Partager le cinéma

Le Blog d’Autour du 1er mai

mardi 20 novembre 2012

"Étranges étrangers" : 8ème édition de la Décade Cinéma et Société... à vos agendas !

Nous sommes ravis de vous annoncer la prochaine édition de la décade Cinéma et société, dont le titre est Étranges étrangers. Elle se tiendra du 13 au 17 mars dans le pays de Tulle, puis du 1er au 5 mai 2013, à Tulle. Nous espérons vous y accueillir !

En attendant la programmation complète, voici une note d'intention autour de cette décade...

Que l’on soit noir, maghrébin, asiatique, africain… juif, musulman, venus d’une autre rive, français mais enfant de parents venus d’ailleurs, ou tout simplement (et toute proportion gardée) du village d’à côté, parfois - pas toujours - on se sent étranger. Étranger à quoi ?

Dans Réflexions sur la question juive, Jean-Paul Sartre développait l’hypothèse selon laquelle on était juif car « l’autre », le chrétien, le français d’ici, vous renvoyait que vous êtes juif. Ainsi, écrivait-il, le seul lien qui unit tous les juifs français, « c’est qu’ils vivent au sein d’une communauté qui les tient pour juifs ».

Analyse qui vaut pour tout groupe humain mis en situation d’étranger voire de bouc émissaire, que la violence émane d’individus, de groupes sociaux ou politiques et/ ou, pire, de l’état.

Plus tard, le psychiatre et penseur anticolonialiste Frantz Fanon écrivait dans son livre fondateur pour la réflexion sur les ravages du colonialisme, Peau noire, masques blancs, « Le noir n’est pas un homme ». Par cette phrase provocatrice, il signifiait que ce sont le regard et le comportement du blanc qui créent le noir.

Il n’est pas un état qui serait d’être étranger. On ne naît pas étranger, on le devient, pourrait-on écrire, en paraphrasant ainsi l’expression de Simone de Beauvoir à propos des femmes. L’appartenance à une communauté, à un groupe ou à une famille nous structure. Elle nous relie en même temps qu’elle nous différencie. Elle nous fait mesurer ce qui nous rapproche, ce qui nous sépare, en quoi nous sommes différents les uns des autres. Tour à tour, inclus ou exclus.

En ces temps lourdement menacés par la remontée de l’influence idéologique de l’extrême droite, en ces temps de crise économique d’une brutalité extrême pour les peuples du monde, la question de la relation aux étrangers apparaît comme omniprésente dans la société française, comme dans la société mondialisée qui est la nôtre aujourd’hui. Resurgissent partout, et avec une rare violence, des manifestations massives de rejet de l’autre.

En France, tandis que se multiplient les expulsions de Roms et de sans-papiers, alors que des musulmans et des juifs peuvent encore se faire assassiner parce qu’ils sont musulmans ou juifs, au moment où le contrôle au faciès est monnaie courante et où le seul fait de s’appeler Ali ou Saïda peut entraver l’accès à un logement ou à un travail, au moment où dans l’espace européen se sont mises en place des lois qui durcissent le droit de circulation en Europe des « non Européens » (pas tous certes, seuls les pauvres qui s’efforcent de fuir la misère économique de leur pays, les riches circulant dans le monde comme ils le veulent…) ; au moment où le droit d’asile né des conquêtes de l’après-guerre est sérieusement mis à mal, Autour du 1er mai et Peuple et Culture ont voulu répondre à un sentiment d’urgence, en tentant d’interroger avec le cinéma ce que c’est d’être étranger.

À travers une sélection de films de toute nature - du film de fiction qui a fait date dans l’histoire du cinéma au documentaire, produit de façon classique ou par des associations ou des collectifs - nous questionnerons les relations que la France a entretenu avec les étrangers hier et aujourd’hui. Nous réfléchirons à la nouvelle donne que constitue la création de l’espace européen né des accords de Schengen et de la mondialisation. Nous porterons notre attention sur la situation des réfugiés aujourd’hui et sur l’évolution du droit d’asile qui s’érode toujours un peu plus.

Heureusement, s’inventent également, chaque jour des formes de résistance, de désobéissance civile, de mobilisation, d’hospitalité et d’entraide envers les étrangers, dont la Décade rendra compte, fidèle à sa volonté de témoigner par le cinéma, de cette envie de changer le monde et de se révolter contre l’inacceptable.

La Décade Cinéma et société entend également soutenir également une démarche fondamentale, faire bouger les représentations et les stéréotypes :
- Non il n’y a pas plus d’immigrés aujourd’hui qu’hier ! Depuis des siècles, la peur de l’envahissement est le fantasme permanent de l’extrême droite.
- Non les immigrés n’ont pas forcément envie de rester en France ! Si le droit de circulation n’était pas aussi restreint, nombre d’entre eux choisiraient d’aller et venir. Mais les lois européennes d’aujourd’hui limitent totalement la libre circulation des étrangers les plus pauvres.
- Non le Sud n’envahit pas le Nord ! Il existe aussi des migrations Sud-Sud et de tous temps, des groupes sociaux ont choisi de migrer, d’autres étant plus sédentaires.

Ces représentations fausses induisent la peur : peur de l’autre, par ce qu’on ne connaît pas ses codes, peur de l’autre car il menace votre territoire, vos habitudes, votre relation au monde, peur fantasmée de l’autre … « Il faut avoir peur de la peur » disait Héraclite, il y a bien longtemps, phrase qui fut le credo de bien des résistants, pendant la 2ème guerre mondiale. Phrase à méditer aujourd’hui…

Pour conclure, enfin, le propos de la Décade, par d’autres possibles nous témoignerons de la richesse qu’apportent les étrangers, là où ils ont choisi de vivre. À travers des itinéraires de vie, chers au cinéma documentaire, nous irons à la rencontre de parcours individuels et collectifs d’hommes et de femmes venus du monde entier, qui contribuent tous les jours à irriguer de leurs savoirs-faire, de leur savoir-être, la société dans laquelle ils arrivent, périples qui permettent que se rencontrent et se mêlent les cultures d’ici et d’ailleurs.

Rêvons, il est toujours temps, de construire un monde fait d’identités plurielles et non nationale . « Un monde où… », comme le dit si bien la chanteuse québécoise Pauline Julien, « il n’y aurait pas d’étranger ». Un monde de tolérance et d’hospitalité. Un monde qui ferait sortir de l’entre soi. Un monde amoureux… ou comment inverser la mécanique du pire.

Sylvie Dreyfus, présidente de Autour du 1er mai.

Retrouvez sur cette page prochainement la programmation complète.

vendredi 16 novembre 2012

Nouvelle projection organisée par Voir et Agir et Politis : Zambie, à qui profite le cuivre

Régulièrement, Voir et Agir et Politis vous donnent rendez-vous autour d'un documentaire engagé. La prochaine projection se tiendra le 21 novembre au cinéma la Clef, pour le film Zambie, à qui profite le cuivre, d'Alice Odiot et Audrey Gallet.

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Réalisé par deux jeunes femmes, ce film, qui a remporté le prix Albert Londres en 2012, aurait pu s'appeler : "L'Europe au coeur d'un scandale minier". Car la question posée est bien celle-là : comment des fonds européens d'aide publique au développement peuvent-ils finir dans les caisses de multinationales comme Glencore, numéro 1 mondial du négoce des matières premières ?
> En montrant, avec efficacité, les impacts désastreux de l'exploitation de la mine de Mopani sur la population locale et l'évasion fiscale réalisée au détriment de la Zambie, ce film de qualité constitue un soutien de poids dans les campagnes de mobilisation contre les financements européens aux projets miniers en Afrique.
La projection sera suivie d'un débat animé par Antoine GIRARD avec Alice ODIOT, réalisatrice du film, et Ronack MONABAY, chargé de campagne "Institutions financières internationales", aux Amis de la Terre.

Rendez-vous mercredi 21 novembre 2012 à 20h00
Centre culturel la Clef, 21 rue de la Clef, Paris
Toutes les informations pratiques ici.

mercredi 14 novembre 2012

Le mois de l'Économie sociale et solidaire au cinéma ! Nouvelle sélection filmographique

Le mois de novembre est important pour nous à deux titres : d'une part parce que c'est le Mois du film documentaire, et d'autre part parce que c'est également le Mois de l'ESS. Nous avons donc décidé de lier ces deux événements pour vous proposer une nouvelle sélection filmographique autour de l'Économie sociale et solidaire.

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Avec la crise économique, beaucoup se tournent vers l’économie sociale et solidaire : une économie qui place l’humain avant le profit, avec un mode de gouvernance démocratique, des initiatives soucieuses du développement durable, une vraie notion de solidarité, qui prend souvent la forme de structures d’insertion par l’activité économique. En bref, une économie à échelle et à préoccupation humaine.

Au cinéma, de nombreux films se sont emparés de cette nouvelle façon de faire tourner le monde, et, particularité de cette filmographie, en dehors des films professionnels que nous relayons habituellement, on peut constater que des amateurs prennent la caméra pour filmer des initiatives solidaires. Apparaissent alors des films associatifs, ou encore des films issus d’atelier audiovisuels participatifs, qui constituent de précieux témoignages de l’ESS en pratique.

Au niveau du contenu, la sélection proposée représente bien la diversité des initiatives solidaires : certains films racontent et illustrent ce qu’est l’ESS en général, puis d’autres témoignent de pratiques dans des univers divers. Plusieurs films prennent pour cadre, par exemple, le milieu agricole, et filment alors des AMAP, des jardins d’insertion ou encore des infinitives autour des semences.

D’autres films font un focus sur les monnaies complémentaires et les systèmes d’échanges locaux : on y voit alors se mettre en place de vrais échanges non financiers, mais néanmoins réglementés, et qui fonctionnent !

Plusieurs films s’intéressent également au statut des entreprises solidaires, le statut le plus représenté étant le modèle coopératif, qui permet une gouvernance démocratique : une personne égale une voix. Toujours dans cet esprit que le travail de chacun se vaut, le développement du commerce équitable est également filmé.

Enfin, l’ESS, c’est aussi donner sa chance à tous, et certaines vidéos montrent alors d’une part des initiatives de micro crédit, pour donner à chacun la possibilité de créer sa structure, et également des entreprises d’insertion économique par le travail, pour que personne ne se retrouve exclu du circuit.

Retrouvez cette filmographie ici, et toutes les autres réalisées au fil de l'actualité .

Après l'usine, les ouvriers à la caméra : 4 jours de projections organisés par Sans Canal Fixe

À l'occasion de la sortie du film Des Hommes véritables, Sans Canal Fixe propose quatre jours de projections et de rencontres à Saint-Pierre-des-Corps, pour aborder la questions des luttes sociales au cinéma. Documentaires tournés par des amateurs, fictions interprétées par des ouvriers, films collectifs de cinéastes ouvriers. Rendez-vous du 14 au 18 novembre.

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Au programme :

Dominique a été cheminot dans un atelier de réparation de matériel ferroviaire. Il y a fait du cinéma, grâce à un ciné-club. Bien avant qu'il vienne travailler dans cet atelier, son père en a été licencié pour raisons politiques. La diffusion d'un film soviétique Un homme véritable y a été interdite. À la retraite, Dominique commence à parcourir films et documents retraçant l'histoire de cet atelier, son histoire à lui et celle de ceux qui y ont travaillé et construit leur vie, ces "hommes véritables". Il part à la recherche d'une copie du film soviétique, rencontre les protagonistes des films tournés par le ciné-club, et remet en scène les réunions de son ancien Comité d'Établissement. Réalisateur-enquêteur, Dominique revisite sa vie en filmant et rend hommage au cinéma et aux luttes.



Tourné clandestinement pendant la période du maccarthysme, ce film de fiction traite de la lutte pour les droits civiques et l'émancipation de la femme. Des mineurs mexicains, indignés par leurs conditions de travail, se révoltent et demandent l'égalité avec les travailleurs blancs. Leur Société fait tout pour briser la grève. Les femmes, elles aussi révoltées par leur condition de vie, rejoignent les hommes dans leur lutte contre le pouvoir arbitraire. Censuré pendant onze années, le chef d’œuvre de Biberman restitue bien ce combat, tiré d'une histoire vraie, ainsi que la lutte contre le maccarthysme.

Giuseppe, ouvrier immigré en Suisse, apprend le décès de sa femme restée en Italie. Il décide de faire venir son fils mais, en vertu de la loi qui interdit le rapprochement familial des saisonniers, il se voit dans l'obligation de le cacher. Révoltés, des immigrés manifestent contre cette loi. Dans ce contexte de croissance économique forte, Alvaro Bizzarri ouvrait la réflexion sur la condition immigrée en Suisse à cette époque et sur le quotidien de centaines de milliers de personnes.

  • Dimanche 18, 15h : Carte blanche au collectif Plus belles les luttes

De Marseille, on connaît Plus belle la vie, feuilleton à succès mettant en scène le quotidien des habitants de la ville. Les acteurs de Plus belles les luttes, eux, ne jouent pas la comédie. Qu'ils soient salariés d'Arcelor Mittal, de Fralib, d'Arkéma, de la centrale EDF ou encore de La Poste, ces travailleurs luttent pour le maintien de leurs emplois et la pérennité des sites industriels. Thierry, journaliste, et Jean-Paul, ancien sidérurgiste aujourd'hui cadreur-monteur audiovisuel, en ont fait les héros de leur blog sur lequel ils mettent en ligne les épisodes de la série. Leur objectif est de donner la parole à ces hommes mais aussi à ces femmes qui n'ont que rarement le "droit de l'ouvrir". Thierry et Jean-Paul en sont à leur 105ème épisode et ne comptent pas en rester là. Sans Canal Fixe leur donne carte blanche. Ils viendront avec, dans leur bagage, un extrait de leur dernier documentaire, un film sur la désindustrialisation des Bouches-du-Rhône et quelques feuilleton présentant leur travail. Ils étaient par ailleurs venus également présenter leur travail lors de la 6ème décade Cinéma et Société, sur le monde ouvrier au cinéma.

Rendez-vous du 14 au 18 novembre
Salle de la Médaille, 7 avenue de la République à Saint-Pierre-des-Corps
Toute la programmation et les informations pratiques ici.
Renseignements / réservations : 02 47 05 24 78 / 06 78 33 46 23 / contact@sanscanalfixe.org

lundi 12 novembre 2012

Nouvelle soirée Doc & doc au Forum des images le 13 novembre

Documentaire sur Grand Écran nous propose une nouvelle soirée de projection au Forum des images, demain soir, le 13 novembre, sous le titre Princes des villes. Ce sera l'occasion de (re)découvrir trois films qui sont autant de représentations de l'enfance, d'une enfance en errance. Au cinéma, l'enfant -présumé innocent- y est un révélateur du monde qui l'entoure. Ces trois films déclinent ce "don" en trois styles différents.

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Au programme de cette soirée, les projections :

Rendez-vous mardi 13 novembre à partir de 19h00
Au Forum des images, Paris
Retrouvez toutes les informations pratiques ici.

samedi 10 novembre 2012

Les mardis des réalisateurs : Cycle Algérie au cinéma de Cachan

À l'occasion du cinquantenaire des accords d'Évian, le cinéma La Pléïade de Cachan organise, avec notre concours, et en partenariat avec l'association Pangée Network, un cycle de projections autour des relations franco-algériennes, chaque mardi soir, du 5 au 27 novembre.

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Ce cycle mettra en lumière l’histoire et le parcours d’hommes et de femmes des deux rives de la Méditerranée ayant pour point commun l’Algérie. Seront également évoquées ainsi les mémoires plurielles de l’épisode douloureux de la guerre, avant de porter un regard sur l’Algérie d’aujourd’hui.

Au programme de ce cycle :

  • 5 novembre : Bled number one, de Rabah Ameur Zaïmèche
  • 13 novembre : 17 rue Bleue, de Chad Chenouga
  • 20 novembre : L'Ennemi intime, de Florent Emilio Siri
  • 27 novembre : Normal ! de Merzak Allouache

La séance du 27 novembre, au cours de laquelle sera projeté Normal ! sera suivie d’un débat avec l’historienne Naïma Yahi portant sur les représentations de la Guerre d’Algérie au cinéma.  Naïma Yahi est historienne et déléguée générale de l'association Pangée Network, elle a travaillé avec nous autour du catalogue de la 7ème décade Cinéma et société : El Djazaïr ! France-Algérie, du colonialisme à aujourd'hui.

Rendez-vous au cinéma La Pléïade, 12 avenue Cousin de Méricourt – Cachan
Tous les mardis à 20h45, du 5 au 27 novembre, à 20h45
Tous les renseignement et informations pratiques ici : mardis_novembre_2012_cachan.pdf

vendredi 9 novembre 2012

Nouvelle édition du festival Migrant'scène

Depuis 2007, La Cimade organise chaque année le festival Migrant’scène, pour contribuer à faire changer de regard sur les migrations. L'édition 2012 aura lieu du 15 novembre au 2 décembre, dans toute la France et au Maroc dans les villes de Rabat et Tanger.

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Le festival Migrant'scène est une initiative nationale qui aborde la question de l'immigration en associant des acteurs venus des champs sociaux, culturels, de la recherche, de l'art, pour échanger des perspectives, des expériences, et promouvoir une approche sensible et humaine des migrations.

Cette année, Migrant'scène prend la mer et va avec des films, des spectacles vivants, des expositions, des spectacles, des repas, des concerts, à la rencontre de ces femmes et hommes qui, faute de pouvoir obtenir un visa, se lancent dans des traversées parfois tragiques. Leur sort, mais aussi leur détermination, leur endurance, ces parcours en marge de ce que les normes et les lois prescrivent interpellent ceux qui, à travers l’art, la littérature, enquêtent sur l’humain et sur le monde. À l'instar de Laurent Gaudé, parrain du festival, des artistes, photographes, réalisateurs, ou écrivains nous permettent de revisiter l’histoire et l'actualité des migrations par la mer.

Réservez d'ores et déjà votre soirée du 12 novembre pour l'ouverture du festival au cinéma le Méliès, à Montreuil, avec au programme :

  • 19h00 : Une rencontre "geste artistique, action politique, comment se croisent les regards sur les migrations" avec Laurent Gaudé, Sylvain George, Elise Domenach
  • 21h00 : La projection en avant-première du film Les Éclats (ma gueule, ma révolte, mon nom), de Sylvain George

Tout le programme de cette soirée ici !

Puis, du 15 novembre au 2 décembre auront lieu dans différentes villes des événements Migrant'scène, avec les projections de :

Toute le programme des projections ici !

Retrouvez toutes les informations autour de ce festival sur son site internet, ici.

jeudi 8 novembre 2012

Présentation du nouveau numéro de Passerelle "L'efficacité énergétique, à travers le monde, sur le chemin de la transition"

Passerelle est une revue éditée par Ritimo, dans le cadre de la Coredem (que nous vous avions présentée ici). Le dernier numéro vient de paraître, co-édité avec Global Chance, autour du thème de l'efficacité énergétique. Outre les nombreux articles, vous pourrez également y retrouver une filmographie que nous avons réalisée autour de ce sujet. Ce numéro sera présenté lors d'une réunion de presse jeudi 15 novembre à 10h00 à la Fondation pour le progrès de l'Homme, et vous pouvez par ailleurs retrouver des informations sur ce numéro ici.

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Cette revue est le fruit d'une collaboration d'une année pour coordonner une trentaine de contributeurs. L'objectif en est double :

- Présenter un aperçu de politiques et de pratiques concrètes qui s'engagent pour une consommation efficace de l'énergie dans l'optique d'une « transition énergétique ».

- Démontrer que les leviers autour de l'efficacité énergétique peuvent être reproductibles et généralisables.

Les crises énergétiques récurrentes, les préoccupations environnementales locales et globales, l’irrésistible montée des inégalités énergétiques mondiales et de la précarité énergétique montrent les limites d’un système basé presque uniquement sur les questions de production d’énergie et leurs conséquences.

Dans toutes les analyses sérieuses de la « transition énergétique » reconnue aujourd’hui comme indispensable et urgente, la prise en compte simultanée des questions de maîtrise des besoins et de l’offre d’énergie apparaît comme un élément central. L’efficacité énergétique, est donc une composante majeure de la réflexion et de l’action pour une transition énergétique.

C’est dans ce contexte que Ritimo et Global chance ont souhaité mettre à disposition de leurs lecteurs un aperçu des avancées, des expériences, des réussites, qu’ont rencontré les porteurs de cette ambition « d’efficacité énergétique » appliquée à la demande d’énergie dans des pays très divers à travers les témoignages d’une série d’acteurs, publics, institutionnels, bureaux d’études, entreprises, associations.

Réunion de presse en présence de Benjamin Dessus, Bernard Laponche, Loïc Chappoz, Suzanne Humberset, Justine Peullemeulle.

Rendez-vous jeudi 15 novembre à 10h00
Fondation pour le Progrès de l'homme, 38 rue Saint-Sabin, Paris 11ème
Renseignements auprès de Justine Peullemeulle : 01 44 64 74 16, j.peullemeulle@ritimo.org

vendredi 2 novembre 2012

10ème édition du festival d'ATTAC : Images mouvementées

Chaque année, depuis 2003, ATTAC organise un festival de cinéma qui s’emploie à informer et à susciter la réflexion collective sur des questions cruciales de ce début de XXIème siècle. Cette année, le festival Images mouvementées se tiendra du 9 au 18 novembre, avec pour titre : Aux actes, citoyens !.

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À l’occasion de ce 10ème anniversaire, le festival se propose de revenir sur les thématiques des précédentes éditions :

  • Développement durable et organisation du travail
  • La fabrique de l’opinion
  • La fabrique de l’exclusion
  • Politique, l’à-faire de chacun
  • L’Homme malade de son environnement
  • Identités sans frontières
  • Soyons réalistes, osons l’utopie
  • La démesure, jusqu’à quand ?
  • La fabrique de la peur

Après avoir dénoncé, informé, aiguisé le sens critique et nourri la réflexion, le festival veut se donner une édition qui réponde à cette question récurrente : « Qu’est-ce qu’on peut faire ? »

Il s’agira donc de présenter des initiatives, des actions concrètes, des expérimentations, des perspectives encourageantes, des directions possibles, en résumé : du concret et du positif.

Chaque journée reprendra l’un des thèmes des précédentes éditions mais dans l’optique d’explorer les possibles, d’ouvrir des pistes d’action individuelle ou collective. En effet, il n’est pas suffisant d’alerter, de dénoncer, d’ébranler les consciences, de sensibiliser à des enjeux cruciaux (économiques, écologiques, sociaux…), si on ne se donne pas en même temps les moyens du changement.

Cette année encore, la programmation est d'une grande qualité, avec les projections, notamment, de :

Du 9 au 18 novembre
Cinéma la Clef, 21 rue de la Clef, Paris
Toutes les informations pratiques ici

vendredi 26 octobre 2012

8ème édition du festival Sciences en bobines du 6 au 23 novembre 2012

La Fondation Sciences citoyennes organise pour la huitième année le festival Sciences en Bobines, un festival autour des sciences, en donnant la place aux controverses sociétales, aux mobilisations citoyennes, aux implications citoyennes de chercheurs « lanceurs d’alerte ». Le rendez-vous est donné entre le 6 et le 23 novembre, dans de nombreuses villes.

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Cette 8e édition souhaite fêter à sa manière les 10 ans de la Fondation Sciences Citoyennes, ce qui permettra d’aborder l’ensemble des thématiques que nous traitons dans le cadre de nos activités. Aussi il sera question de conflits d’intérêt, d’expertise, de gouvernance de la recherche, mais également de thèmes plus spécifiques comme la biologie synthétique, le rôle de l’industrie pharmaceutique, la téléphonie mobile, etc.
Cette 8e édition des Bobines poursuit son expansion sur le territoire en passant de 6 à 12 villes d’accueil. Le festival aura lieu du 6 au 23 novembre 2012 à Avignon, Cany-Barville, Dijon, La Rochelle, Montpellier, Paris, Saint Valery en Caux, Saint-Malo, Savennières, Trescléoux, Veules-les-roses et Villeneuve d’Ascq.

Cette année encore, la programmation est d'une grande qualité, avec notamment les projections de :

Rendez-vous entre le 6 et le 23 novembre
Dans 12 villes de France : Avignon, Cany-Barville, Dijon, La Rochelle, Montpellier, Paris, Saint Valery en Caux, Saint-Malo, Savennières, Trescléoux, Veules-les-roses et Villeneuve d’Ascq
Tout le programme et les informations pratiques ici.

mardi 23 octobre 2012

Projection du film "Vers où Israël" mercredi 31 octobre

Le film Vers où Israël ?, réalisé par Camille Clavel, sera projeté le 31 octobre prochain au cinéma les 3 Luxembourg. À la suite de la projection, une rencontre avec le réalisateur ainsi qu'avec Elias Sanbar, ambassadeur de Palestine à l’Unesco, vous sera proposée.

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Quarante ans après Pourquoi Israël de Claude Lanzmann (1972), Vers où Israël ? est un nouveau voyage à travers ce pays, et à travers les racines du conflit israélo-palestinien.

Camille Clavel accomplit ici une démarche à la fois personnelle et universelle : il s’agit pour lui d’aller inscrire le nom de son arrière-grand-mère, morte au camp de Treblinka, au mémorial de Yad Vashem, à Jérusalem. Mais aussi, de questionner la mémoire de ceux qui vivent sur cette terre disputée, et leur capacité à vivre ensemble dans un ou deux Etats.

Il a interviewé un grand nombre d’observateurs – en particulier l’historien Shlomo Sand, auteur de « Comment le peuple juif fut inventé », et de « Comment la terre d’Israël fut inventée », l’historien Gadi Algazi, l’écrivain Aharon Appelfeld, ainsi qu’une palette d’israéliens, juifs ou arabes, qui explicitent leur vision de cet Etat et de son avenir.

Rendez-vous mercredi 31 octobre à 20h00
Cinéma les Trois Luxembourg, 67 rue Monsieur Le Prince, Paris 6.
Toutes les informations pratiques ici

lundi 22 octobre 2012

Projection-débat : regards sur l'immigration jeudi 25 octobre

La Cité nationale de l'Histoire de l'Immigration, les Ateliers Varan et la revue Hommes et Migrations vous invitent à une soirée de projection et de débat autour des regards sur l'immigration, jeudi 25 octobre à 20h00 dans les locaux des ateliers Varan.

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Dans l’Algérie d’aujourd’hui qui voit sa jeunesse privée d’un avenir sur place, l’obsession de fuir le pays et de s’enfuir par tous les moyens possibles alimente une émigration clandestine croissante. Ce phénomène bien connus des médias de «harragas», «El Harga» ou «hrague» désignent ceux et celles qui veulent coûte que coûte parvenir de l’autre côté de la Méditerranée en «brûlant» les frontières, leurs papiers, leurs identités. Ces voyageurs qui risquent leur vie empruntent de nouveaux circuits migratoires et sont motivés par des préoccupations qui diffèrent des migrations antérieures par la singularité de leur profil, leur état d’esprit, leurs visions de l’Europe qui reste dans leur tête un eldorado malgré la difficulté du passage et des conditions de vie des sans-papiers dans les sociétés d’accueil. Quels sont ces nouveaux migrants ? Quels discours tiennent-ils sur leur pays d’origine, leurs espérances de vie nouvelle ailleurs, leurs liens avec leur famille, l’attitude que les pouvoirs publics de part et d’autre de la Méditerranée ont à leur égard ?

Pourquoi veulent-ils tous partir coûte que coûte, acceptant tous les risques, malgré les dangers qu’ils savent terribles? Qu’est ce qui les pousse à fuir leur pays ? Pourquoi sont-ils toujours plus nombreux à choisir cette voie? Que cherchent-ils Qu’espèrent-ils y trouver ? Quel est donc ce rêve pour lequel ils sont prêts à mourir ?”

Avec la participation de Salim Chena, docteur en sciences politiques de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales et rédacteur adjoint de la revue Dynamiques internationales. Rencontre animée par Marie Poinsot, rédactrice en chef de la revue Hommes et Migrations.

Rendez-vous jeudi 25 octobre à 20h00
Ateliers Varan, 6 impasse Mont Louis, Paris
Toutes les informations pratiques ici

vendredi 19 octobre 2012

Les Dimanches de Varan : carte blanche à Jean-Louis Comolli

Les Ateliers Varan organisent des rendez-vous réguliers, le dimanche entre 10h00 et 14h00 autour du cinéma : cartes blanches données à des critiques, des penseurs et des cinéastes afin de nous aider à voir et à entendre sur ce qui se perçoit à travers le cinéma et à y réfléchir autour d’une sélection de films. Les trois prochains dimanches seront consacrés à une carte blanche à Jean-Louis Comolli : les 21 octobre, 28 octobre et 4 novembre.

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Avec Jean- Louis COMOLLI, réalisateur d’une quarantaine de films documentaires et de fictions, critique et ancien rédacteur en chef des Cahiers du Cinéma, écrivain (Corps et cadre, son dernier ouvrage), enseignant et membre des Ateliers Varan,…
«La généralisation du spectacle menace ce que le cinéma a amené dans le monde : une séparation qui est aussi une articulation, entre visible et non-visible, entre champ et hors-champ. Je me propose d’interroger ce que l’histoire du cinéma a fait de cette condition impérative de tout cadrage : qu’il relie ce qu’il découpe dans le visible et ce qu’il en cache. Pris en divers points de cette histoire, divers exemples seront montrés.». Jean-Louis Comolli

Rendez-vous les 21, 28 octobre et 4 novembre, de 10h00 à 14h00
Dans les locaux des ateliers Varan, 6 impasse Mont Louis, Paris
Tous les renseignements pratiques ici.

jeudi 18 octobre 2012

Nouvelle projection organisée par le centre audiovisuel Simone de Beauvoir : Ladies'Turn

Régulièrement, le Centre audiovisuel Simone de Beauvoir propose des projections au cinéma le Nouveau Latina. ce mois-ci, c'est le film Ladies'Turn, de Hélène Harder, qu'il vous est proposé de venir voir, la projection sera accompagnée par la réalisatrice.

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Et si c’était au tour des filles de jouer ? Au pays du foot roi, un tournoi de football féminin s’organise pour la première fois en 2009 dans les quartiers de quatre régions du Sénégal, grâce à l’association Ladies’ Turn. Malgré l’engagement bénévole et passionné de Seyni, ancienne capitaine de l’équipe nationale, et de ceux et celles qui se battent à ses côtés pour donner l’occasion aux joueuses de montrer leur talent, le terrain reste loin d’être gagné. En 2011, bravant encore tabous et préjugés, les filles investissent de nouveau les terrains de quartier et jouent devant un public de plus en plus nombreux venus les voir. Mais laissera-t-on jouer la partie comme elles le veulent jusqu’au bout?

Hélène Harder est une jeune réalisatrice de documentaires ayant travaillé en France et aux États-Unis. En collaboration avec Wendigo Films basée à Paris, elle a suivi l’aventure de Ladies’ Turn. Elle sera présente lors de la projection.

Rendez-vous le jeudi 25 octobre 2012 à 20h00
Cinéma le Nouveau Latina, 20 rue du temple, Paris
Toutes les informations pratiques ici.

mardi 16 octobre 2012

Quelques semaines avant l'élection présidentielle aux États-Unis, l'occasion de découvrir des films qui parlent de la vie politique américaine

Ce soir se tiendra le troisième débat de la campagne présidentielle américaine, et c'est pour nous l'occasion, à quelques jours de l'élection américaine, de vous proposer une sélection de films qui racontent la vie politique aux États-Unis.

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Les États-Unis jouent un rôle prépondérant au sein de l’organisation mondiale. C’est pourquoi le monde entier s’intéresse aux moments électoraux de ce pays, en relaye les campagnes, les résultats, mais aussi les scandales et les affaires qui touchent leur organisation politique. Le cinéma s’empare également de ces sujets pour y poser un regard approfondi, et pour témoigner régulièrement de moments-clef de la vie politique du pays.

En cette période électorale, voici donc une sélection qui permet de découvrir différents aspects de la vie politique américaine, de Kennedy à Obama.

Certains films suivent les hommes politiques au cours de leur campagne et nouent alors parfois des rapports privilégiés avec eux. Par exemple, c’est parce que Richard Leacock a suivi Kennedy durant sa campagne, et que le film, Primary, a plu au président, qu’il a ensuite pu tourner Crisis, et avoir accès à des réunions de crise au sein du bureau ovale. Le regard du réalisateur est alors emprunt de subjectivité, ce qui rend le témoignage d’autant plus passionnant.

En parallèle de cette campagne « vue de l’intérieur », des cinéastes font le choix d’aller vivre cette période auprès des américains, et de prendre le pouls des espoirs et des revendications de la population. La campagne d’Obama en 2008, par exemple, a été particulièrement marquée par ces élans populaires, et plusieurs films en font état.

Commencent ensuite quatre années de mandat, voire huit pour certains, et les réalisateurs continuent alors de filmer les présidents. Le cinéma, dans ce cas, et lorsque les réalisateurs s’en donnent les moyens, peut devenir un réel contre-pouvoir, à l’image des films de Michael Moore, qui sont de véritables enquêtes sur les administrations des présidents. La fiction permet également de se saisir de certaines affaires, car elle permet à la fois de prendre le temps d’enquêter, et constitue également un bon moyen de ne pas s’affranchir d’une éventuelle autorisation des protagonistes visés.

Enfin, tout comme lors de la campagne, certains réalisateurs s’éloignent de la sphère du pouvoir, et vont à la rencontre des groupes qui ont changé l’Amérique : luttes pour les droits civiques, mouvements des Black Panthers, pacifisme contre la guerre du Vietnam.

Retrouvez ici cette filmographie.

lundi 15 octobre 2012

Debout les docs ! 20 ans d'Addoc ! les 26, 27 et 28 octobre

ADDOC est une association de cinéastes documentaristes qui fête cette année ses 20 ans ! Pour cette occasion, vous êtes invités à venir assister à 3 jours de projections documentaires entre le 26 et le 28 octobre, au cinéma la Clef, à Paris.

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Depuis 1992 – à sa création, ADDOC a mené une réflexion subjective et éthique sur le cinéma documentaire. Aujourd’hui, les questions que nous nous posons ne résonnent plus de la même façon. Nous traversons une période de crises et de transformations économiques, politiques et sociales. Les modes de production ont connu de profondes mutations et les écrans de diffusion se sont multipliés. En prise avec le monde contemporain, les cinéastes documentaristes créent de nouvelles manières de faire.

Avec Debout les docs ! Addoc propose de réfléchir aux évolutions passées et à venir. Nous interrogerons toutes les facettes de ces changements : écritures, statut des réalisateurs, cartographie des espaces de diffusion, etc.

Retrouvez donc des projections de films, en présence des réalisateurs, avec notamment :

Et également des tables rondes et des rencontres !

Retrouvez ici le programme complet et les informations pratiques
Rendez-vous les 26, 27 et 28 octobre à Paris, cinéma la Clef, 34, rue Daubenton, Paris

jeudi 11 octobre 2012

Ouverture des inscriptions pour le prochain festival du Réel

La prochaine édition du Festival Cinéma du réel se tiendra du 21 au 31 mars 2013, et les inscriptions sont d'ores et déjà ouvertes en ce qui concerne les films !

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Vous pouvez soumettre vos films en suivant ce lien.
Les inscriptions seront closes au 15 novembre 2012.

mercredi 10 octobre 2012

Projection du film "Le Bateau en carton" organisée par Voir et Agir

Les projections organisées par Voir et Agir et Politis font leur rentrée ! Et c'est autour d'un sujet au cœur de l'actualité que cette projections se déroulera, avec le film de José Viera Le Bateau en carton. Rendez-vous le 17 octobre à 20h00 au cinéma la Clef.

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Au bord de l’autoroute à Massy-Palaiseau, des baraques de fortune abritent une centaine d’enfants, de femmes et d’hommes venus de Roumanie. Dans la Roumanie libérale et européenne, les Roms sont devenus plus que jamais des parias. Pour José Vieira, ce n’est que l’actualité d’une histoire qui n’en finit pas, celle de gens obligés de tout quitter pour conjurer la pauvreté. Ce bidonville de Massy n’est qu’à 300 m de celui où il a grandi. Comprendre cet exode, d’où viennent les gens qui habitent là, qui sont ces « étranges étrangers », comme l’ont été jadis les Portugais ou les Algériens, avec la volonté de nous les rendre familiers et de détruire les préjugés que nous avons à leur égard est l’ambition réussie de ce film.

La projection sera suivie d’un débat animé par Antoine GIRARD avec José VIEIRA, réalisateur du film, et Jean-Pierre DACHEUX, docteur en philosophie, auteur (avec Bernard Delemotte), de Roms de France, Roms en France : le peuple du voyage.

Rendez-vous le 17 octobre à 20h00
Centre culturel la Clef, 21 rue de la Clef
Toutes les informations pratiques ici

mardi 9 octobre 2012

Autour du 1er mai sur France Inter !

Nous avons participé à l'émission Carnets de campagne, diffusée ce midi, le 9 octobre, sur France Inter. Si vous l'avez ratée, vous pouvez la réécouter ici (Corrèze, épisode 2/5).

Carnets de campagne est une émission quotidienne de France Inter, qui part chaque semaine à la découverte d'un département, en rencontrant les responsables de différentes structures.

Sylvie Dreyfus-Alphandéry, présidente d'Autour du 1er mai, a donc présenté au cours de cette émission l'association, son fonctionnement, et la raison de son ancrage en Corrèze.

N'hésitez pas à réécouter cette émission, et toutes les autres de la semaine, toutes dédiées à la Corrèze (du lundi au vendredi entre 12h30 et 12h45) !

Ciné cité sociale : 4ème édition de la semaine du cinéma social et solidaire

Du 22 au 27 octobre prochain se tiendra la 4ème semaine du cinéma social et solidaire dans le Nord, dans le cadre du mois de l'économie sociale et solidaire. L’édition 2012 est consacrée à la coopération.

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Quelles sont les initiatives collectives portées dans notre société ? Qu'elles soient à l'échelle locale ou mondiale, quelles sont les initiatives possibles à inventer ? Le travail coopératif génère-t-il des pistes de réflexion sur les innovations sociales ? Quelles sont les vertus et les limites de ces formes de coopérations ? Rencontres et débats rythmeront 6 soirées autour de projections cinématographiques, invitant le public à réfléchir collectivement en présence de réalisateurs, de chercheurs, de représentants d'associations, d'élus, de salariés, etc.

Au programme de cette semaine :

Retrouvez le programme complet et les informations pratiques ici
Voir également le site du mois de l'ESS
Et retrouvez notre filmographie sur l'ESS

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