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Travail et culture, centre de recherche, d’innovation artistique et culturelle du monde du travail vous invite à son prochain ''Cabaret de l'union" : une soirée de projection, de rencontres et de lecture. Le thème de la soirée concernera les supermarchés. Rendez-vous le 21 mars à Roubaix.

Dans un monde du travail en pleine tertiarisation le supermarché est devenu, depuis le début des années 1960, l’emblème d’une forme ambivalente de démocratisation dans l’accès aux produits de grande consommation ainsi qu’un espace de production de nouvelles formes et organisations du travail. Les promesses d’abondances soldées et infinies des supermarchés finissent par participer à la fabrication des désirs toujours inassouvis des consommateurs en même temps qu’ils produisent des formes d’emplois souvent précarisés, délétères et non délocalisables.

Le programme :

• 19h00 : Projection Super !, de Laurent Graenicher

Muni de yaourts à prix cassés et de papier de toilette soldé, vous irez à la rencontre de celles et ceux qui manient scanners et palettes, côtelettes et pains précuits, logiciels de gestion des flux et tickets de remboursement. Vous parcourrez avec eux les linéaires, vous vous faufilerez entre les caisses et vous glisserez dans l’étrange silence de la salle de pause. Dans le huis clos d’un supermarché suisse, ce film plonge dans l’univers standardisé de la grande distribution en se concentrant sur l’activité ordinaire des hommes et des femmes qui travaillent dans « le ventre de la baleine ».

• 20h30 : Buffet

• 21h15 : Lecture-spectacle En Caisse, par Danièle Hennebelle, comédienne et metteure en scène / Compagnie Théâtre du Prisme

Cette lecture- spectacle accompagnera les gestes des caissières, témoignera de la spécificité de leur travail, écoutera leur parole pour être avec curiosité et humour au plus près de leur investissement et de leurs revendications. ( à partir d’extraits de textes de Marlène Benquet, Sylvain Rossignol, Anna Sam et Mathias Waelli )

• 22h00 : Débat avec Julien Choquet - Ingénieur d’Études en Sociologie au Centre Pierre Naville (Université d’Évry), Christophe Vignon - Professeur à KEDGE Business School Marseille, chercheur au CERGAM et Carine Ginestar - conseillère comptable chez Carrefour, syndicaliste CGT.

Qu’est-ce-qu’un supermarché du point de vue du travail ? Comment évoluent ces métiers à l’heure de la financiarisation de l’économie ? Qu’est-ce-qu’être caissière à l’heure des caisses libre-service et des nouvelles technologies ?

Rendez-vous vendredi 2 mars à partir de 19h00
À La Condition Publique - 14 place Faidherbe – Roubaix
Entrée libre
Pour plus d'informations, rendez-vous ici

Le Comptoir général (musée dédié à l’art du ghetto) vous propose, chaque dimanche à 18h30 un Cinébrousse : des projections de films pour retracer toute l'histoire de la culture ghetto à travers l'art, l'exploration de la nature et le militantisme. Le cinébrousse du 9 mars prochain vous propose de découvrir le film Sisters in cinéma, de Yvonne Welbon.

Le Musée entend par ghetto toutes ces cultures marginalisées, méconnues, exotiques et dépourvues de moyens qui fleurissent aux quatre coins de notre planète, et tout particulièrement sur le continent africain.

Sisters in Cinema offre un voyage spectaculaire et une leçon d’histoire sur les origines et la présence plutôt réduite des réalisatrices afro-américaines à Hollywood et dans le cinéma américain en général. Yvonne Welbon examine le phénomène du cinéma chez les femmes Afro-américaines avec un documentaire plein d’intelligence qui révèle une histoire riche à travers les interviews de cinéastes tels que: Neema Barnette, Julie Dash, Maya Angelou, Kasi Lemmons et Euzhan Palcy.

Rendez-vous dimanche 9 mars à 18h30
Au Comptoir Général, 80 quai de Jemmapes, Paris
Plus de détails ici.

Documentaire sur grand écran, en partenariat avec le festival Cinéma du Réel vous convie à un nouveau rendez-vous des docs avec la projection du film de Ginette Lavigne La Nuit du coup d'État suivie d'une rencontre avec Ginette Lavigne, Maria Bonsanti, directrice artistique du festival Cinéma du Réel et Marie-Pierre Duhamel Muller, programmatrice de "La nuit a des yeux" pour le festival Cinéma du Réel.

Le 25 avril 1974, à Lisbonne, un coup d’État militaire renversait le gouvernement de Marcelo Caetano, le successeur de Salazar. Ce coup d’État a mis fin à 48 ans de fascisme et a été le début de ce qu’on a appelé « la révolution des œillets ». Ce coup d’État avait été conçu et effectué comme une offensive militaire par de jeunes officiers de l’armée regroupés dans le Mouvement des Forces Armées. Le maître d’œuvre de cette opération était Otelo de Carvalho. En 1978, il a écrit un livre, « Alvorada de Abril » (Aube d’avril), où il décrit en détails l’organisation du coup d’État. En lisant ce livre, j’ai découvert la rigueur et la précision avec lesquelles il avait organisé le soulèvement militaire du 25 avril et j’ai découvert également, avec beaucoup d’étonnement, qu’il n’avait pas assisté aux opérations sur le terrain. Installé dès l’après-midi du 24 avril, avec d’autres membres du MFA, au poste de commandement de Pontinha, à une vingtaine de kilomètres de Lisbonne, Otelo de Carvalho n’a rien vu de ce qui s’est passé dans les rues de Lisbonne le 25 avril. Chef d’orchestre éloigné de la scène de l’action, il ne pouvait qu’imaginer à travers les descriptions qu’on lui faisait et à travers ce qu’il entendait dans les radios et les téléphones ce qui se passait au dehors. C’est autour de cette absence, de ce manque, que s’est construit le film.

Rendez-vous lundi 3 mars à 20h30
Au MK2 quai de Loire
Toutes les informations pratiques sont à retrouver ici

Nous avions projeté lors de la Décade Étranges étrangers, en 2013, le documentaire de Jonathan Millet et Loïc H. Réchi, Ceuta, douce prison. C'est donc avec beaucoup de plaisir et d’enthousiasme que nous vous conseillons dès aujourd'hui d'aller voir ce film, qui est sorti en salles hier.

Ceuta, douce prison suit les trajectoires de cinq migrants dans l'enclave espagnole de Ceuta, au nord du Maroc. Ils ont tout quitté pour tenter leur chance en Europe et se retrouvent enfermés dans une prison à ciel ouvert, aux portes du vieux continent. Ils vivent partagés entre l'espoir d'obtenir un « laissez-passer » et la crainte d'être expulsés vers leur pays.

Les premières critiques :

• "Un documentaire poignant". Les Inrocks
• "Un film digne et douloureux comme ses héros". Télérama.
• "Sensible et édifiant". Trois Couleurs
• "Le Château de Kafka sous le soleil éclatant du Maroc" Time Out Paris.
• "Sincère, sans état d'âme, reflet de l'actualité". StudioCinéLive
• "Une découverte saisissante du purgatoire des damnés de la Terre". Le Figaroscope.
• "Un témoignage intime et pudique qui décuple la puissance du sujet traité". Mondomix
• "Un documentaire à voir absolument". Konbini
• "Un récit subtil cousu d'images et de mots saisissants". Vodkaster
• "Un beau documentaire, sensible". A voir à lire
• "Un documentaire habité. Un beau film, illuminé de soleil et irradiant de son souci de montrer des trajectoires de vies humaines". Toutelaculture.com
• "Un film profond, qui dit toute la détresse de ces damnés cachant dans leurs silences, leurs regards et leurs sourires ce que la dignité leur interdit d'avouer". La Croix.

Premier rendez-vous du documentaire engagé de l'année, organisé par Voir et Agir et Politis ! Vous avez rendez-vous mercredi 22 janvier pour une projection-rencontre du film Pistés par nos gènes, de Philippe Borrel.

Des Auvergnats, curieux de leurs lointaines origines, se prêtent volontiers au prélèvement génétique que leur propose un jeune chercheur français de l’'université de Pennsylvanie. Partant de ce qui semble une anecdote, c'’est la question d'’un fichage « banalisé » de l'ADN qui est posée. Est-ce seulement « pour la science » que cette étude américaine est menée ? En effet, outre le secteur de la santé, ce sont les services de police, les compagnies d’'assurances, les cabinets de recrutement qui s'’intéressent à notre patrimoine génétique. Au risque de remettre en cause des droits fondamentaux et de faire des technologies génétiques un outil de contrôle social.

La projection sera suivie d'’un débat animé par Antoine GIRARD avec Catherine BOURGAIN, généticienne, auteur de ADN, superstar ou superflic (Seuil), présidente de la Fondation Sciences citoyennes, et Evelyne SIRE-MARIN, magistrate, membre de la Ligue des Droits de l'Homme.

Rendez-vous mercredi 22 janvier à 20h30
Centre Culturel/Cinéma de La Clef, 21 rue de la Clef, Paris
Tous les renseignements pratiques sont à retrouver ici.

Sans Canal fixe, collectif de réalisateurs et des programmateurs de films documentaires, vous propose chaque mois une soirée de projection rencontre : la Mensuelle. La première soirée de l'année 2014 se tiendra le mardi 7 janvier. Le film projeté sera Lucebert, temps et adieux, de Johan van der Keuken.

Cette saison, Sans Canal Fixe s'interroge sur le portrait dans le cinéma documentaire. Qui portraiture, "torture" le visage familier du monde. Qui le dévisage, en vient à défigurer le "déjà-pensé-mis-en-forme", apanage du monde unidimensionel proposé par la télévision. Transpercer les images "sans qualité" produites en série, pour retrouver des visages, des figures, des présences ; imaginer des formes sensibles qui rendent visible ce qui ne l'est pas à première vue ; enfin, faire "boiter" le réel, en refusant d'être son double mimétique : telle est la vocation du cinéma du réel que Sans Canal Fixe s'efforce de montrer dans le cadre des projections mensuelles. Comme l'an passé, ce cycle autour du portrait documentaire sera en partie préparé par un atelier de programmation ouvert à tous les non-professionnels du cinéma et composé d'une dizaine de résidents de l'agglomération tourangelle.

• Lucebert, temps et adieux, de Johan van der Keuken

Une toile sonore en free Jazz, des rires d'enfants, des monstres pâteux mangeurs de mots ; c'est par le sensible que Johan van der Keuken aborde le portrait du peintre et poète néerlandais Lubertus Jacobus Swaanswijk dit Lucebert. Lucebert, temps et adieux, part d'une volonté commune de réaliser en trois temps, avec l'artiste, une fresque, un témoignage expressif du vivant et des formes pendant la période trouble de la seconde moitié du XXème siècle à Amsterdam. Un univers dépouillé, anthropomorphe, visuel et sonore où la spontanéité, moteur du mouvement, se dérobe à l’œil sensible et attentif, où l'oreille sollicitée par une langue étrangère et gutturale, appelle à trouver en nous même ce que nous n'aurions pas encore cherché. L' authenticité. " Où tu ne me cherches pas, tu me trouveras cherche-moi." .

Rendez-vous mardi 7 janvier à 20h30.
À l'Instant-Ciné, 3 rue Bernard Palissy à Tours.

Les "Soirées à l'œil" des Ateliers Varan permettent de découvrir des films inédits, des coups de cœur à partager en présence de leurs auteurs. Le 7 janvier 2014, c'est en Martinique que la première Soirée à l'œil de l'année vous conduira, avec des films d'animation hommage à Aimé Césaire, puis la projection du film Zétwal, de Gilles Elie-Dit-Cosaque.

Au programme :

• Un Air de Césaire : une série de films d'animation réalisés par 10 réalisateurs à partir de 10 textes poétiques d'Aimé Césaire.
• Zétwal, de Gilles Elie-Dit-Cosaque

Comment, vous n'aviez jamais entendu parler de la conquête spatiale martiniquaise ? Zétwal déploie toute son énergie poétique pour nous projeter dans un voyage inattendu. Avec inventivité, fantaisie, facétie, tendresse, Gilles Elie-Dit-Cosaque y retourne le gants des codes télévisuels pour y pétrir la matière qui constitue notre mémoire moderne et la réinventer. C'est à la découverte du travail de cet alchimiste mutin et à celle de ce désormais classique du cinéma documentaire martiniquais que je vous convie. Et si de la Martinique vous ne connaissez qu'un nom, celui d'Aimé Césaire, sachez qu'il vous suffira de viatique pour ce voyage dans l'espace et le temps en forme d'exercice salutaire de curiosité... Gilles Elie-Dit-Cosaque a réalisé plusieurs documentaires au ton très singulier. Avec un regard tendre et acéré, il explore et réinvente les mythologies antillaises. EN présentant aux Ateliers Varan Zétwal, un de ses films "cultes", je vous propose ded écouvrir ou de retrouver son travail précis, précieux et profondément original.

Sylvaine Dampierre

La soirée se poursuivra avec un débat autour d'un buffet, chacun apportant ce qu'il souhaite.

Rendez-vous mardi 7 janvier 2014 à 19h30
Aux Ateliers Varans, 6 impasse Mont-Louis, Paris
Tous les détails de la soirée sont à retrouver ici.

Voir et agir et Politis vous donnent rendez-vous mercredi 18 décembre pour une nouvelle soirée autour du documentaire engagé, autour du film de Nora Philippe Pôle emploi, ne quittez pas. La projection sera suivie d'une discussion.

En 2013, en France, un actif sur six est sans emploi et le taux de chômage n'a jamais été aussi élevé depuis quinze ans. Face à cette crise, il y a un organisme, Pôle Emploi, dont les agents, soumis à la pression de l’institution, affrontent quotidiennement la réalité du chômage. Ce film propose une plongée sans concession, mais non sans empathie, dans le quotidien d’une agence locale de Pôle Emploi. Une observation de terrain dont la Direction de Pôle Emploi n’a pas voulu qu’elle soit montrée, en présence de la réalisatrice, aux conseillers de l’agence avant diffusion sur LCP, la chaîne parlementaire.

La projection sera suivie d’un débat animé par Antoine GIRARD avec Nora PHILIPPE, réalisatrice du film, et Vincent de GAULEJAC, professeur de sociologie à l'Université Paris-Diderot, auteur de Travail, les raisons de la colère (Seuil) et Manifeste pour sortir du mal être au travail (avec Antoine Mercier, DDB).

Rendez-vous mercredi 18 décembre à 20h00
Cinéma la Clef, 21 rue de la Clef, Paris
Toutes les informations pratiques sont à retrouver ici

Dans le cadre de son exposition Albums, et en partenariat avec l'Agence du court-métrage, le Musée de l'Histoire de l'Immigration vous propose une soirée de projection-rencontre autour du court-métrage d'animation, avec la projection de 8 courts-métrages et la rencontre de 3 réalisateurs : Zeina Abirached, Nicolas Jacquet et Sandrine Stoïanov. Rendez-vous le jeudi 5 décembre.

Au programme :

• Bon voyage, de Fabio Friedli, Suisse, 2011, 6 min

Dessin animé au graphisme épuré, «Bon voyage» nous plonge en douceur au coeur de l'éprouvant périple d'un migrant clandestin. Avec «Bon voyage», le Bernois de 26 ans diplômé de la Haute Ecole de design et dessin de Lucerne a pu participé à de nombreux festivals et a gagné une dizaine de prix.

• Peau de chien, de Nicolas Jacquet, 2012, France, 12 min 44

Pour échapper à une fin violente et certaine, un chien errant vole le manteau d'un mort. En le posant sur ses épaules, le chien disparaît et se dissimule dans la vie de son ancien propriétaire. Une étrange métamorphose s'opère, où le chien se change en homme. Il prend pour un jour la place de cet étranger et finira par rejoindre son destin.

• Mouton, de Zeina Abirached, 2006, France, 3 min

C'est l'histoire d'une petite fille qui, après quelque malheureux clic-clic de ciseaux, est contrainte d'héberger un mouton sur sa tête.

• Mademoiselle Kiki et les Montparnos, de Amélie Harrault, 2013, France, 14 min

Née un an après son siècle – le XXème – Alice Ernestine Prin dite Kiki de Montparnasse ne cessera pourtant jamais d’être en avance sur lui. Muse infatigable des grands peintres avant-gardistes de son temps, effigie de Man Ray, elle côtoie Kisling, Foujita, Desnos… leur inspirant amitié et passion. Mais Kiki n’en restera pas là ! En s’émancipant de son statut de simple modèle, cette femme suivra le chemin de ses maîtres et deviendra leur égal, imposant ainsi le respect. Témoin incontestable d’un Montparnasse flamboyant, reine de la nuit, peintre, dessinatrice de presse, écrivain et chanteuse de cabaret : Mademoiselle kiki mange la vie, elle qui n’a pas toujours nourri son ventre à sa faim.

• Terre d'écueil, de Michal et Uri Kranot, 2013, Danemark, France, Canada, 13 min

Berta et Solomon émigrent de leur pays natal, leur premier enfant est sur le point de naître. Leur nouvelle patrie est bien différente de ce qu'ils avaient imaginé ; le plus surprenant est l'omniprésence des autorités dans leur vie quotidienne. Berta l'idéaliste et Solomon le sentimental ne parviennent tout simplement pas à concilier leur passé et leurs espoirs avec la réalité de leur quotidien. Déceptions et pressions normatives prennent la forme d'un véritable combat de titans. Malgré tout, Berta et Solomon sortent de ce combat plus amoureux et optimiste que jamais, suffisamment en tout cas pour aller tenter leur chance ailleurs.

• Miniyamba, de Luc Perez, 2012, France, Danemark, 14min

Abdu, un jeune malien, décide, comme des milliers de migrants, de partir pour l’Europe. Un voyage périlleux dans le désert pour ce musicien rêveur et humaniste.

• Pieds verts, de Elsa Duhamel, 2012, films de fin d'études, 4 mn 10

Jeanine et Alain, français d'origine algérienne, vivent dans le nord de la France où ils ont créé un jardin méditerranéen.

• Irinka et Sandrinka, de Sandrine Stoïanov, France, 2007, 16 min 30

Cinquante ans séparent Irène et Sandrine. L'une, issue de la noblesse russe, a vécu la chute du régime, l'absence d'un père exilé, l'accueil dans une famille d'adoption. L'autre a grandi en passant sont temps a recomposer dans ses yeux d'enfant le monde d'une Russie de contes de fées.

Une séance de dédicace des ouvrages de Zeina Abirached est prévue à l'issue de la projection en collaboration avec la Librairie du Palais de la Porte Dorée.

Rendez-vous jeudi 5 décembre à 20h00
Au Musée de l'Histoire de l'Immigration, Palais de la Porte Dorée, Auditorium Philippe Dewitte
Toutes les informations pratiques sont à retrouver ici

Pour aller plus loin, téléchargez la filmographie réalisée par la Médiathèque Abdelmayek Sayad.