Saint-Denis sur Europacity, le projet de centre commercial et parc de loisirs abandonné en novembre dernier en raison notamment de son impact écologique.

Au cours de la soirée, plusieurs extraits du documentaire, qui devrait sortir prochainement, vous seront projetés, afin de réfléchir ensemble au rôle que l'on peut avoir sur notre territoire.

La projection sera suivie d’un débat avec :

  • Geoffrey Couanon, réalisateur
  • Cyril de Koning, chargé de développement du groupement CARMA, projet alternatif à Europacity

Cette rencontre s’inscrit dans le cadre de l’étude-action "Agir contre la précarité alimentaire en favorisant l'accès pour tous à une alimentation de qualité" lancée par le Labo de l’ESS en juin 2019 et dont vous trouverez une présentation succincte ici.

RDV le 10 mars 2020 à 19h00
Au Labo de l'ESS, 5, rue Las Cases – 75007 Paris
Inscriptions ici

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vendredi 27 septembre 2019

15ème édition du festival Sciences en bobines (27 septembre - 24 octobre)

''Les savoirs scientifiques et techniques ne sont pas neutres. Ils sont construits par les hommes et sont soumis, comme toute création humaine, à des enjeux politiques, économiques et sociaux. Ainsi, ceux qui affirment que les sciences sont « naturellement » porteuses de bonheur et de progrès ne visent qu’à museler la critique et à conforter leur propre pouvoir. Les crises et les scandales sanitaires, écologiques, économiques et humanitaires qui se multiplient révèlent le visage d’une science soumise aux intérêts des lobbys industriels et financiers. Sciences Citoyennes juge essentiel de mettre en évidence une autre approche : celle d’une recherche désireuse d’affronter les grands défis de nos sociétés, de dialoguer avec des savoirs autrefois dévalorisés, celle de citoyens qui revendiquent leur droit à participer aux choix scientifiques et technologiques qui conditionnent leur avenir.''

Sciences Citoyennes vous invite à participer aux projections-débats du festival Sciences en Bobines qui se déroulera du 27 septembre au 24 octobre 2019.

Le festival Sciences en Bobines propose une riche palette de films critiques et militants, suivis de débats pour que le dialogue s’engage entre chercheurs et citoyens dans le but de privilégier le bien commun… pour des futurs meilleurs !

  • Thématiques au programme cette année :

Agroécologie et biodiversité, lanceurs d'alerte et expertise, chronotopie et modes d'organisation, santé et modes de vie, climat et géo-ingénierie, environnement et pollution, Tchernobyl et Fukushima, téléphonie mobile et ondes électromagnétiques, logiciels libres et sécurité... parmi d'autres thèmes que nous vous proposons d'explorer.

  • 28 projections-débats dans 21 villes de France et du Québec :

Aix-les-Bains (73), Albi (81), Angoulême (16), Annecy (74), Annemasse (74), Avignon (84), Bures-sur-Yvette (91), Castres (81), Chaussy (95), Chertsey (Québec), Grenoble (38), Le Touquet (62), Mâcon (71), Montreuil (93), Nantes (44), Orsay (91), Palaiseau (91), Paris (75), Ruelle-sur-Touvre (16), Saint-Ouen-l’Aumône (95) et Thonon-les-Bains (74).

Avec la participation d'Arthur Rifflet, Bernard Laponche, Brigitte Lerendu, Catherine Guéneau, Cyril Fiorini, François Jacquemain, François Zaïdi, Gérard Leblanc, Isabelle Goldringer, Jacqueline Collard, Kevin Jean, Kevin Morel, Klaus Scheidsteiger, Louis Adrien Delarue, Marie Ghis-Malfilatre, Marie-Claude Juneau, Marie-France Hébrard, Marie-Monique Robin, Marine Masquier, Maxime de Rostolan, Patrice Goyaud, Patricia Brousseau, Patricia Kasperet, Philippe Borrel, Pierre-Marie Hébrard, Pierre-Marie Théveniaud, Richard Faitg, Sophie Pelletier et Yves Lenoir

Ce festival est organisé avec le soutien financier de la Fondation Charles Léopold Mayer, en partenariat avec Sciences Critiques et S!lence,
et les organisations suivantes : 4D Isère, ACRO, Alternatiba Grenoble, les Amis du monde diplomatique, ATTAC, Autour du 1er mai, Beaux-Arts de Nantes, Cinémas Utopia, E3M, Éco-Pertica, Écocampus ENS, Électrosensibles de France / Priartem, Enfants de Tchernobyl Belarus, FNEB, Générations Futures, Global Chance, Inf’OGM Ingénieurs sans Frontières, La Base, LDH, Municipalité de Chertsey, Nature et Progrès, Petits Débrouillards, Peuple et Culture Corrèze, PiNG, Réseau Environnement Santé, Réseau Sortir du nucléaire, Robin des toits, Santé-Environnement en Rhône-Alpes et Sud-recherche EPST.

Programme complet, détails pratiques, bandes-annonces, etc. sur le site web du festival : https://sciencesenbobines.org

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mercredi 22 mai 2019

Projection - rencontre "Fukushima, le couvercle du soleil" ( 6 juin - Paris)

Dans le cadre de la fête du développement durable et du vélo, la Mairie du 11ème arrondissement de Paris vous convie à une projection-rencontre du film Fukushima, le couvercle du soleil, de Futoshi Sato, suivie d'une rencontre avec Kolin Kobayashi, journaliste indépendant et écrivain, spécialiste des questions nucléaires et Charlotte Mijeon, attachée de communication du Réseau Sortir du nucléaire.

Le 11 mars 2011, le Japon est secoué par un séisme, suivi d’un tsunami et de la triple catastrophe nucléaire de Fukushima. L’équipe du Premier ministre, Naoto Kan, tente de faire face à cette situation. Que s’est-il passé réellement à la résidence du Premier ministre au moment de la pire crise de l’histoire du pays ? La vérité a-t-elle été entièrement révélée ?

Rendez-vous le 6 juin 2019 à 18h30
À la salle Olympe de Gouges, 15 rue Merlin, Paris 11
Inscription ici

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jeudi 7 février 2019

Participez au Pacte pour la transition !

Depuis le 31 janvier dernier, Autour du 1er mai est membre du Collectif pour une transition citoyenne : un collectif de 26 structures qui œuvrent ensemble pour une société plus juste, durable et solidaire. Parmi les projets de ce collectif, il y a bien sûr la Fête des possibles, à laquelle nous avons participé l'année dernière, mais aussi le Pacte pour la transition, pour lequel vous êtes invités à vous exprimer.

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Le Pacte pour la Transition vise à proposer des mesures concrètes pour construire des communes plus écologiques, plus solidaires et plus démocratiques en vue des élections municipales de 2020. Impulsé par le Collectif pour une transition citoyenne en partenariat avec de nombreuses organisations (Emmaüs, Enercoop, La Nef, Greenpeace...), le Pacte pour la Transition fait l’objet d’une large consultation citoyenne du 30 janvier au 28 février.

Une fois les priorités établies, il sera porté par des groupes de citoyen.nes auprès des candidat.e.s aux élections municipales. Les citoyen.e.s pourront ensuite suivre et accompagner les municipalités dans la mise en œuvre des engagements pris, tout au long des mandats.

Donnez votre avis sur les mesures du Pacte ici.
Et pour tout savoir sur ce projet, découvrez sa présentation complète !

mercredi 19 septembre 2018

Sixième appel à projet Frontières pour une résidence de réalisation au Musée de l'histoire de l'immigration (avant le 26 octobre)

Le Grec et le Musée national de l’histoire de l’immigration lancent un sixième appel à projet pour une résidence de réalisation d'un premier ou deuxième court métrage. Cette résidence de réalisation s’inscrit dans la volonté commune au Grec et à l’Établissement public du Palais de la Porte Dorée de favoriser et valoriser des projets artistiques audacieux et innovants sur la thématique de l’immigration en s’appuyant sur l’offre patrimoniale, muséale, documentaire, scientifique et culturelle du Musée national de l’histoire de l’immigration.

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Cette résidence vise à soutenir un/e réalisateur/trice dans le développement d'un projet de court-métrage jusqu'à sa réalisation en lui octroyant une bourse pendant 6 mois. Le film réalisé dans le cadre de la résidence est produit par le Grec.

Le film réalisé sera proposé aux différents circuits de diffusion du Grec (festivals, projections en salles, Agence du court métrage, Forum des images, TV, web...) et intégré au catalogue de la Médiathèque du Musée national de l'histoire de l'immigration.

Peut être candidat/e tout/e réalisateur/trice pour lequel /laquelle le film de la résidence sera un premier ou un deuxième film de court métrage (hors films d'école ou films auto-produits).

La résidence

  • La résidence se déroulera du 7 janvier au 5 juillet 2019.
  • Le/la résident/e doit assurer une présence au Musée cinq jours par mois selon un calendrier défini avec l’équipe de la médiathèque du Musée.
  • Le/la résident/e doit produire un carnet de résidence en ligne (vidéos, textes, images, enregistrements) afin de présenter régulièrement l’avancée de son projet diffusé sur les sites Internet du Grec et du Musée. Il/elle organise deux rencontres au Musée avec les invités de son choix (artistes, écrivains, réalisateurs, musiciens, historiens, scientifiques) autour du projet de résidence et propose aussi des ateliers au sein du Musée.

Calendrier de l'appel à projets

  • Date limite de dépôt des dossiers : vendredi 26 octobre 2018 (cachet de la poste faisant foi).
  • Annonce d’une quinzaine de projets présélectionnés sur le site du Grec : fin novembre 2018.
  • Annonce des candidats sélectionnés pour un entretien sur les sites du Grec et du Musée national de l’histoire de l’immigration : semaine du 10 décembre 2018.
  • Entretiens avec le jury au Musée: entre le 17 et le 21 décembre 2018 (ces dates seront confirmées ultérieurement).
  • Les candidats sélectionnés pour rencontrer le jury doivent se rendre disponible entre le 17 et le 21 décembre 2018 (ces dates seront confirmées ultérieurement).
  • Annonce du lauréat sur les sites du Grec et du Musée : 21 décembre au plus tard.

Slimane Dazi - Parrain de la résidence 2019

Cinéphile depuis tout petit, Slimane Dazi a approché pour la première fois le monde du cinéma en réservant les emplacements dans les rues pour les camions de tournage. Aujourd’hui acteur à temps complet, il est à l’époque "ventouseur" au sein de la société qu’il a montée avec son frère. Avant, il a écumé les marchés à vendre pulls, fins de série, fruits et légumes, avec ses potes manouches. Après, il a fait le chauffeur pour des maisons de disques, à trimballer des artistes en promo. À 42 ans, il devient acteur et joue, entre autres, dans Un prophète de Jacques Audiard, The Forbidden Room de Guy Maddin ou Rengaine de Rachid Djaïdani. En 2018, il publie son roman autobiographique Indigène de la nation (Editions Don Quichote / Le Seuil).

Toutes les informations et le dossier d'inscription, ici.


Les résidences précédentes :

jeudi 18 janvier 2018

La Bergerie fait son cinéma ! Première séance d'un nouveau cycle de projections à la Bergerie de Villarceaux

La Bergerie de Villarceaux ouvre un nouveau cycle de projections-rencontres, pour s'interroger sur les questions de science, d'agriculture durable, d'alimentation, d'environnement, d'énergie, d'économie sociale et solidaire. Nous sommes heureux de pouvoir accompagner ce nouveau cycle de projections, avec des conseils de films, et en le relayant auprès de vous !

La première séance se tiendra le 2 février à 19h30, avec la projection du film En quête de sens, de Nathanaël Coste et Marc de la Mernardière.

Équipés d’une petite caméra et d’un micro, deux amis cherchent à comprendre ce qui a conduit aux crises actuelles et d’où pourrait venir le changement. De l’Inde au Guatemala en passant par San Francisco et l’Ardèche, c’est toute leur vision du monde qui va être ébranlée…
Tissé autour de témoignages authentiques, de doutes et de joies, leur voyage initiatique est une invitation à reconsidérer notre rapport à la nature, au bonheur et au sens de la vie. 87 minutes pour reprendre confiance dans notre capacité à porter le changement en nous-même, et dans la société.

Toutes les informations concernant cette projection sont à retrouver sur cette affiche ! bergerie_enquetedesens.png

lundi 25 septembre 2017

Cinquième appel à projet Frontières pour une résidence de réalisation au Musée de l'histoire de l'immigration (avant le 27 octobre)

Le Musée de l'histoire de l'immigration lance l'appel à projet Frontières. Cette résidence de réalisation s’inscrit dans la volonté commune au Grec et à l’Établissement public du Palais de la Porte Dorée de favoriser et valoriser des projets artistiques audacieux et innovants sur la thématique de l’immigration en s’appuyant sur l’offre patrimoniale, muséale, documentaire, scientifique et culturelle du Musée national de l’histoire de l’immigration.

Cette résidence vise à soutenir un réalisateur/trice dans le développement d'un projet de court-métrage jusqu'à sa production en lui octroyant une bourse pendant 6 mois.

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Durant six mois le /la résident/e s’engage à :

  • Finaliser l’écriture, préparer et réaliser un court métrage autour des thèmes des migrations et de l’exil. Fiction, documentaire, animation, expérimental, film d’art, webdocumentaire, etc. sont acceptés.
  • Concevoir et mettre en œuvre des animations et rencontres à destination des publics du Musée :
  • Concevoir et animer des ateliers pour les publics du Musée à raison de deux séances (de deux ou quatre heures selon la nature des ateliers) par mois, de janvier à mars 2018.
  • Organiser trois événements autour de la résidence et plus précisément :
    • Une présentation illustrée du projet de résidence à l’occasion de son lancement (9 janvier 2018)
    • Une projection-rencontre construite autour d’un programme de courts métrages choisis par le résident pour leur pertinence au regard du projet développé dans le cadre de la résidence et accompagnée d’une discussion avec des invités de son choix (artistes, écrivains, réalisateurs, musiciens, historiens, scientifiques, etc.) (13 mars 2018)
    • Une présentation du projet en cours après 4 mois de résidence à l’occasion d’une séance de "Ciné-midi".
  • Produire un carnet de résidence en ligne, par exemple sous la forme d’un blog (textes, images, enregistrements sonores, vidéos, etc.) afin de présenter régulièrement (deux fois par mois minimum) l’avancée de son projet.

Cette résidence peut bénéficier de l’aide de la Sacem à la création de musique originale si celle-ci participe pleinement du projet et constitue une part intégrante du film.

Le film réalisé sera proposé aux différents circuits de diffusion du Grec (festivals, projections en salles, Agence du court métrage, Forum des images, télévisions, web...) et intégré au catalogue de la médiathèque du Musée national de l’histoire de l’immigration.

Calendrier

  • Date limite de candidature : vendredi 27 octobre 2017
  • Annonce des candidats présélectionnés : semaine du 11 décembre
  • Entretiens avec les candidats présélectionnés : semaine du 18 décembre
  • Soirée de lancement de la résidence 2018 et restitution de la résidence 2017 : mardi 9 janvier 2018
  • Résidence du 02 janvier au 29 juin 2018

Plus d'information ici.
Et le dossier d'inscription est à télécharger .


Les résidences précédentes :

mardi 23 mai 2017

Filmer Calais : Projections-rencontres au Musée national de l'histoire de l'immigration

Le Musée national de l'histoire de l'immigration, dans le cadre de la résidence Frontières, en partenariat avec le GREC, vous propose une soirée de projections-rencontres autour du thème "Filmer Calais" : plusieurs jeunes réalisateurs et une journaliste calaisienne seront présents pour échanger avec le réalisateur en résidence Ivan Castineiras... Rendez-vous mardi 6 juin à 19h30.

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De l'appel des cinéastes en initiatives individuelles, de documentaire en fiction, Calais ville "jungle" s'impose sur tous les écrans. Que veut dire aujourd'hui filmer Calais ? Cette séance sera l'occasion de voir ou revoir des films qui ont changé nos regards et d'échanger avec celles et ceux qui les ont faits. Nous irons aussi voir "de l'autre coté", coté Anglais, avec le jeune cinéaste Iván Castiñeiras, lauréat 2017 de la résidence Frontières.

Au programme des projections :

  • Border, de Laura Waddington, France, 2004, documentaire, 27 min
  • Un autre jour en France, de Jean-Gabriel Périot, France, 2016, documentaire, 1min51
  • Les corps interdits, de Jérémie Reichenbach, France, 2016, documentaire, 12 min
  • Sur la route, d'Annabelle Amoros, France, 2017, documentaire, 17 min

La soirée sera animée par Chloé Tisserand, journaliste et Stéphanie Alexandre chargée de la programmation cinéma du MNHI en présence de Ivan Castineiras, Annabelle Amoros et Jérémie Reichenbach, réalisateurs.

Rendez-vous mardi 6 juin à 19h30
Au Palais de la Porte Dorée, Auditorium Philippe Dewitte
Plus de renseignements ici

mercredi 5 avril 2017

Emmanuelle Riva, c'est ton nom - projection du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir (11 avril, Paris)

Le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir et le Forum des Images vous proposent de venir découvrir le film Emmanuelle Riva, c'est ton nom, de Michelle Porte.

Emmanuelle Riva, c'est ton nom

Emmanuelle Riva se raconte avec une vivacité et un enthousiasme contagieux. La seule force de son éloquence, soutenue par quelques photos et des entretiens, fait resurgir une vie dédiée à la passion du métier de comédienne. Son goût pour le métier lui est venu toute jeune avec le plaisir des mots et du jeu "Je quittais terre quand je lisais pour la classe". Emmanuelle Riva décrit cet état de stupeur qui propulse hors de soi et se remémore ses débuts au théâtre et ses rôles au cinéma.


La projection sera suivie d'une rencontre avec Michelle Porte, réalisatrice du film.

Rendez-vous mardi 11 avril à 21h00
Au Forum des images
Pour plus de renseignements, rendez-vous ici !_

mardi 28 mars 2017

Communiqué de la Boucle documentaire : DE L’URGENCE D’UNE POLITIQUE CULTURELLE AMBITIEUSE

Nous relayons un communiqué de la Boucle documentaire, qui regroupe des associations d’auteur-e-s-réalisateur-rice-s nationales et régionales.


En ces temps de promesses et de constructions des politiques culturelles à venir, nous souhaitons partager nos vives inquiétudes, à l’endroit qui est le nôtre, celui des auteurs(es) et réalisateurs(trices) de documentaires de création.

Les deux piliers qui ont structuré la politique culturelle depuis André Malraux, sont : la diversité des formes et l’accès de tous à cette diversité. Mais dans le domaine de la télévision et du cinéma, depuis quelques années, le marché dicte l’accès et impose une uniformité des contenus. Si la création repose sur une économie, elle ne peut pas uniquement répondre aux principes qui régissent la majorité des secteurs, ceux de l’offre et de la demande. Car la culture n’est pas une activité économique comme les autres.

Nous craignons, en l’absence d’un engagement fort et lisible en matière de politique culturelle, une abdication des pouvoirs publics face aux lois du marché. C’est pourquoi nous appelons les candidats aux futures élections à préciser leurs projets.

La circulation des images est au cœur de tous les mouvements d’opinions, de toutes les stratégies politiques, de tous les événements de la vie sociale, qu’ils soient locaux ou internationaux. Les pouvoirs publics ne peuvent pas faire l’économie d’une réflexion responsable sur la production des images et leur diffusion.

Le documentaire de création est l’art du lien, de la rencontre, d’un regard ouvert et complexe sur le monde qui donne la parole aux autres, qui offre une diversité de récits et de représentations. Les spectateurs ne s’y trompent pas, tant l’intérêt est croissant pour les films documentaires diffusés dans les festivals, au cinéma, à la télévision et sur internet. Or, au regard de l’intérêt général pour le genre, l’économie du documentaire de création est trop fragile et sa diffusion, trop limitée. Il nous apparaît donc vital de renforcer la politique de soutien à son endroit, au nom de la mission de service public confiée à l’Etat par les citoyens.

Ainsi, l’Etat doit se préoccuper davantage de la diffusion des œuvres, seule façon de pérenniser son engagement dans la création. Il est aujourd’hui indispensable de redéfinir les objectifs de la politique culturelle de manière globale, par la nécessaire articulation de tous les champs d’intervention publique, de l’écriture à la diffusion.

Cette redéfinition de la politique culturelle est d’autant plus urgente que les usages numériques modifient déjà profondément le rapport des spectateurs aux œuvres. Le monde que l’on qualifie de « virtuel » est économiquement bien réel, et ses acteurs n’ont donc aucune raison d’échapper aux règles fiscales et à la nécessaire contribution de l’ensemble des diffuseurs d’œuvres au financement de la création. L’Etat doit également accompagner la révolution numérique par des régulations garantissant l’accès à la diversité des œuvres sur internet.

Construire la politique culturelle de demain, c’est de ce fait choisir entre laisser faire le marché et ceux qui en tiennent les rênes, ou proposer une pensée en actes pour retisser le lien entre les citoyens.

Nous, auteurs(es) réalisateurs(trices) de documentaires de création, sommes à l’endroit de la transversalité, présents à toutes les étapes de la vie des œuvres. Nous en appelons aux forces politiques qui se présentent aujourd’hui devant les Français. Le Ministère de la culture devra prendre une place centrale dans le nouveau quinquennat qui s’ouvrira en 2017. Nous y serons vigilants, et sommes disponibles pour œuvrer ensemble à redéfinir les fondements d’une politique culturelle humaniste et tournée vers l’avenir.

Les auteurs(es)-réalisateurs(trices) de « La Boucle documentaire »

« La Boucle Documentaire » est un réseau de 14 organisations d’auteurs-réalisateurs, structurées au niveau national et régional. AARSE (Association des Auteurs Réalisateurs du Sud-Est – Provence-Alpes-Côte d’Azur)
ACID (Association du Cinéma Indépendant pour sa Diffusion)
ADDOC (Association des cinéastes documentaristes)
ALRT (Association Ligérienne des Réalisateurs et Techniciens – Pays de la Loire)
ARBRE (Auteurs Réalisateurs en Bretagne)
ATIS (Auteurs de l’Image et du Son en Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes)
APARR (Association des Professionnels Audiovisuel Rhin-Rhône – Bourgogne-Franche-Comté)
Le Plateau (Association des cinéastes, auteurs et réalisateurs de l’image et du son en Auvergne)
Les Petites Caméras (Association de Cinéastes en Bourgogne)
REAL (Association des Réalisateurs, Expérimentateurs et Auteurs en Languedoc-Roussillon)
SAFIRE (Société des Auteurs de Films Indépendants en Région Est)
SAFIR Haut de France (Société des Auteurs de Films Indépendants en Région – Hauts-de-France)
SFR-CGT (Syndicat Français des Réalisateurs)
SRF (Société des Réalisateurs de Films)



Contacts pour le réseau :
Addoc / SRF – 14 rue Alexandre Parodi – 75010 Paris
Charlotte Grosse (Addoc) 01 44 89 99 88 / courrier@addoc.net
Bénédicte Hazé (SRF) 01 44 89 99 70 / bhaze@la-srf.fr

jeudi 23 février 2017

Documentaire sur grand écran publie une lettre ouverte au CNC

Lettre ouverte à Frédérique Bredin, présidente du CNC

QUE VIVE LE DOCUMENTAIRE SUR GRAND ECRAN !

A sa création en 1992, Documentaire sur grand écran (DSGE) se donnait pour mission l’aide au retour du cinéma documentaire en salles. Aujourd’hui, après des années d’un travail de distribution et de diffusion, c’est près d’une centaine de films documentaires qui sortent en salles chaque année. Pour autant rien n’est acquis, et le grand écran reste un enjeu essentiel pour la rencontre des films documentaires avec les publics.

C’est dans ce contexte que Documentaire sur grand écran a -plus que jamais- un rôle essentiel à jouer. Tant par le travail d’accompagnement de nouveaux films, par la sortie des documentaires de patrimoine, par le travail de formation de programmateurs ou d’exploitants. DSGE continue d’assurer le lien indispensable entre les auteurs, l’histoire du genre et le public en salles. Tous les professionnels le savent : la distribution et l’exploitation en salles d’un film documentaire se travaillent toujours d’une façon singulière et l’accompagnement du film est la clé de la réussite de sa sortie.

Or, depuis un an, notre principal financeur, le CNC, nous exhorte à mutualiser nos activités avec diverses associations actives, elles, sur d’autres terrains du champ du documentaire. A défaut d’obtempérer, l’association est menacée d’une très lourde diminution de la subvention du CNC, qui pourrait signifier sa disparition à brève échéance.

Ceci, au moment même où le CNC est missionné par le ministère de la Culture pour mettre en chantier -avant les élections- une « Cinémathèque du documentaire ». Ce projet, initié par la SCAM, réunit des structures travaillant sur la diffusion et l’information en ligne, la télévision et les bibliothèques : la SCAM, Images en Bibliothèques, la plateforme VOD Tënk, la Bibliothèque Publique d’Information, la Bibliothèque Nationale de France, le site ressources film-documentaire.fr… sous la houlette de la Direction du patrimoine cinématographique du CNC. Les salles de cinéma sont inexplicablement absentes du projet… Tout comme DSGE, alors que l’association est un parfait outil pour inscrire la diffusion en salles dans ce projet.

Nous nous alarmons de la portée de ces menaces qui pèsent sur une association dédiée à la promotion et à la diffusion du documentaire sur grand écran. Comment penser une cinémathèque qui se veut un réseau national de diffusion, sans y associer les salles de cinéma ? Serait-il question de cantonner le documentaire aux plateformes numériques, aux cinémathèques, à la télévision et aux bibliothèques ?

C’est pourquoi nous demandons au CNC :

- La levée des menaces qui pèsent sur l’avenir de l’association « Documentaire sur grand écran » - La participation de « Documentaire sur grand écran » au groupe de création de la « Cinémathèque du documentaire » - Le renforcement des moyens de l’association afin de mettre en œuvre des propositions constructives en direction des salles dans le cadre du projet de « Cinémathèque du documentaire »

Le conseil d’administration de Documentaire sur grand écran :

Annick PEIGNE-GIULY (journaliste, présidente de DSGE et de Corsica.Doc) Arlène GROFFE (exploitante, Ciné 104 Pantin) Colette PIAULT (cinéaste, anthropologue, cofondatrice de DSGE) Richard COPANS (réalisateur, producteur Les Films d’Ici) Maïté PELTIER (programmatrice, Festival Filmer le travail) François CAILLAT (réalisateur) Jean-Yves de LEPINAY (Président d’Images en bibliothèques) Gérard COLLAS (producteur, INA) Marie BALDUCCHI (productrice, Agat Films) Elena JIMENEZ (Cinémathèque de Tanger, Les Films de la Villa) Michèle SOULIGNAC (Directrice Périphérie) Jean-Michel AUSSEIL (co-fondateur de DSGE, administrateur du Festival CinéSalé)

Pour signer cette pétition, rendez-vous ici.

mercredi 16 novembre 2016

Enfin des bonnes nouvelles : le nouveau film de Vincent Glenn

Nous accompagnons la sortie en salle du nouveau film de Vincent Glenn : Enfin des bonnes nouvelles ! Un film de fiction qui met en scène le parcours d'un homme passé en quelques années du statut de cinéaste dépressif à celui d’homme d’affaires adulé du monde économique. Une fiction qui traite des thèmes de prédilection de Vincent Glenn, par ailleurs réalisateur notamment du film Indices, et initiateur, avec Christophe Alévêque, de la Fête de la dette.

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Ils étaient au chômage, ils sont devenus immensément riches en un temps record, et bien sûr, ça leur pose quelques problèmes, mais ce n'est pas l'essentiel. L'essentiel, c'est qu'entre-temps, ils sont complètement bouleversé l’économie mondiale. Comment s'y sont-ils pris ? C'est ce que cherche à comprendre l'animateur vedette de Radio France Plurielle, la jeune et très populaire station de radio publique. Au commencement, une idée simple, une simple idée…

Sortie en salles le 30 novembre 2016.
Plus d'informations sur le site de la coopérative DHR, producteur et distributeur du film.

vendredi 4 novembre 2016

Nouvelle projection du Centre audioviosuel Simone de Beauvoir : Les Portes d'Arcadie (17 novembre 2016)

Le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir vous donne rendez-vous pour sa prochaine soirée de projection-rencontre autour du film Les Portes d'Arcadie, de Carole Grand, en sa présence.

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Réussir à mettre les bons mots sur ce qu'on a vécu et persuader de l'authenticité de son histoire n'est pas simple.
Et pourtant le seul moyen d’obtenir l’asile en France pour les lesbiennes ou pour les gays persécuté(e)s et menacé(e)s dans leur propre pays est de raconter son expérience intime de façon très détaillée.
Soir après soir, avec l'aide d’Ewa, bénévole de l'association ARDHIS, des femmes et des hommes ayant fui leur pays livrent leur vie. Ensemble, elles/ils reconstituent patiemment leur parcours car face à l’administration française, elles/ils doivent exposer ce récit fait de violence, d’intimidations et convaincre de la véracité des faits.

La séance sera suivie d’un débat avec la réalisatrice.

Rendez-vous jeudi 17 novembre 2016 à 20h00
Au cinéma Luminor Hôtel de ville, 20 rue du Temple, Paris
Retrouvez tout l'agenda du Centre audiovisuel Simone de Beauvoir ici

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