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Dans le cadre de la semaine anti-coloniale, le Cedidelp vous propose un brunch anti-colonial autour des médias communautaires et autochtones avec la projection de La Palabra del agua, mardi 26 février à 12h30.

Radio Ñomndaa est une radio communautaire, emblématique des projets de communication indigène au Mexique. Elle s’inscrit dans le processus d’autonomie du peuple amuzgo.

Un entretien avec des membres de Radio Ñomndaa illustre la vision et l’action de ce collectif. Une conversation avec la journaliste mexicaine Gloria Muñoz Ramirez retrace les enjeux historiques et actuels des processus d’autonomie au Mexique.

À l’heure où le Mexique traverse une grave crise politique et sociale, La Parole de l’eau nous rappelle que le mouvement pour l’autonomie est la seule réponse à la violence institutionnelle.

La projection sera suivie d’un débat sur les médias communautaires et autochtones avec Nils Solari (membre du Conseil d’administration d’Acrimed), Sophie Gergaud (Cedidelp et De la Plume à l’Ecran) et Sylvain Duez-Alesandrini (CSIA-Nitassinan).

Rendez-vous mardi 26 février à 12h30
CICP - Cafétéria "L’Internationale" 21ter rue Voltaire - 75011 Paris
Entrée libre
Toutes les informations ici.

Peuple et Culture Corrèze organise samedi 26 janvier, en partenariat avec Réseau Éducation Sans Frontières Corrèze, la projection du film de Bijan Anquetil, La Nuit Remue, en présence du réalisateur et de Hamid, protagoniste du film.

Quelles images avez-vous de l’Afghanistan ? Savez-vous à quoi rêve un jeune Afghan, et quelle langue il peut parler à un ami le soir autour d’un feu de camp ? Pourriez-vous dessiner à la craie sur le sol à main levée le voyage qu’il faudrait accomplir pour rejoindre l’Europe, caché sous un camion ? Connaissez- vous le poème d’Henri Michaux La nuit remue ?
Le court-métrage de Bijan Anquetil est un voyage de nuit surprenant. Deux amis liés par un périple commun, Hamid et Soban, nous racontent leur voyage et la caméra les suit arrivés dans un Paris qu’on pourrait trouver froid et impersonnel si, justement, le regard de ces trois aliens : Hamid, Soban et Bijan Anquetil, le réalisateur, ne nous jouait pas un tour étrange. On avait oublié les coquelicots incongrus en bord de Seine.

Rendez-vous samedi 26 janvier à 20h30
La vie et demie - 53, avenue Lucien Sampaix - Tulle
Pour plus d'informations, rendez-vous ici !

Nous sommes ravis de soutenir la sortie du nouveau film de Vincent Goubet, produit par la coopérative DHR : Faire quelque chose, qui dresse le portrait émouvant et attachant d'anciens résistants, sur le pourquoi de leur engagement.

Faire quelque chose a été conçu comme un portrait – nécessairement subjectif – de la Résistance. L’auteur a cherché à lui donner un visage, par petites touches. Il réunit des récits parcellaires, évoque l’action au quotidien : des distributions clandestines de tracts aux états d’âme avant un sabotage, des premiers attentats antinazis à l’édification d’une organisation nationale, du refus basique de l’inhumain à la proposition d’un projet de société…

Retrouvez toutes les informations autour de ce film sur le mini site qui lui est consacré, ici.

Canal Marches, que vous avez pu croiser le week-end dernier lors du salon du DVD engagé, lancera samedi 15 décembre à partir de 14h00 la quatrième Université Populaire Audiovisuelle (UPOPA) : au-delà des frontières, correspondances vidéo.

Pour mémoire, Canal Marches est une association créée par des professionnel(e)s de l’audiovisuel, des chômeurs et précaires, des militant(e)s des mouvements sociaux. Ses buts sont de contribuer à l’expression, à la visibilité des “Sans voix” et de leurs résistances, et plus largement, des personnes issues des milieux populaires ; valoriser leur créativité, notamment, mais pas exclusivement, par l’appropriation de l’outil vidéo. C'est dans ce cadre qu'est mise en place, chaque année, l'UPOPA.

Depuis quatre ans, l’Upopa forme des acteurs associatifs d’Ile-de-France aux techniques de la réalisation pour qu’ils s’approprient l’expression audiovisuelle et ses outils, et ouvrent ainsi des fenêtres d’expression aux habitant-e-s des quartiers. Les réalisatrices et réalisateurs de Canal Marches transmettent leurs compétences techniques et artistiques, échangent sur leurs expériences, pour qu’à leur tour, les organisations de terrain introduisent l’audiovisuel dans leurs projets.

L’objet de cette nouvelle session aura deux dimensions. Une dimension thématique, autour des frontières. Et un apprentissage allant de l’initiation à l’approfondissement des techniques et de l’expression audiovisuelle, à travers différentes formes d’expression audiovisuelle : documentaire, fiction, film d’animation.

Ces ateliers sont ouverts aux ancien-e-s participant-e-s, mais aussi à de nouvelles personnes : n’hésitez pas à contacter Canal Marches dès maintenant à l’adresse upopa@canalmarches.org pour vous inscrire.

Au programme de cette journée de lancement :

• Diffusion du film République 2012, première réalisation de l'Upopa 4

Clin d'œil au film "Place de la République" réalisé en 1972-74 par Louis Malle, ce film collectif a été réalisé par des participantes de l'Upopa : Naïké Dek, Marie-Caroline Lemetter, Eva Allouche, Paola Afonso. Elles vous proposent une série de témoignages de passant-e-s, commerçant-e-s, jeunes, syndicalistes... rencontrés Place de la République. Quarante ans après le film de Louis Malle, qu'en est-il aujourd'hui de la Place de la République - et peut-être... de la République ?

• Présentation de l'Université Populaire Audiovisuelle 4 sur le thème des Frontières

Cette année l'Upopa proposera d'interroger les frontières, à partir de nos pratiques associatives - et caméras au poing. Les frontières entre les États et les peuples, mais aussi les frontières invisibles, symboliques, que nous subissions ou que nous créons dans chaque société. Un premier volet de réalisation s'intégrera au Forum social mondial qui se tiendra en Tunisie du 26 au 30 mars. Un second volet, au second semestre 2013, proposera un accompagnement et un soutien aux réalisations audiovisuelles d'acteurs des associations et mouvements sociaux autour du thème des frontières.

• Diffusion et présentation des nouvelles réalisations des anciens upopistes

La journée se clôturera par la projection d’extraits des réalisations en cours des personnes ayant participé aux anciennes éditions de l’Upopa, et l'évocation des projets qu’ils ont pu réaliser depuis…

Rendez-vous samedi 15 décembre à 14h
À la Bourse du travail, salle Eugène Pottier, 3 rue du Château d'eau, Paris.
Toutes les informations pratiques sur le site de l'Upopa.

Le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir vous convie à une nouvelle soirée au cinéma Le Nouveau Latina, pour la projection de Égalitées, de 8 mars en marche mondiale, de Paule Sardou. rendez-vous le jeudi 22 novembre à 20h00.

Femmes provençales de toutes générations, elles mettent leurs pas, avec un clin d’oeil rebelle, dans les traces des femmes qui depuis des décennies luttent pour la dignité, l’égalité des droits au travail et dans la société... Elles racontent leurs combats de femmes, de salariées, leurs espérances... Elles suivent avec ténacité les voies qui conduisent à un monde meilleur pour toutes et tous... A l’orée de 2010, année centenaire du 8 mars, année de la 3éme marche mondiale des femmes, elles sont solidaires de toutes celles qui dans le monde, exigent l’arrêt de toutes les violences et une autre répartition des richesses de la planète pour des lendemains plus sereins et plus justes.

La projection sera suivie d'une rencontre avec la réalisatrice accompagnée d'une militante marseillaise.

Rendez-vous jeudi 22 novembre à 20h00
Cinéma le Nouveau Latina, 20 rue du Temple, Paris
Toutes les informations pratiques ici.

Passerelle est une revue éditée par Ritimo, dans le cadre de la Coredem (que nous vous avions présentée ici). Le dernier numéro vient de paraître, co-édité avec Global Chance, autour du thème de l'efficacité énergétique. Outre les nombreux articles, vous pourrez également y retrouver une filmographie que nous avons réalisée autour de ce sujet. Ce numéro sera présenté lors d'une réunion de presse jeudi 15 novembre à 10h00 à la Fondation pour le progrès de l'Homme, et vous pouvez par ailleurs retrouver des informations sur ce numéro ici.

Cette revue est le fruit d'une collaboration d'une année pour coordonner une trentaine de contributeurs. L'objectif en est double :

- Présenter un aperçu de politiques et de pratiques concrètes qui s'engagent pour une consommation efficace de l'énergie dans l'optique d'une « transition énergétique ».

- Démontrer que les leviers autour de l'efficacité énergétique peuvent être reproductibles et généralisables.

Les crises énergétiques récurrentes, les préoccupations environnementales locales et globales, l’irrésistible montée des inégalités énergétiques mondiales et de la précarité énergétique montrent les limites d’un système basé presque uniquement sur les questions de production d’énergie et leurs conséquences.

Dans toutes les analyses sérieuses de la « transition énergétique » reconnue aujourd’hui comme indispensable et urgente, la prise en compte simultanée des questions de maîtrise des besoins et de l’offre d’énergie apparaît comme un élément central. L’efficacité énergétique, est donc une composante majeure de la réflexion et de l’action pour une transition énergétique.

C’est dans ce contexte que Ritimo et Global chance ont souhaité mettre à disposition de leurs lecteurs un aperçu des avancées, des expériences, des réussites, qu’ont rencontré les porteurs de cette ambition « d’efficacité énergétique » appliquée à la demande d’énergie dans des pays très divers à travers les témoignages d’une série d’acteurs, publics, institutionnels, bureaux d’études, entreprises, associations.

Réunion de presse en présence de Benjamin Dessus, Bernard Laponche, Loïc Chappoz, Suzanne Humberset, Justine Peullemeulle.

Rendez-vous jeudi 15 novembre à 10h00
Fondation pour le Progrès de l'homme, 38 rue Saint-Sabin, Paris 11ème
Renseignements auprès de Justine Peullemeulle : 01 44 64 74 16, j.peullemeulle@ritimo.org

Cette année sera la sixième édition du festival AlimenTERRE, un festival organisé par le CFSI, autour de la problématique alimentaire :

80 % du milliard de personnes sous-alimentées dans le monde sont des ruraux, dont une majorité de paysans. Parallèlement, les régimes alimentaires occidentaux (trop sucrés, trop carnés, trop gras) font naître des épidémies de maladies chroniques telles que l'obésité, le diabète, etc. Mourir de faim, de « trop manger » ou de « mal manger », notre système alimentaire marche sur la tête... Face à ces enjeux mondialisés, le Festival de films ALIMENTERRE met en débat les questions agricoles et alimentaires au sein de notre société.

Le Cedidelp participe à ce festival en vous proposant une série de projections hebdomadaires entre le 18 octobre et le 15 novembre, dans des lieux divers.

Pour ceux qui ne connaissent pas encore ce festival, ses missions sont multiples :

• informer de façon objective un public large sur les différents enjeux permettant ou non un accès à une alimentation saine et suffisante pour tous
• inciter à une réappropriation de la question alimentaire par les citoyens, en reconsidérant ainsi le travail des agriculteurs
• proposer des pistes d’action concrètes pour soutenir un modèle agricole plus équitable, et plus respectueux de l’environnement et des écosystèmes ;
• sensibiliser les futurs professionnels agricoles sur les impacts des modèles agricoles choisis
• provoquer des débats participatifs, ouverts voire contradictoires entre tous types d’acteurs sur les questions agricoles et alimentaires.

Alors, réservez d'ores et déjà vos soirées pour les projections !

• Jeudi 18 octobre, 19h30, mairie du 2ème arrdt de Paris

- Projection de Planète à Vendre, d’Alexis Marant
- Rencontre avec Hélène Roux et Mamy Rakotondrainibe, de l’association AGter

• Jeudi 25 octobre, CICP (21 ter rue Voltaire, Paris), à 20h00

- Projection de Pillage des ressources naturelles : qui possède la vie ?, d’Ingrid Sinclair
- Projection de Riz du Bénin, riz de demain, de Félix Vigne
- Rencontre avec Eric Meunier, Inf'OGM et un représentant du Collectif Biopiraterie

• Mardi 30 octobre, le Bric à brac bar (108 rue Oberkampf, Paris) à 20h00

- Projection de Planète à Vendre, d’Alexis Marant

• Jeudi 8 novembre, cinéma la Clef (34 rue Daubenton, Paris) à 20h00

- Projection de La Face cachée des agrocarburants, d’An Baccaert, Nico Muñoz et Cristiano Navarro
- Projection de Du sucre et des fleurs dans nos moteurs, de jean-Michel Rodrigo
- Rencontre avec Clara JAMART, responsable de Plaidoyer Justice économique à Oxfam France

• Jeudi 15 novembre, cinéma le Nouveau Latina (20 rue du Temple, Paris)

- Projection de La era del buen vivir, d’Aline Dehasse et Jeroen Verhoeven
- Rencontre avec Aline Dehasse et Jeroen Verhoeven, co-réalisateurs du film et Grégory Lassalle, réalisateur et membre du Collectif Guatemala

Retrouvez tout le programme et les informations pratiques ici !
Ainsi que la bande-annonce du festival ici

L'association Mémoire à vif, avec laquelle nous travaillons régulièrement lors de la Décade, propose une soirée de projection du film Festival panafricain d'Alger, de William Klein, en partenariat avec Autour du 1er mai et Peuple et Culture Corrèze.
Rendez-vous le jeudi 4 octobre à 20h30, dans le cadre des Francophonies en Limousin, ce sera alors l'occasion de (re)découvrir ce film.

Juillet 1969, William Klein filme le premier Festival culturel panafricain d’Alger. Ce gigantesque événement culturel transmet un sentiment d’euphorie, de fête et d’espoir pour une Afrique libre et fraternelle : l’Algérie a invité les figures des luttes de libération nationale ainsi que les artistes qui incarnaient ces mouvements, venus de toute l’Afrique et des Etats-Unis. Parmi les plus prestigieux : Nina Simone, Myriam Makeba, Archie Shepp, Barry White, Manu Dibango, Ousmane Sembene…

Ce documentaire restera la référence pour les mouvements de libération africains et afro-américains installés à l’époque à Alger. Affirmer la culture de tout un peuple et d’un continent dont certains pays sont encore colonisés (Angola, Mozambique, etc.), tel était le credo du pouvoir algérien.

Revoir aujourd’hui le film Festival Panafricain d’Alger permet de mesurer l’ampleur des espoirs…

Rendez-vous jeudi 4 octobre à 20h30
Cinéma Le Lido, Limoges
Toutes les informations pratiques ici.

Chaque mois, le Cedidelp nous propose, durant l'heure du déjeuner, une projection-dicussion autour d'un film issu de ses collections, et accompagné par un représentant associatif. Le 27 septembre prochain, à 12h30, la parole sera donnée au collectif Guatemala, avec le film Des dérives de l’art aux dérivés du pétrole, de Grégory Lassalle.

Alors qu’à Paris, les multinationales du pétrole, musées et autres institutions publiques célèbrent et valorisent la civilisation maya pré-hispanique, au Guatemala, les descendants de ces Mayas sont les premières victimes des politiques néolibérales. Entre autre sous la pression des compagnies pétrolières françaises, comme l’entreprise Perenco, et des projets touristiques. Deux poids, deux mesures : le Maya ancien est-il plus intéressant que le Maya vivant ?

Des dérives de l’art aux dérivés du pétrole documente l’histoire du pétrole au Guatemala, pose la question de l’accaparement privé de la terre, des ressources et de l’histoire. L’extraction du pétrole guatémaltèque se conjugue avec l’extraction de la civilisation maya hors de son contexte historique et de la réalité des conditions de vie de ses descendants, éludant ainsi les injustices que subissent les populations locales.

Le Ciné-déjeuner aura lieu dans le cadre de la tournée européenne d'une délégation de représentants guatémaltèques affectés par la présence de Perenco et de méga-projets, du 16 au 29 septembre 2012, organisée par le Collectif Guatemala.

Projection en présence du réalisateur et de représentants guatémaltèques affectés par la présence de Perenco et de méga-projets.

Rendez-vous jeudi 27 septembre à 12h30 au Cedidelp, 21 ter rue Votlaire, Paris 11ème
Entrée libre
Attention, l'espace étant restreint, merci de vous inscrire pour participer à cette projection : cedidelp@ritimo.org

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Pour aller plus loin :

• Découvrez le programme de la tournée ici : tournée_guatemala.
  
• Téléchargez la brochure "Perenco, exploiter le pétrole coûte que coûte", rapport sur les conséquences sociales et environnementales des activités de l'entreprise Perenco Guatemala Limited. Publié par le Collectif Guatemala, avec le soutien des associations Terre des Hommes France et France Amérique latine.
  

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Si vous ne pouvez pas être présent jeudi prochain, vous pourrez venir ensuite visionner le film au Cedidelp.

« Lumières sur l’habitat solidaire : des idées pour mieux vivre ensemble ! », tel est le thème de la nouvelle édition du concours vidéo Macif. À vos caméras ! Vous avez jusqu’au 10 octobre pour rendre vos créations.

Le concours Vidéo Macif est un temps fort du Mois de l’économie sociale et solidaire qui, comme chaque année, se déroulera en novembre. Les votes du Prix du Film Web auront lieu durant cette période. Comme chaque année, deux prix seront attribués : un prix film web, et un grand Prix.

• Comment participer au Prix du Film Web ?

Réaliser une vidéo de deux minutes maximum sur le thème du concours et la poster avant le 10 octobre 2012 minuit sur le site dailymotion (plateforme du concours). Le Prix du Film Web se décompose en deux prix :
- le Prix des Internautes, qui récompense les deux courts-métrages ayant reçu le plus de votes des internautes. Les votes en ligne seront ouverts du 15 octobre au 30 novembre 2012 (dotation de 1500 euros pour le 1er prix et 1000 euros pour le deuxième).
- le Prix du Jury, qui récompense les deux courts-métrages choisis par un jury (dotation de 1500 euros pour le 1er prix et 1000 euros pour le deuxième.

• Comment participer au Grand Prix ?

Proposer un film (reportage, documentaire, fiction) entre 10 et 90 minutes illustrant avec esthétisme et émotion comment recréer du lien social et de la solidarité au sein de nos lieux d’habitation ou présentant des solutions innovantes au service de l’habitat solidaire de demain. Deux prix seront décernés : le Grand Prix et le Prix du Coup de Cœur du Jury. Pour tenter de remporter 5000 euros pour le Grand Prix ou 2500 euros pour le Prix du Coup de Cœur du Jury, constituez un dossier de candidature et envoyez par courrier trois DVD avant le 10 octobre 2012 minuit.

Retrouvez tous les détails et les conditions de participation dans le règlement du concours.

Pour mémoire, les films primés lors des éditions précédentes :

• 2008 : Le Beurre et l'argent du beurre, de Philippe Baqué et Alidou Badini
• 2008 : Les Fagor et les Brandt, de Anne Argouse et Hugues Peyret
• 2009 : Miracle au Sertao, de Claire Sarazin et Jacques Hubschman
• 2009 : Semences d'autonomie, de Hélène Pineau, Association "Terre Nourricière"
• 2010 : La Péniche Cancale, de Damien Maheu
• 2011 : Tandem, de Antoine Roder