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Travail et Culture, centre de Recherche, d'Innovation Artistique et Culturelle du monde du travail, vous propose régulièrement des rendez-vous projection-débat appelés les Cabarets de l'Union. La prochaine séance se tiendra le 29 novembre autour des métiers du textile.

Au programme :

• 19h00 : Projection de L'Homme au complet blanc, de Alexander Mackendrick
• 20h30 : Buffet
• 21h00 : Débat : De la recherche à la conception, de la production de fibres au tissage jusqu'à la distribution : cartographie de l'évolution de l'industrie textile et des métiers à l'échelle locale et internationale.
• 22h15 : Proposition plastique et sonore : Interface musicale Xyi : notation musicale, lignes sonores, parcours, tracés, l'interface textile Xyi nous livre ses objets musicaux sous l'impulsion des mains de Marco Marini, musicien performeur.

Rendez-vous vendredi 29 novembre à partir de 19h00.
À la Manufacture des Flandres- Musée atelier du textile, 25 rue de la Prudence, Roubaix.
Toutes les informations pratiques sont à retrouver ici.

La BnF et Peuple et Culture vous proposent un cycle de projections et réflexions autour du bien commun. La première journée s'est tenue le 23 septembre et a connu un joli succès, autour du thème général des biens communs. La seconde journée, autour des ressources naturelles, s'est tenue le 28 octobre. La dernière journée, consacrée aux biens communs de la connaissance, se tiendra le lundi 18 novembre. Le modèle reste le même : découverte d'un livre dans un premier temps, la projection d'un film et discussion dans un second temps.

• Pourquoi ce thème des biens communs ?

Le 21ème siècle voit s’accélérer les échanges marchands, tandis que l’épuisement des ressources naturelles, les pollutions multiples, le réchauffement climatique posent la question des limites d'un développement sans fin. Comment inventer un devenir de l’humanité qui reposerait sur une gestion des biens communs, l’air que nous respirons, l’eau, le génome humain, le patrimoine génétique, les plantes, les animaux, les sources de la connaissance… qui serait partagée par tous et qui contribuerait à lutter contre les situations d’injustice et l’accroissement des inégalités ?

Programme de la journée :

• 10h00 - 16h30 : découverte du livre Libres savoirs, les biens communs de la connaissance, ouvrage coordonné par l’Association VECAM
  • Méthode de l'arpentage
  • Ouvert à tous dans la limite des places disponibles, inscription obligatoire

• 16h30- 17h30 : restitution publique de la découverte du livre
  • Ouvert à tous

• 17h30- 19h00 : Projection débat autour une sélection d’entretiens issus du site REMIX Biens communs : www.remixthecommons.org
  • Ouvert à tous

Pour toutes les informations pratiques, en savoir plus sur la méthode de l'arpentage, et les modalités d'inscription, rendez-vous ici.

Autour Du Doc est une structure de production et de diffusion de projets de création documentaire multimédia. Son dernier projet, le film Héritage, a besoin de votre soutien pour exister. Il s'agit d'un court-métrage documentaire, expérimental et musical de Benoît Perraud, inspiré du livre de la célèbre militante féministe afro-américaine Angela Davis : Blues legacy and black feminism (Héritage du blues et féminisme noir). Un film pour continuer à vibrer, et marcher sur les traces de femmes qui ont résisté par la puissance d'une musique : le Blues !

L'appel à soutien

• Synopsis du film

Un homme erre dans la ville en s'interrogeant sur ses choix et son engagement. Une danseuse et un guitariste s'unissent pour exprimer leurs désirs de liberté et d'émancipation. Une jeune femme lit des extraits d'un livre d'Angela Davis sur le blues et sa puissance subversive...

Ces personnages fantomatiques nous entraînent dans un voyage à travers l'espace et le temps, nous confrontant à des questionnements intimes et politiques : trouver sa place, la prendre, la construire, dans le sillon de ceux qui ont résisté dans le passé, pour l'invention du lendemain.

• Un film qui interroge l'engagement par le prisme de l'histoire :

Dans les textes, la danse, les créations musicales ou les images, les traces des désirs d'émancipation de celles et ceux qui nous ont précédé résident encore ici et maintenant. Pour résister aux dominations de genre, d’origine ethnique ou de classe, ces prises de position ne restent-elle pas souvent nécessaires malgré les avancées sociales actuelles, qu'elles soient réelles ou fantasmées ?

Héritage est un essai cinématographique qui met en scène ces interrogations. Il nous interpelle sur l'émancipation individuelle et collective en s'appuyant sur l'engagement de trois chanteuses de blues majeurs du XXème siècles: Gertrude Ma Rainey, Bessie Smith et Billie Holliday.

Le film mêle les mots d'Angela Davis à propos de ces femmes et les réflexions de l'auteur. Il fait résonner leurs chansons avec de la musique et de la danse contemporaines, et confronte des images d'archives à d'autres glanées au présent. Le tout pour proposer au spectateur une expérience musicale, poétique et politique d'une grande intensité.

• Une production indépendante et participative :

Héritage est un film «hors format» aux frontières du documentaire et de la fiction. Ce projet cinématographique pluridisciplinaire constitue le moteur d'un ensemble de démarches créatives : l'écriture d'un texte et du film par le réalisateur, la création d'une musique et d'une chorégraphie par un guitariste et une danseuse.

Ce genre d'essai, très libre dans sa forme, est difficile à produire dans les circuits classiques de financement du cinéma. Héritage est donc réalisé dans un contexte associatif, indépendant, et grâce à un engagement intense de l'équipe de production et de réalisation.

Votre soutien au projet participera de ce même engagement à vouloir défendre et contribuer à la création d'un film original, interrogeant les frontières de genre, bousculant les formes classiques du cinéma !

Le film est produit par Autour Du Doc, une structure associative de production cinématographiques : elle soutient des réalisateurs inscrits dans une démarche engagée et indépendante.

Le film est co-produit avec Jazz à Poitiers, structure de programmation de concerts des musiques issues du jazz et qui s'ouvrent aux univers musicaux les plus variés et expérimentaux.

Le film a besoin de votre soutien, pour mener à bien la post-production (montage et étalonnage, deux étapes-clef), rendez-vous sur cette page pour participer !

Le Maghreb des films est un rendez-vous incontournable concernant le cinéma du Maghreb. Chaque année, ces rencontres cinématographiques nous donnent l'occasion de voir des films inédits en France, de rencontrer des réalisateurs et de revoir des grands films classiques du cinéma maghrébin que ne sont plus visibles sur nos écrans. La prochaine édition se tiendra à partir du 9 novembre, et, une fois de plus, le programme est passionnant...

Cette année, le Maghreb des films vous propose plusieurs thèmes...

• Sous le signe de "La Marche" , à l'occasion des 30 ans de la Marche contre le racisme et pour l'égalité
• Sous le signe de l'exil, avec notamment
• Sous le signe le cohabitation
• Sous le signe du corps tabou
• Sous le signe de l'indépendance
• Quelques séances "coup de chapeau" à des réalisateurs

Vous pourrez donc venir assister à de très nombreuses projections de films, parmi lesquels :

• À quoi rêvent les Fennecs ?, de Sarah Tikanounine
• Les Arêtes du cœur, de Hicham Ayouch
• Boxe avec elle, de Latifa Robbana Doghin et Salem Trabelsi
• C’est eux les chiens, de Hicham Lasri
• Dihia, de Omar Belkacemi
• Dora Bouzid : une tunisienne, un combat, de Walid Tayaa
• Journal d’un citoyen tunisien, de Walid Tayaa
• Journal d’une révolution, de Nizam Najjar
• Une Journée ordinaire, de Bahia Allaouche
• Juifs et musulmans : si loin, si proches, de Karim Miské
• Lettres intimes à l’Algérie, de Myriam Hammini
• Madame la France, ma mère et moi, de Samia Chala
• La Marche, de Nabil Ben Yadir
• Les Marcheurs, chronique des années beur, de Samia Chala
• Ô mon corps !, de Laurent Aït Benalla
• Le Printemps en exil, de Marie Blandin et Massimiliano Minissale
• Les Terrasses, de Merzak Allouache

Rendez-vous à partir du 9 novembre
À Paris et dans toute la France

• Aux ateliers Varan le samedi 9 novembre
• au MK2 Quai de Seine le mardi 12 novembre
• au Carrefour des Associations parisiennes le mercredi 13 novembre
• À Paris, à l’Institut du Monde Arabe du mercredi 20 au lundi 25 novembre
• à La Clef du mercredi 27 novembre au lundi 2 décembre
• En banlieue parisienne et en régions dans un réseau d’une trentaine de salles
  

Retrouvez toutes les informations pratiques sur le site Internet du festival, ici

Attac organise depuis 11 ans le festival Images mouvementées, qui, en 2013, se tiendra au cinéma La Clef du 20 au 25 novembre. Le programme est maintenant disponible, avec une vingtaine de films (documentaires et fictions, courts et longs-métrages), des débats, des rencontres avec les réalisateurs, une table de presse et une librairie, autour du thème Pouvoir, ô (des)espoir.

Il en va des rapports de pouvoir comme de la logique libérale : on veut nous faire croire qu’il ne pourrait pas en être autrement. Dès le berceau, on apprend à se soumettre : aux parents, aux professeurs, aux patrons, aux dirigeants de tout poil. Les occasions d’être dominé ne manquent pas, à plus forte raison si on est une femme, si on est étranger ou si on en a l’air, si on naît pauvre, si on est homosexuel... En fin de compte, on peut tous être le Rom de quelqu’un. Et la bonne vieille autorité, parlons-en ! Elle a tout de même vite fait de tourner à l’autoritarisme, puisqu’elle s’exerce par la contrainte, la punition, la peur, l’humiliation, au détriment du dialogue, de la coopération, de la non-violence et du respect.
Depuis l’école, on nous impose une logique de compétition et, partout, on valorise la posture du gagnant, du battant, d’où une course effrénée au pouvoir qui peut pousser à toutes les compromissions. À un certain niveau, la politique ne semble plus une histoire de convictions. Pour ainsi dire, personne n’est dupe : on vote sans illusions pour celui qui nous semble le moindre mal. Notre démocratie a tout d’une coquille vide et même nos élus semblent impuissants face au pouvoir sans limite de la finance.
Décervelés par TF1, conditionnés par des agences de publicité et de communication, saignés par Goldman Sachs, c’est à des pouvoirs tentaculaires auxquels nous avons affaire, qui s’insinuent quotidiennement dans nos vies sans que nous y prenions toujours garde. Nous nous retrouvons souvent démunis face à eux, sans savoir comment riposter.
Ce sont peut-être nos esprits qu’il faut remettre à l’endroit pour découvrir le sens véritable de la liberté, l’autonomie, l’autogestion, la démocratie réelle... Abolir le pouvoir, les hiérarchies. Ne plus accepter que certains subissent la domination des autres. Car au final, à quoi bon s’organiser en société si c’est pour continuer à s’exposer à la loi du plus fort ? Face à un pouvoir politique qui ne défend pas vraiment nos intérêts, des contre-pouvoirs s’organisent, l’indignation bouillonne, on résiste, on lutte, on cherche de nouvelles voies. Notre-Dame-des-Landes, priez pour nous et contre le nouvel aéroport, protégez-nous des usines à gaz de schiste, amen ! Si les films, les débats et les rencontres que nous proposons ont un pouvoir, c’est bien celui de faire réfléchir. Ensemble, reprenons le pouvoir ou imaginons les moyens de nous en passer !
L'équipe du festival

Des projections :

• Affaires de grandes familles, de Samuel Gantier
• Asie, le réveil ouvrier, de Michaël Sztanke
• Born in flames, de Lizzie Borden
• Cameroun, autopsie d’une indépendance, de Gaëlle Le Roy et Valérie Osouf
• Cecosesola, de Edith Wustefeld et Johan Verhoeven
• Debout ! une histoire du mouvement de libération des femmes 1970-1980, de Carole Roussopoulos
• État d’élue, de Luc Decaster
• Hollande, DSK, etc., de Julien Brygo, Pierre Carles, Nina Faure et Aurore Van Opstal
• La Banque qui veut prêter plus, de Valérie Denesle
• La Cecilia : une autre éducation est possible, de Edith Wustefeld et Johan Verhoeven
• Les Enfants de Summerhill, de Bernard Kleindienst
• Mr. Smith au Sénat, de Frank Capra
• Ne vivons plus comme des esclaves, de Yannis Youlountas
• No gazaran, de Doris Buttignol et Carole Menduni
• Notre-Dame des Landes, au cœur de la lutte, de Christophe Kergosien et Pierrick Morin
• Sol-Violette, l’éclosion d’une monnaie, de Bertrand Leduc
• Veni, vidi, Vinci, Les Mutins de Pangée
• Videocracy, de Erik Gandini

Des débats :

• À bonne école...
• Dégazez de nos places
• Élu pour qui, élu pour quoi ?
• Féministes tant qu’il le faudra !
• France négrière : France à fric
• La Grèce bouge encore
• Les médias en campagne... électorale
• Se réapproprier l’économie ? Oui, c’est possible !

Rendez-vous du 20 au 25 novembre
Cinéma la Clef, Paris
Retrouvez ici le programme complet avec les horaires et les informations pratiques

La BnF et Peuple et Culture vous proposent un cycle de projections et réflexions autour du bien commun. La première journée s'est tenue le 23 septembre et a connu un joli succès. La seconde journée se tiendra le 28 octobre autour du thème des ressources naturelles. Le modèle reste le même : découverte d'un livre dans un premier temps, la projection d'un film et discussion dans un second temps.

• Pourquoi ce thème des biens communs ?

Le 21ème siècle voit s’accélérer les échanges marchands, tandis que l’épuisement des ressources naturelles, les pollutions multiples, le réchauffement climatique posent la question des limites d'un développement sans fin. Comment inventer un devenir de l’humanité qui reposerait sur une gestion des biens communs, l’air que nous respirons, l’eau, le génome humain, le patrimoine génétique, les plantes, les animaux, les sources de la connaissance… qui serait partagée par tous et qui contribuerait à lutter contre les situations d’injustice et l’accroissement des inégalités ?

Programme de la journée :

• 10h00 - 16h30 : découverte du livre La Gouvernance des biens communs. Pour une nouvelle approche des ressources naturelles, de Elinor Ostrom
  • Méthode de l'arpentage
  • Ouvert à tous dans la limite des places disponibles, inscription obligatoire

• 16h30- 17h30 : restitution publique de la découverte du livre
  • Ouvert à tous

• 17h30- 19h00 : Projection débat autour d'extraits du film No Gazaran (sortie en 2014) de Doris Buttignol et Carole Menduni
  • Ouvert à tous

L’alerte est lancée dans le Sud-Est de la France début 2011 : le gaz de schiste arrive dans nos villages, nos paysages, nos vies ! Le gaz de quoi ? Carnet de route d’une mobilisation citoyenne imprévue, le film témoigne des soubresauts d’une société prise au piège d’un modèle économique en crise en suivant pendant deux ans l’organisation d’un mouvement de résistance historique qui va faire reculer les industriels et l’État.

Pour toutes les informations pratiques, en savoir plus sur la méthode de l'arpentage, et les modalités d'inscription, merci de consulter ce document.

Travail et culture vous convie à la 5ème édition de son festival Ciné cité social, qui se concentre cette année autour du thème des biens communs et actions collectives. Au programme : 5 soirées de projections - débats, gratuites. Rendez-vous du 15 au 19 octobre à Lille, Loods, Lomme et Roubaix.

Ciné Cité Social est une initiative née de la volonté commune d'une pluralité d'acteurs de questionner à la fois le sens du travail et les transformations sociales à l’œuvre dans notre société aujourd'hui. Des collectifs du monde du travail (comités d'entreprise et organismes similaires), des acteurs culturels et de l'économie sociale et solidaire mais également des collectivités locales se réunissent pour coordonner la programmation d'une semaine de rencontres et de débats autour de projections cinématographiques.

Pour cette cinquième édition, Ciné Cité Social a choisi d'explorer la notion de biens communs. Que recouvre cette notion ? En quoi se distingue-t-elle des notions de "biens publics" ou encore "d'intérêt général" ? En quoi l'eau, la protection sociale, l'éducation, le travail sont-ils des biens communs ? Quelles mobilisations pour leur défense, leur préservation ou leur reconnaissance ?

Ciné Cité Social vous invite durant 5 soirées à penser ensemble la notion de bien commun autour de 5 films et autant de débats et d'échanges en présence de réalisateurs, de chercheurs, de syndicalistes, de collectifs et d'associations...

Au programme :

• Mardi 15 octobre : l'engagement citoyen pour les biens communs
  • 19h00 : projection de Tous au Larzac, de Christian Rouaud
  • 21h00 : Débat - Aujourd'hui comme hier des citoyens s'engagent pour la préservation de ce qu'ils considèrent comme étant des biens communs. Quelle est la nature de ces engagements citoyens, militants dans la cité comme dans la sphère du travail ? Quelles sont les mobilisations actuelles et comment revisitent-elles le langage et les formes des actions collectives d'hier ?

• Mercredi 16 octobre : quel avenir pour notre protection sociale ?
  • 19h00 : projection de Sicko, de Michael Moore
  • 21h00 : Débat - La protection sociale et familiale a permis des progrès sociaux considérables (assurance maladie, invalidité, retraite, accidents du travail, perte d'emploi, allocations familiales, etc). Mais ce système de solidarité nationale est aujourd'hui remis en question et contraint à de nombreuses réorientations. Quelles sont ces transformations ? Pour quel service public rendu ? Comment s'assurer que chaque personne puisse bénéficier d'une protection suffisante ? Existe-t-il des alternatives à l'évolution actuelle du système ?

• Jeudi 17 octobre : eau, intérêts privés et biens communs
  • 19h00 : Projection de Susuz Yaz (Un été sans eau) de Metin Erskan
  • 20h30 : débat - Si l'eau est à juste titre considérée comme à la fois un bien commun et un droit dont les individus doivent pouvoir jouir, elle est également au cœur d'enjeux économiques et financiers. En partant de la situation locale, quel bilan est-il possible de dresser quant à la qualité, la gestion et le partage de l'eau ? Quel avenir se dessine en France et à l'échelle mondiale ?

• Vendredi 18 octobre : éducation et émancipation
  • 19h00 : projection de Nous, princesses de Clèves, de Régis Sauder
  • 20h15 : débat - Dans un contexte de normalisation de l'apprentissage, d'évaluation des compétences, comment bâtir un projet d'école émancipatrice ? Avec un système scolaire en perpétuelle refondation sous l'effet de nombreuses réformes, quelles sont les marges de manoeuvre dont disposent les enseignants pour former des esprits critiques et des individus libres ? Par quelles voies s'inventerait aujourd'hui une école démocratique et productrice d'émancipation ?

• Samedi 19 octobre : repenser le travail
  • 16h00 : projection de Entrée du personnel, de Manuela Frésil
  • 17h15 : Débat : Aujourd'hui, beaucoup de voix s'élèvent, des collectifs émergent et des initiatives se créent pour dire qu'il est nécessaire de "repenser le travail" que ce soit son organisation, sa rétribution et les conditions dans lesquelles il s'exerce. Qu'il s'agisse de l'emploi ou de l'activité même de travail, qu'a-t-on aujourd'hui comme moyens ou cadres de réflexion pour le repenser ?

Retrouvez tous les intervenants des débats sur le site Internet du festival, ici.

Retrouvez les lieux et informations pratiques sur le site du festival.

Le Festival International du Film des Droits de l'Homms (FIFDH) de Paris continue cette année de vous convier un jeudi par mois au cinéma le Nouveau Latina pour une soirée de projection débat. La prochaine séance se tiendra le 26 septembre, à l’occasion de la parution du n°35 la revue Altermondes : Vivre de son travail, est-ce trop demander ?

Au programme :

• Projection du film Cambodge, le salaire de la faim, de Helle Løvstø Severinsen

Au Cambodge, des centaines de travailleuses s’évanouissent d’épuisement dans les usines textiles. En cause : des salaires insuffisants pour se nourrir correctement et un rythme de travail épuisant. Elles produisent pour des marques internationales comme Zara, Gap, Levi’s et H&M. En février 2012, un Tribunal des Peuples sur le salaire minium vital et des conditions de travail dignes a été mis sur pied pour entendre les témoignages de ces travailleuses et établir la responsabilité des multinationales.

• Projection du film Asie, le réveil ouvrier, de Michaël Sztanke

La Chine, le Cambodge et le Bangladesh connaissent depuis deux ans de violents mouvements de protestations. Les délocalisation des sous traitants d’un pays pauvre à l’autre ne sont pas sans conséquences. Avec la prise de conscience des ouvriers et la flambée des prix, la stabilité sociale de ces pays n’est plus garantie.

• Débat animé par Altermondes, en présence de Michaël Sztanke, réalisateur du film Asie, le réveil ouvrier et de Nayla Ajaltouni, coordinatrice du Collectif Ethique sur l’étiquette.

• Un verre vous sera offert après le débat.

Rendez-vous jeudi 26 septembre à 20h00
Cinéma le Nouveau Latina, 20 rue du Temple, Paris
Toutes les informations pratiques sont à retrouver sur ce document

Le CCPPO vous convie du 4 au 6 octobre à la 16ème édition des rencontres cinéma qu'il organise chaque année, avec le cinéma Kursaal et en collaboration avec « Les Amis de la Maison du Peuple et de la Mémoire Ouvrière ».

Un programme de films dense et intéressant cette année encore :

• Vendredi 4 octobre :
  • 18H30 L'Algérie nouvelle, on y croyait, de Chloé Hunzinger
  • 20h45 : La Parcelle, de Jacques Loiseleux
  • 21h00 : Entrée du Personnel, de Manuela Fresil
  • En fin de soirée : Le Traineau Echelle, de Jean-Pierre Thiebaud

• Samedi 5 octobre :
  • 15h00 : Le Bonheur... terre promise, de Laurent Hasse
  • 17h00 : Harcelé à perdre la raison, de Daniel Kupferstein
  • 20h45 : Les Jours heureux, de Gilles Perret
  • 22h30 : L'Honneur des gueules noires, de Jean-Luc Raynaud

• Dimanche 6 octobre :
  • 15h00 : La Spirale, de Armand Mattelart, Jacqueline Meppiel, Valérie Mayoux
  • 17H30 : Les Enfants des mille jours, de Claudia Soto Mansilla et Jaco Bidermann

Rendez-vous au cinéma Kursaal, Besançon (entrée : 4 euros (tarif réduit 3 euros )
Tous les renseignements auprès du CCPPO , 48 rue Anne Franck, 25000 BESANCON – 03 81 80 46 93, roger.journot.ccppo@free.fr

La 12e édition du Festival International du Film des Droits de l'Homme de Paris aura lieu du 11 au 18 mars 2014. Vous pouvez y inscrire un film jusqu'au 31 octobre 2013.

Le Festival International du Film des Droits de l'Homme (FIFDH) de Paris fait la promotion chaque année, d'une sélection des meilleurs documentaires produits internationalement sur les questions des droits de l'Homme. Attaché à mettre en avant le documentaire de création, le Festival prend en compte à la fois la qualité artistique et la force du contenu. Chaque projection est suivie d'un débat avec le public, en présence de réalisateurs et/ou d'intervenants (universitaires, journalistes, société civile...). Le FIFDH de Paris est désormais la plus importante manifestation culturelle régulière sur les droits de l'Homme en France.

Ces dernières années, le Festival s'est développé sur plusieurs territoires : à Paris, en Île-de-France (Pantin, Créteil, Montreuil et Ris-Orangis), en France (Strasbourg, Nantes, Metz, La Réunion, Provence, Toulouse & Midi-Pyrénées, Gard, Gironde, Haute-Savoie et Pays Basque), ainsi qu'à l'international (Togo, République centrafricaine, Cameroun, Madagascar et Tunisie). En plus d'une évolution géographique, le FIFDH de Paris s'est attaché, à travers plusieurs activités, à développer d'autres actions afin de permettre à un plus grand nombre d'avoir accès à ces films : ateliers de réalisation vidéo pour des jeunes dans différents quartiers, projections-débats en milieu carcéral, master class, salon du livre, tables rondes...

En inscrivant un film au FIFDH de Paris, vous contribuez à soutenir son dynamisme, sa pluralité et son développement. Merci !

Pour inscrire un film, remplir le formulaire d'inscription en ligne, accessible ici.

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Pour aller plus loin, retrouvez ici notre filmographie réalisée à partir des éditions précédentes du festival.