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Le Blog d’Autour du 1er mai

mardi 16 septembre 2014

Invitation à deux expositions (27 septembre - 4 octobre)

Nous vous avions communiqué en juillet des informations concernant deux expositions que nous accompagnons, l'une de soies et aquarelles de Cootje Kenemans et Barbara van der Waal-Thomas (27 septembre - 3 octobre), l'autre d'encres et pigments de Catherine Bailly (4 - 10 octobre), à la Galerie Oberkampf.

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Vous trouverez ci-dessus l'invitation à ces expositions, que vous pouvez également télécharger ici.
Au plaisir de vous y croiser !

lundi 15 septembre 2014

Rendez-vous des docs : projection de Patria Obscura (lundi 29 septembre)

Documentaire sur grand écran et les Films du Jeudi ont le plaisir de vous faire découvrir en avant-première le film de Stéphane Ragot, Patria Obscura, en sa présence. Rendez-vous le lundi 29 septembre au cinéma MK2 Quai de Loire, en attendant la sortie nationale de film le 22 octobre.

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Un photographe part sur les traces de ses grand-pères militaires morts depuis longtemps, Pierre le légionnaire et Paul le parachutiste. Il explore avec eux l’histoire de sa famille, une histoire bornée par les guerres, rongée par les silences et les non-dits. Il dévoile dans un film impudique le roman d’un pays, la France, en guerre avec elle-même.

Rendez-vous lundi 29 septembre à 20h00
Au MK2 quai de Loire, Paris
Pour en savoir plus, vous pouvez suivre la page Facebook du film.

dimanche 14 septembre 2014

Nouvelle édition de Sciences en bobines (3-17 octobre)

Le festival Sciences en Bobines, organisé par la Fondation Sciences citoyennes, propose une riche palette de films critiques et militants et des débats pour que le dialogue s’engage entre chercheurs et citoyens dans le but de privilégier le bien commun… pour des futurs meilleurs ! Cette année, le festival célèbre sa dixième édition, et vous propose une belle programmation de projections-débats partout en France.

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Au programme :

De nombreuses études scientifiques révèlent les effets des ondes électromagnétiques sur la santé. Pourtant, les Etats, les industriels et une partie de la communauté scientifique affirment qu’il n’y a pas de risques sanitaires. Une enquête choc qui révèle les manipulations des industriels de la téléphonie mobile. Dans le monde, depuis dix ans, la contestation contre les antennes de téléphonie mobile augmente. Quelles sont les équipes scientifiques indépendantes sur le sujet ? Que demandent les électrosensibles ? Quels comportements adopter face aux évaluations scientifiques ?

De la pêche artisanale à la pêche industrielle, à l’extinction de combien d’espèces, la surpêche favorisée par les lobbies technoscientifiques conduira-t-elle ? Comment a évolué la politique française et européenne sur cette question ? Que peut faire le citoyen ?

Bilan du monde nucléaire 2014 : les évaluations scientifiques sont-elles suffisamment audibles pour réaliser la transition énergétique ?

La biologie synthétique est un ensemble d’approches expérimentales qui ont pour but de concevoir et fabriquer des systèmes biologiques de toutes pièces ou reconstruire des systèmes biologiques naturels.

Hervé Nisic animera le débat sur les questions de la science au regard des enjeux sociétaux, voire politiques, ce au travers de l’approche du mathématicien Alexandre Grothendieck. Notons que celui-ci, véritable génie méconnu voire inconnu du grand public, reçut la médaille Fields dédiée aux mathématiques, anima un séminaire à l’IHES (Institut de recherche avancée en mathématiques et physique théorique) de Bures sur Yvette. Admiré puis rejeté, il vit retiré de la communauté humaine. Il fut un véritable pionnier en terme d’alerte citoyenne sur les questions des responsabilités primordiales de la science, et a anticipé les désastres écologiques actuels où une science inféodée à des intérêts privés pourrait nous mener. Des scientifiques, des militants écologistes, des agriculteurs biologiques, et bien d’autres personnes ont participé à ce documentaire encore inédit.

Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site Internet du festival !

vendredi 12 septembre 2014

Projection du "Diable au corps" à Limoges, par Mémoire à vif (mardi 16 septembre)

Mémoire à vif vous propose tout au long de l'année un cycle de projections autour du centenaire de la guerre de 14-18, intitulé Guerre et Révolutions. Dans ce cadre, vous avez rendez-vous le mardi 16 septembre pour la projection du film De Claude Autant-Lara Le Diable au corps, au cinéma Le Lido, à Limoges.

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La 2ème guerre mondiale vient juste de se terminer et oser attaquer de front une France revancharde et la sacro-sainte institution du mariage en montrant l’infidélité d’une femme de soldat relève de la provocation. Et pourtant, où est l’indécence ? Dans cet amour qui bafoue la morale et les préjugés ? Ou plutôt dans ce conformisme petit-bourgeois dont Autant-Lara met à nu l’hypocrisie et la bêtise ? Le sommet est atteint au final avec cette réplique du bedeau regardant s’éloigner le cortège funèbre : « Maintenant, ce sont les femmes qui vont mourir. Chacun son tour ! »

Avant même sa sortie en salle, par peur de la censure, la production tenta de charcuter le film (remontage, scènes écourtées ou coupées) et il fallut la pression de la CGT (Syndicat des techniciens du film) qui menaça de déclencher une grève générale pour que ce sabotage soit abandonné.

À sa sortie, le film fut violemment attaqué par les associations d’anciens combattants et les ligues de moralité. Des journalistes firent même une pétition pour qu’il soit retiré de l’affiche, ce qui fut le cas dans de nombreuses villes. A la projection au Festival de Bruxelles, l’ambassadeur de France quitta la salle. La polémique fut vive et dura longtemps. Malgré ces attaques, le film fut un succès public.

Mémoire à vif

La projection sera suivie d'une rencontre avec Caroline Patte, des Archives françaises du film du CNC

Rendez-vous mardi 16 septembre à 20h30
Cinéma Le Lido, Limoges

jeudi 11 septembre 2014

Autour de l'exposition du groupe RADO : des films et des rencontres…

Dans le cadre de la double exposition du groupe RADO, au terme d’une recherche de trois années dans le pays de Tulle, une projection de 4 courts-métrages choisis par les artistes vous est proposée à Eymoutiers le 18 septembre, suivie, le 21 septembre, d'une journée d'études et d'échanges.

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L'exposition à Tulle s'est terminée le 12 août dernier. Son pendant, au Centre international d'art et du paysage de Vassivière, est encore visible jusqu'au 2 novembre. Le groupe RADO a décidé de profiter de ce décalage pour transformer l'exposition de Vassivière, en y introduisant certaines œuvres venues de Tulle. Façon de tenter une synthèse, de tisser de nouveaux liens, d'expérimenter aussi la reprise, dans un lieu spécifiquement dédié à l'art contemporain, d'œuvres plus directement liées à la fois au contexte tulliste et à l'architecture de l'église Saint-Pierre.

Pour accompagner ce réaccrochage, deux événements :

Jeudi 18 septembre à 20 h 30, au cinéma Jean Gabin d'Eymoutiers, dans le cadre de la programmation "Le choix de l'artiste" en partenariat avec le CIAP, seront projetés quatre courts métrages choisis par RADO, dont plusieurs membres seront présents :

Dimanche 21 septembre, au terme du réaccrochage, se tiendra au CIAP une journée d'étude et d'échanges, co-organisée par PEC, RADO et le CIAP. Trois dialogues en donneront le tempo.

  • Manée Teyssandier ouvrira les débats, en revenant sur l'histoire des menées artistiques de Peuple et Culture Corrèze. Elle discutera avec Jean-François Chevrier, historien et critique d'art, des formes passées, présentes et futures de l'invention institutionnelle.
  • Puis Madeleine Bernardin Sabri présentera la situation Forêt-machine : elle expliquera pourquoi et comment une exigence artistique d'information (l'exigence d'une information artistique, et même picturale) s'est mise au service des luttes locales quant au droit d'usage de la forêt limousine. Quelques habitants du plateau de Millevaches, militants de ces luttes, dialogueront avec elle.
  • Enfin, Fanny Béguery et Adrien Malcor retraceront l'expérience des Enfantillages outillés, un atelier qui a voulu mobiliser, dans trois écoles primaires de Corrèze, les imaginaires enfantins des fonctionnements techniques. À leurs côtés, la philosophe Catherine Perret, qui s'intéresse aujourd'hui à la fois à l'anthropologie des techniques et à l'histoire du dessin d'enfant.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site du groupe RADO !

mercredi 10 septembre 2014

No gazaran ! Nouvelle sélection de films

Nous venons de publier une nouvelle sélection de films sur la Base cinéma et société, autour du gaz de schiste. Vous pouvez la retrouver ici.

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En 2011, suite à une importante mobilisation citoyenne, une loi a été votée en France interdisant la fracturation hydraulique, technique employée pour extraire le gaz de schiste, sur le territoire. Depuis, la mobilisation contre l’expoitation du gaz de schiste n’a pas faibli, pour que la prise de conscience sur les dangers de cette technique soit mondiale, et que la course effrénée des entreprises pétrolières pour exploiter ces gisements dans le monde entier, en dépit de lourds impacts sociaux, environnementaux et climatiques, soit stoppée. Nous vous proposons donc aujourd’hui une sélection de films pour comprendre cette mobilisation.

Cette filmographie -dont le titre est emprunté à l’un des films sélectionnés- nous permet tout d’abord de bien situer les tenants et les aboutissants de l’expoitation du gaz de schiste et les forces en présence, notamment le rôle joué par les multinationales pour imposer l’exploitation du gaz de schiste et le discours tenu par ces industriels, en totale opposition avec la réalité de l’exploitation du gaz de schiste.

D’autres films permettent également de comprendre l’enjeu environnemental du refus de l’exploitation de ce gaz, en particulier à cause de la méthode de la fracturation hydraulique, qui pollue massivement terres et eaux.

Enfin, il vous sera également permis de suivre, via la caméra des réalisateurs, des mobilisations citoyennes contre le gaz de schiste.

jeudi 4 septembre 2014

Sortie en salles du film de Denis Gheerbrant "On a grèvé "

Lors de la Décade cinéma et société 2013, Denis Gheerbrant nous avait fait le plaisir de nous proposer une projection de la version non définitive de son film On a grévé. Cette fois-ci, ça y est, le film est terminé et sort en salles mercredi 10 septembre ! À ne pas rater !

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Elles s’appellent Oulimata, Mariam, Géraldine, Fatoumata… elles sont une petite vingtaine de femmes de chambres et pendant un mois elles vont affronter le deuxième groupe hôtelier d’Europe. Pour la première fois, elles n’acceptent plus la manière dont elles sont traitées. Et elles tiendront jusqu’au bout, avec force musique et danse.

Le film sera notamment projeté le 9 septembre en avant-première au cinéma la Clef, en présence du réalisateur (informations ici)
Puis à partir du 10 septembre à l'Espace Saint-Michel

Quelques projections-débats autour du film :

  • 10 septembre - 20:30, Espace Saint-Michel : première en présence de Denis Gheerbrant, les femmes de chambre, Claude Lévy de la CGT des hôtels de prestige et économiques, Etienne Deschamps de la CNT-Nettoyage et Philippe Hagué
  • 11 septembre - 20:30, Espace Saint-Michel : soirée POLITIS, en présence de Christophe Kantcheff, Denis Gheerbrant
  • 15 septembre, cinéma La Clef : Soirée avec Étienne Deschamps et Denis Gheerbrant
  • 16 septembre - 20:30, Espace Saint-Michel : soirée-débat avec Karl Ghasi (CGT Commerce Paris) et Claude Lévy (hôtels de prestige et économiques) sur le thème des nouveaux prolétaires

jeudi 31 juillet 2014

Chemin faisant, 2 expositions se suivent et se répondent… (27 septembre - 9 octobre)

Barbara Van der Waal-Thomas et Cootje Kenemans présentent leurs créations inventées faites de tissus de soie chatoyants, du 27 septembre au 2 octobre 2014 à la galerie Oberkampf. À leur suite, Catherine Bailly exposera ses tableaux colorés, fragiles et intenses à la fois, du 4 au 9 octobre 2014 à la même galerie. Autour du 1er mai vous invite à découvrir ces expositions…

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En choisissant d'inviter les habitués du site Autour du 1er mai à découvrir le travail de Barbara et Cootje, puis de Catherine, il s'agit pour nous de commencer à se mettre en mouvement, au delà du monde qui est le notre, celui des images animées, pour accompagner des démarches d'artistes qui, chacune à leur façon, célèbrent la beauté du monde en le mettant également en question. Démarche qui n'est pas si éloignée de celle de certains cinéastes, pas si éloignée de notre désir de faire cheminer de concert le cinéma et les questionnements sur la société…

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Les créations de tissus et de vêtements de Barbara et Cootje, les tableaux de Catherine suggèrent à la fois l'urgence et la sérénité, un regard sur le monde pénétrant et doux à la fois, dont le trait commun est l'art de faire chatoyer les couleurs d'une façon extrêmement intense, en jouant de la lumière et de la matérialité des tissus ou de la toile.

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Nous avons demandé aux 3 artistes de nous parler des cinéastes qui ont le plus compté pour elles, nous y reviendrons à la rentrée, avant que ne se déroule leurs expositions auxquelles nous vous convions.

Rendez-vous du 27 septembre au 2 octobre pour l'exposition de Barbara Van der Waal-Thomas et Cootje Kenemans
Et du 4 au 9 octobre 2014 pour l'exposition de Catherie Bailly
À la galerie Oberkampf, 103 rue Saint Maur, 75011, Paris
Restez connectés, nous vous communiquerons de nouvelles informations sur ces expositions à la rentrée…

lundi 28 juillet 2014

Quelle connerie la guerre ! Cycle de projections au Forum des images (16 septembre - 2 novembre 2014)

Le Forum des Images, à Paris, proposera à la rentrée un cycle thématique autour des films pacifistes intitulé "Quelle connerie, la guerre", que nous relayons aujourd'hui auprès de vous, car il fait notamment écho à la Décade 2014…

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En ces temps de commémorations, c’est en interrogeant le pacifisme que le Forum des images décide d’aborder le sujet de la guerre et choisit d’intervenir sur la première partie du 20e siècle, marquée par une impressionnante continuité de conflits. Comment empêcher leur éclatement ? De quel droit refuser la guerre à la façon des objecteurs ? Comment construire et porter au sein de l’opinion publique un discours pacifiste, alors que les guerres endeuillent un monde qui n’a cessé, depuis 1914, de se surarmer ? Telles sont les questions posées par ce programme.

La « boucherie » de la Première Guerre mondiale fait naître de tous côtés, et durablement, un sentiment qui prend des formes multiples tout au long du siècle : la haine de la guerre. Pacifisme, antimilitarisme, objection de conscience, non-violence : de tout cela le cinéma témoigne, s’engageant parfois fermement pour la paix, dans de nombreux films traitant de la Première Guerre mondiale, comme chez Lewis Milestone (À l’Ouest rien de nouveau) ou Georg Wilhem Pabst (Quatre de l’infanterie). Après la Première Guerre mondiale, le discours unanime se résume à : « Plus jamais ça ! ». Mais la lutte contre le nazisme devient une priorité, même aux yeux de certains pacifistes. Cette contradiction révèle le trouble moral qu’il y a toujours à se confronter à la Seconde Guerre mondiale, légitime dans ses fins et inacceptable dans ses moyens (Requiem pour un massacre de Klimov, Le Temps d’aimer et le temps de mourir de Douglas Sirk…). Quand Abel Gance refait un J’accuse parlant en 1938, il y dénonce les possibles retours d’une guerre aussi sanglante que celle de 1914-1918. Comme lui, on peut se prendre à rêver qu’un jour, les morts se lèvent et s’avancent tous ensemble sur les routes, poussant les gouvernements à abolir la guerre et décréter le désarmement universel et intégral…

Le titre du cycle est emprunté au poème Barbara de Jacques Prévert, dans lequel il dénonce la guerre qui « abîme les villes ».

Rendez-vous à partir du 16 septembre
Au Forum des Images
Le programme et les informations supplémentaires sont à retrouver ici

mardi 15 juillet 2014

Rwanda, 20 ans après : nouvelle sélection de films

Il y a 20 ans, le Rwanda basculait dans l’horreur. Le génocide a fait 800 000 victimes, en cent jours. Nous vous proposons une nouvelle sélection de films à l’occasion de la commémoration de ce génocide.

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AVANT… Plusieurs de ces films permettent de revenir sur les causes du génocide des Tutsis : la géographie compliquée du pays, en contradiction avec la croissance démographique exponentielle, une anthropologie coloniale qui visait à opposer les différentes ethnies du pays et qui a ensuite été reprise par les extrémistes, des cycles de violence au moment de l’indépendance du pays qui ont conduit des milliers de personnes à fuir, la crise économique qui a frappé le pays à la fin des années 1980, l’incapacité du pouvoir à faire face, les pressions internationales pour une ouverture démocratique… Toutes ces raisons, et d’autres encore dont il est question dans les films, ont conduit le pays au chaos en 1994.

PENDANT… Vous trouverez aussi dans cette sélection des films qui racontent le génocide dans toute son horreur : des centaines de milliers de personnes tuées, des familles décimées, un pays à feu et à sang, une communauté internationale qui ne réagit pas…, mais également des fenêtres de solidarité, comme l’histoire des ces Hutus qui, au risque de leur vie, ont caché des Tutsis pour les sauver.

DEPUIS… Enfin, plusieurs films racontent l’après-génocide et la douloureuse reconstruction : le travail de mémoire réalisé pour ne pas oublier ce génocide et ses victimes, mais aussi le travail de justice et de réconciliation, pour qu’un tel drame ne se reproduise plus. Les Gacaca, tribunaux de proximité dans lesquels les Rwandais des collines sont appelés à juger leurs voisins, sont notamment évoqués dans plusieurs films.

Cette sélection de film est enrichie d'une liste de ressources documentaires pour aller plus loin sur le sujet, ainsi que d'une sitographie et d'une bibliographie.

Rendez-vous ici pour retrouver cette sélection.

jeudi 10 juillet 2014

Appel à soutien pour le film "Jusqu'à nouvel ordre", de Vincent Glenn

Vincent Glenn, réalisateur du film Indices, lance Jusqu'à nouvel ordre, un nouveau projet de film. Une fiction qui tournerait autour d'une idée simple: une agence de notation d'un nouveau type. Le réalisateur fait appel au financement participatif pour pouvoir produire son film.

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Jusqu'à Nouvel Ordre retrace le parcours d'un homme passé en quelques années du statut de cinéaste dépressif à celui d'homme d'affaires adulé du monde économique et des magazines people. Du loser au gourou.
Tout est parti d'une idée furieusement simple: une agence de notation d'un nouveau type.
Jusqu'à Nouvel Ordre est conçu comme un outil médiatique en forme de couteau suisse : une méditation à voix haute sur ce que pourrait être une information permettant de vrais leviers à l'action collective, a contrario de la machine à déboussoler que représente la plupart des médias. La vie est courte ? Raison de plus pour chercher tout ce qui nous permettra d'exister avec saveur et dignité. Si nous gagnons notre pari, Jusqu'à Nouvel Ordre sera classé au rayon des comédies politiques.

Vous pouvez soutenir le film en vous rendant ici

vendredi 4 juillet 2014

Projection "Les Balles du 14 juillet 1953" (mardi 8 juillet)

La Mairie du 2ème arrondissement, Daniel Kupferstein et les Ateliers du Réel vous invitent à la projection en avant-première du nouveau film de Daniel Kupferstein : Les Balles du 14 juillet 1953. Rendez-vous le 8 juillet à 19h30.

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Sait-on que pendant quelques années après la Libération, à côté du défilé militaire, il y avait un défilé populaire pour célébrer la Révolution Française ? On sait encore moins que lors du défilé du 14 juillet 1953 en l’honneur de la Révolution, la police parisienne a chargé un cortège de manifestants algériens. Sept personnes ont été tuées et une centaine de manifestants ont été blessés. Cette histoire est quasiment inconnue. Le film est l’histoire d’une longue enquête contre l’amnésie.

Rendez-vous mardi 8 juillet à 19h30
Salle Jean Dame, 17 rue Léopold-Bellan, 75002 PARIS
Plus d'informations ici

vendredi 27 juin 2014

"Ce qui ne se voit pas" : une double exposition du groupe RADO (juin - novembre 2014)

Le groupe RADO présente en Limousin, cet été, l'exposition Ce qui ne se voit pas. Cette exposition est le fruit d’une recherche que les artistes ont menée depuis juin 2011 dans le pays de Tulle. Elle sera présentée simultanément à Tulle et à Vassivière.

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Cette double exposition est née suite à une recherche menée par les artistes dans le pays de Tulle, en prise avec la réalité quotidienne des travailleurs et des habitants avec qui ils ont coopéré. Cette résidence initiée et portée par Peuple et Culture Corrèze a fait l’objet d’une Commande publique du Centre national des arts plastiques. Lors de la préparation des expositions elle-même, le groupe a fait appel à Kerwin Rolland, accousticien.

Les œuvres d’une grande diversité (photographies, dessins, vidéos, sculptures, installations sonores) traduisent les regards de ces neuf artistes sur le territoire corrézien, abordé sous l’angle de l’exploitation des ressources (bois, eau), des réseaux de distribution d’énergie, du tri des déchets, des travaux de rénovation urbaine,… : "Nous avons choisi d’aborder le territoire par ses réseaux techniques (énergie, déchets, transports etc.) : le plus souvent invisibles alors même qu’ils structurent notre vie quotidienne, ils sont de plus en plus objets de luttes et de débats. Il y avait là un défi documentaire : comment avec de la vidéo, du dessin, des photographies, des sculptures, révéler des réalités cachées, ou mal regardées, tout en indiquant des réserves d’invisible ? De ces questions et des enquêtes que nous avons conduites se sont dégagées plusieurs situations."

Une double exposition du groupe RADO : Fanny Béguery, Madeleine Bernardin Sabri, Florian Fouché, Adrien Malcor, Anaïs Masson, Marie Preston, Maxence Rifflet, Claire Tenu et Antoine Yoseph
Avec la collaboration de Kerwin Rolland

Rendez-vous Église Saint-Pierre, Tulle, du 21 juin au 12 août
Et au Centre international d’art et du paysage (Île de Vassivière) du 6 juillet au 2 novembre 2014
Plus de renseignements ici et .
Le dossier de presse est consultable ici

mercredi 25 juin 2014

GéoCulture s'expose à la Bibliothèque de Limoges ! (du 28 juin au 6 septembre)

Vous connaissez le site internet GéoCulture - Le Limousin vu par les artistes qui propose près de 800 œuvres ou extraits d’œuvres liées au territoire limousin ? GéoCulture s'expose tout l'été à la Bibliothèque francophone multimédia de Limoges ! Découvrez près d'une centaine d’œuvres représentant le Limousin et la vision de 15 artistes numériques dans le volet Digital visions de l'exposition.

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Transformant le hall de la Bfm en un musée atypique, cette exposition est l'occasion de découvrir une centaine d'œuvres (peintures, photographies, vidéos, textes littéraires, sons…) parmi les quelque 800 présentées sur GéoCulture – Le Limousin vu par les artistes et issues des musées et structures artistiques et culturelles de la région.

L'exposition GéoCulture – Le Limousin vu par les artistes est aussi l'occasion de découvrir les arts numériques et se fait lieu de création à travers son volet consacré aux arts numériques, Digital Visions : 15 œuvres numériques sur 15 lieux du Limousin par 15 artistes internationaux, sélectionnés par l'artiste numérique et curateur Systaime A.K.A. Michaël Borras.

L'exposition GéoCulture – Le Limousin vu par les artistes est une coproduction de la Bibliothèque francophone multimédia de Limoges et de l'AVEC Limousin.

Rendez-vous du 28 juin au 6 septembre
À la BFM - Bibliothèque francophone multimédia de Limoges
Plus de renseignements ici

mercredi 18 juin 2014

Visages de la Grande guerre en Corrèze : journée d'étude à Tulle (Samedi 28 juin 2014)

L'Office National des Anciens combattants et la préfecture de la Corrèze vous convient à une journée d'études « visages de la Grande Guerre », le 28 juin à l’amphithéâtre du Conseil général de la Corrèze à Tulle. Cette manifestation à reçu le label de la Mission du Centenaire. Un rendez-vous à ne pas manquer pour prolonger les questionnements soulevés lors de la Décade…

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Au programme :

  • 9h00 : Ouverture de la journée par M. Bruno Delsol, préfet de la Corrèze
  • 9h15 : Allocution de M. Gérard Bonnet, président du Conseil général de la Corrèze
  • 9h30 : Présentation de la Journée d’étude par M. Jean-Michel Valade
  • Séance de la matinée : Un mort pour 22 habitants
    • 9h45 : La mobilisation en Corrèze et les premières semaines de combat, Capitaine Bertrand Garandeau
    • 10h15 : Les instituteurs corréziens morts au front, Gilbert Beaubatie, professeur agrégé d’Histoire-Géographie
    • 10h45 : Léonard Leymarie, soldat corrézien fusillé pour l’exemple, Michel Agnoux, vice-président de l’ARAC de la Corrèze
    • 11h15 : De l’artillerie de campagne au pacifisme, itinéraire d’un général : Alexandre Percin, Thierry Pradel, directeur des Archives municipales de Brive
  • Séance : Un département de l’arrière
    • 14h00 : Les réfugiés de la Grande Guerre en Corrèze, Pierre-Arnaud Drouvin, archiviste municipal d’Ussel
    • 14h30 : Le Trait d’Union, un exemple de journal corrézien assurant la liaison entre front et arrière,Frédéric Le Hech, professeur agrégé d’Histoire-Géographie
    • 15h00 : Un fonds d’archives à exploiter, celui de l’Association corrézienne des veuves, orphelins et ascendants de guerre, Justine Berlière, directrice des Archives départementales de la Corrèze
  • Séance : Mémoires corréziennes de la Grande Guerre
    • 16h00 : Commémorer la Grande Guerre dans les espaces publics corréziens, Pascal Bousseyroux, agrégé d’Histoire
    • 16h30 : Regard sur l’implication d’une citoyenne dans la mémoire contemporaine de la Grande Guerre, Gisèle Vigier–Durand, généalogiste
    • 17h00 : La mémoire de la Grande Guerre à travers les ouvrages de romanciers corréziens de la fin du XXe siècle, Jean-Michel Valade, docteur ès Lettres
  • Conclusion de la Journée d’étude par Jean-Michel Valade

Rendez-vous samedi 28 juin 2014 à partir de 9h00
Amphithéâtre du Conseil général de la Corrèze, 9, rue René et Emile Fage, TULLE
Le programme détaillé est à télécharger ici

mardi 17 juin 2014

Fête du cinéma à Tulle avec Michel Piccoli (du 25 au 28 juin 2014)

La Ville de Tulle vous donne rendez-vous pour la désormais traditionnelle fête du cinéma à la fin du mois de juin. Cette année, c'est Michel Piccoli qui vous accueillera durant ces trois jours, accompagné par le réalisateur Jacques Rouffio.

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Au programme, des projections, rencontres et créations en ville (Tulle) et à la campagne (Saint Mexant) autour de 8 films interprétés par Michel Piccoli

  • La Fille prodigue, de Jacques Doillon
  • La Plage noire, de Michel Piccoli
  • La Passante du sans souci, de Jacques Rouffio
  • Habemus Papam, de Nani Moretti
  • Le Mépris, de Jean-Luc Godard
  • Adieu Bonaparte, de Youssef Chahine
  • Train noir, de Michel Piccoli

Quelques temps forts de cette programmation :
Mercredi 25 juin à 20h30, Saint-Mexant, ferme de Maryline et Léo Mertens (Lachassagne – route de Seilhac)
=> Projection de Le Sucre de Jacques Rouffio, en présence du réalisateur et de Michel Piccoli

Vendredi 27 juin à 18h, Tulle, passerelle de nacre
=> Vernissage sur la rivière Corrèze de l’oeuvre Masque d’Hélène Fraysse, Accompagnement par la chorale Asphodèle

Samedi 28 juin à 10, Tulle, médiathèque intercommunale Eric Rohmer
=> Concert de Gwenolla Maheux et échanges avec Michel Piccoli et Jacques Rouffio

Rendez-vous du 25 au 28 juin 2014
À Tulle et en Pays de Tulle
Tout le programme est à consulter ici !

vendredi 13 juin 2014

Rendez-vous du documentaire engagé : Jeu d'influences : les crises (mercredi 18 juin)

Voir et Agir et Politis vous proposent un nouveau rendez-vous du documentaire engagé le mercredi 18 juin, avec la projection du film Jeu d'influences : les crises, de Luc Hermann et Gilles Bovon.

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Ce « jeu d’influences », c’est celui des conseillers en communication qui se sont imposés au cœur de la production de l’information et réussissent à influencer les journalistes pour qu’ils reprennent leurs messages.
Le film détaille leurs stratégies pour résoudre les crises, redorer l’image d’une personnalité ou orienter l’opinion pour le compte d’intérêts privés. Il en va ainsi de l’affaire Kerviel, avec la longue guerre de l’image entre la Société générale et le trader, comme du sauvetage du tennisman Richard Gasquet, empêtré dans une affaire de dopage à la cocaïne.
Ou encore de cette ingénieuse campagne médiatique, financée en coulisses par les enseignes Leroy Merlin et Castorama, pour réusir à imposer au gouvernement la réouverture du débat sur le travail du dimanche, ou celle qui parvient à faire autoriser, contre l’avis du ministère de l’Intérieur, la commercialisation des avertisseurs de radar dans les voitures.
« Les crises » est une mise en garde efficace, et passionnante, contre les manipulations auxquelles se livrent ces hommes, ou ces femmes, de l’ombre.

La projection sera suivie d’un débat animé par Antoine Girard avec Luc Hermann, réalisateur et producteur du film.

Rendez-vous Mercredi 18 juin 2014 à 20H00
La Clef, 21 rue de la Clef/34 rue Daubenton , PARIS
Les informations pratiques sont à retrouver ici

jeudi 12 juin 2014

Cinémathèque du centenaire de la première guerre mondiale sur le site centenaire.org

Nous vous présentions il y a quelques jours le site centenaire.org. Une filmographie très complète sur la Guerre de 14-18 vient d'être mise en ligne sur ce site, grâce à une collaboration entre la mission du Centenaire et Laurent Véray, spécialiste du cinéma de la Grande Guerre.

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Les films, plus de 300 au total, sont classés par périodes historiques :

Cette période rassemble des films qui imaginent la guerre avant qu’elle n’éclate, puis qui la représentent pendant son déroulement en empruntant des formes variées, souvent déterminées par des pratiques culturelles plus anciennes. Ce sont des bandes d’actualité, des films d’animation, des documentaires ou des fictions.

De 1920 à 1939, les Américains continuent à spectaculariser la guerre dans The Big Parade (1925), de King Vidor, ou dans Wings (1929), de William Wellman, qui lance la mode des aventures aériennes glorifiant les prouesses des pilotes. Simultanément, à partir de 1927, on entre dans une période commémorative avec des films, aussi bien en France, en Allemagne qu’en URSS, plus réalistes et pacifiques.

Anticonformiste et transgressive, la troisième période se développe surtout au cours des années cinquante, après le film américain Les Sentiers de la gloire (1957) de Stanley Kubrick. Une œuvre charnière, engagée, subversive, réalisée dans le contexte des guerres de décolonisation en Corée, Indochine, et Algérie, qui dénonce les abus d’autorité des officiers supérieurs en abordant le cas des fusillés pour l’exemple au sein de l’armée française. La guerre y apparaît telle une tragédie féroce, les soldats tels des pantins. Certes, le film restera invisible en France jusqu’en 1975 du fait d’une censure souterraine des autorités politiques, mais son influence sera décisive dès ce moment-là au point de devenir une référence dont on trouve la trace dans de nombreux films, comme Le Pantalon (1997) d’Yves Boisset.

La quatrième période s’inscrit à la fois en continuité et en rupture avec les précédentes. Elle trouve son origine dans les angoisses mémorielles. Elle se développe au moment où on assiste à la disparition des derniers anciens combattants qui occupaient une place importante dans la transmission de l’événement. Mais cette période correspond surtout à la perte de repère des sociétés modernes frappées par des mutations profondes. La chute du communisme donne naissance à de nouvelles réflexions sur l’identité nationale de nombreux pays européens. En outre, la mémoire du premier conflit mondial est réactivée à l’occasion du retour de la guerre en Europe, en Yougoslavie, entre 1991 et 2001. Enfin, plus proche de nous, ce sont l’accélération de la mondialisation économique ressentie comme un péril, et les déceptions d’une construction européenne malmenée, ainsi que les peurs liées à l’après 11 septembre 2001, qui sont déterminantes pour comprendre le sens des fictions de la Grande Guerre.

Pour chaque film, une fiche d'information vous permet de retrouver les informations génériques, une image, un synopsis et le contexte de réception de l’œuvre.

La cinémathèque du centenaire est à retrouver ici.

mercredi 11 juin 2014

Nouvelle sélection de films autour du Brésil

Demain va s'ouvrir la Coupe du Monde de football 2014 au Brésil. Dans ce pays qui entretient un lien si singulier avec le football, l'heure n'est pourtant pas à la fête, et les mobilisations sociales prennent de plus en plus d'ampleur à l'approche de l’ouverture de cet événement. Nous vous proposons une nouvelle sélection de films pour comprendre cette mobilisation.

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Le Brésil est considéré comme la nation du football. Un lien très fort unit le pays à ce sport, et plusieurs films de cette sélection le montrent. Alors, il y a sept ans, lorsque la FIFA a choisi le Brésil pour organiser la Coupe du monde 2014, un réel enthousiasme s’est emparé du pays. Puis, peu à peu, l’amertume a remplacé la joie, à tel point que récemment, un sondage montrait qu’une large majorité de brésiliens estime que la Coupe du monde, sur le plan extra-sportif, portera préjudice au pays. Depuis plusieurs mois, on assiste ainsi à des manifestations d’opposition à cette Coupe du monde.

Cette sélection propose donc également plusieurs films qui donnent la parole à ces mouvements d’opposition, et qui permettent de comprendre que l’organisation de la Coupe du Monde, qui a induit d’énormes dépenses, a tenu en dehors de la fête le peuple brésilien, en proie à de graves difficultés sociales et économiques, des problème de pénuries de logement… Par exemple, au nom de la politique de la ville, des milliers de familles ont été expulsées de chez elles…

Cette filmographie a été réalisée avec les conseils de l’association Autres Brésils, qui a pour but de faire découvrir la société brésilienne à un public francophone, grâce à la diffusion et à la traduction en français d’informations, de reportages, d’analyses, de points de vue ou de témoignages sur le Brésil en provenance d’un réseau de partenaires français et brésiliens. L’association s’appuie également sur les films documentaires, avec des projections-rencontres régulières, et l’organisation, chaque année, du festival Brésil en Mouvements.

Cette filmographie est à consulter ici.

vendredi 6 juin 2014

Coupe du Monde : quelle place pour le droit au logement ? (Mardi 10 juin)

Autres Brésils et Ritimo ont le plaisir de vous inviter à une projection-débat autour de la Coupe du Monde, en lien avec le dernier numéro de la collection Passerelle La terre est à nous ! Pour la fonction sociale du logement et du foncier, résistances et alternatives. Rendez-vous mardi 10 juin.

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La Coupe du Monde de football débute le 12 juin prochain au Brésil, puis en 2016 auront lieu les Jeux Olympiques ; deux "mega-eventos" qui impliquent la construction d’infrastructures gigantesques au détriment des lieux de vie des communautés, victimes d’expulsions forcées. Face à ces injustices croissantes, la société civile brésilienne se mobilise afin de faire valoir ses droits.

Le Brésil n’est pas un cas isolé. Il existe chaque fois plus d’exemples à travers le monde qui illustrent l’insécurité des habitants, que cela soit en milieu rural ou urbain. Quelles sont les mécanismes d’accaparement des terres ? Pour les bénéfices de quels acteurs ? Quelles sont les actions et alternatives possibles afin de garantir les droits immobiliers et fonciers des habitants ?

Au programme :

  • 20h30 : Table ronde, en présence de :
    • Teresa Peixoto, docteure en Etudes Urbaines (EHESS). Professeure à l’Université d’Etat du Norte Fluminense (UENF). Invité à Paris depuis le 1er mai au sein du Groupe de Géographie et d’Histoire des Territoires, des Ressources, de l’Environnement et des Sociétés (EHESS).
    • Nicolas Bautès, maître de Conférences en géographie, Université de Caen Basse-Normandie et chercheur associé au CEIAS, Centre d’Etudes de l’Inde et de l’Asie du Sud (EHESS)
    • Charlotte Mathivet, politologue, militante pour le droit au logement et à la ville. Coordinatrice et co-éditrice de ce numéro de la Collection Passerelle sur le foncier.

Rendez-vous mardi 10 juin à partir de 18h30
Fondation Charles Léopold Mayer, 38 rue Saint Sabin, Paris
Plus de détails ici

Pour télécharger le Passerelle : cliquez ici

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