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Le Blog d’Autour du 1er mai

lundi 23 avril 2012

Festival CinéSolidaires les 12 et 13 mai

Le festival CinéSolidaire est un festival de films militants organisé par l'Union Locale Solidaires Paris des 5ème et 13ème arrondissements sur le thème du monde ouvrier. Il se tiendra les 12 et 13 prochains à Ivry sur Seine, et le programme est très réussi !

Au prgramme, des projections de films autour du monde ouvrier, ainsi que de nombreux débats.

Vous pourrez assister aux projection de :

Tout le programme est à retrouver ici !
Rendez-vous 1 bis avenue Pierre Sémard, à Ivry sur Seine
Entrée gratuite

mercredi 18 avril 2012

100 jours en 2012 : 100 films avant l'élection présidentielle

À quelques jours du 1er tour de l'élection présidentielle, il est plus que temps de relayer le beau projet du collectif 100 jours 2012, qui propose de mettre en ligne chaque jour, depuis le 27 janvier 2012, un film documentaire autour de l'élection présidentielle, et ce jusqu'au 6 mai, date du second tour de l'élection.

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Nous en sommes déjà à plus de 80 films diffusés ! Mais pas de panique pour les retardataires, tous les films sont toujours consultables sur le site internet du projet, et les films sont téléchargeables et libres de droits.

Cinq ans plus tard, le rituel des élections reprend son cours, les protagonistes sont identiques, la représentation spectaculaire et les enjeux confisqués. En 2007, nous avions réuni soixante réalisateurs et réalisatrices pour créer et diffuser 100 films les 100 jours précédant le deuxième tour des élections présidentielles. Cinq ans plus tard, nous décidons de renouveler l’expérience avec 100jours en 2012. Nous voulons réinventer ce projet politique, cinématographique et artistique. Nous voulons à nouveau créer collectivement et bénévolement. Et nous faisons le pari de mettre en œuvre un décalage : un autre rapport à l’individu, à l’esthétique, à l’actualité, un autre rapport à l’Autre, où notre système est un espace qui s’invente. Imaginer des rencontres, approcher des trajectoires, capturer des instants, considérer cette période comme un moment d’expérimentation, de création, d’ouverture des possibles, un moment pour prendre la parole, brutalement ou joyeusement, empli de colère ou d’espoir. En se projetant de la place du village à l’utopie bien nommée, nous affirmons par ce projet notre désir de saisir le présent.

(Frédéric Lordon – “D’un retournement, l’autre”)

Le site Internet du projet
Ne tardez pas à regarder et partager tous ces films !

Les 8èmes rencontres du film documentaire "Luttes et résistances" du 27 au 29 avril

L'association Abraham Mazel présente la nouvelle édition de son festival Luttes et Résistances avec pour thème cette année les "Porteurs d'espoirs", festival bien nommé qui se tiendra entre les deux tours de l'élection présidentielle, du 27 au 29 avril, dans les Cévennes.

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Lutter, Résister, quelles qu’en soient les victoires, sont toujours « Porteurs d’Espoir ». C’est ce qui sera exprimé à travers les documentaires, atelier et les débats de cette huitième édition de « Luttes et Résistances ».

Vous pourrez notamment assister aux projections de :

Et plein d'autres films à découvrir !

Télécharger le programme du festival : festival_luttes_résistances

Rendez-vous du 27 au 29 avril à Saint-Jean du Gard, salle Stevenson
Pour toute information : Association Abraham Mazel, Tél : 04 66 85 33 33, E-Mail : maison.mazel@gmail.com

mardi 17 avril 2012

Projections avant chaque tour de l'élection présidentielle

La veille de chaque tour du scrutin, Stéphane Batut propose de visionner son film Le Chœur, tourné il y a cinq ans, entre les deux tours de l'élection présidentielle... le_choeur.jpg

Au coin de ma rue, il y a un café, fréquenté par des habitués qui se retrouvent chaque matin après avoir emmené les enfants à l’école, avant d’aller au travail, en revenant de la boulangerie comme si cet endroit avait fini par devenir une étape incontournable sur leur chemin quotidien, presque un refuge. Au printemps 2007, alors que la bataille électorale faisait rage à l’extérieur, la parole dans le café s’y fit plus viscérale, plus intime et souvent irrationnelle. Les élections ouvraient une parenthèse de temps où chacun aurait à se prononcer. Je décide donc de m’y installer au bar durant les deux semaines du second tour, de filmer cette petite communauté qui commente la bataille des deux candidats et de recueillir la parole de ce « chœur » qui depuis son théâtre d’ombre reprend les mots des héros de la république.

Le rendez-vous est fixé au cinéma du Panthéon, les samedi 21 avril et 5 mai, à 12h00.
Réservation auprès de : sbatut@hotmail.com
Toutes les informations sur le film ici !

mardi 10 avril 2012

La deuxième partie de la Décade cinéma et société commence demain !

Nous vous donnons rendez-vous dès demain à Tulle pour la seconde partie de la Décade cinéma et société !

Au programme :
  • Mercredi 11 avril, 15h00, TULLE, cinéma Le Palace

Les folles années du twist, Mahmoud Zemmouri, 1983, 90 mn

À Bouffarik, au début des années 960, pendant la dernière année de la guerre d’Algérie, les mésaventures de Boualem et de Salah, deux jeunes garçons débrouillards et oisifs, passionnés par les rythmes endiablés du twist. Loin de tout engagement politique, pendant que s’affrontent le FLN et l’Armée française, les deux jeunes gens cherchent à profiter de la vie et de leur jeunesse…L’Histoire en marche finira par les rattraper…

  • Mercredi 11 avril, 18h00, TULLE, médiathèque Eric Rohmer

J’ai 8 ans, Yann le Masson, 1961, 10 mn

Rescapés de la guerre d’Algérie et réfugiés dans des camps tunisiens, des enfants algériens témoignent, à partir de dessins qu’ils ont eux-mêmes réalisés, des événements tragiques qu’ils ont vécus. J’ai 8 ans fut interdit durant dix ans sur le territoire national.

Octobre à Paris, Jacques Panijel, 1961, 70 mn

Octobre à Paris est le seul documentaire de l’époque consacré aux exactions, tortures et noyades dans la Seine pendant et après la manifestation pacifique du 7 octobre 96 , organisée à Paris, à l’appel de la Fédération française du FLN pour protester contre un couvre-feu discriminatoire et réclamer l’indépendance de l’Algérie. Le film retrace la préparation et le déroulement de cette manifestation sauvagement réprimée sous l’autorité d’un préfet nommé…. Maurice Papon. Il donne la parole à des rescapés qui relatent les tortures qu’ils ont subies dans les commissariats parisiens. Les témoignages des victimes et les photos d’Elie Kagan constituent un réquisitoire accablant.

  • Mercredi 11 avril, 21h00, TULLE, cinéma Le Palace

Peuple en marche, René Vautier, 1963, 60 mn

Sous l’égide de René Vautier, directeur du Centre Audiovisuel d’Alger, de jeunes cinéastes algériens braquent leur caméra sur le passé, le présent et aussi l’avenir qu’ils rêvent pour l’Algérie et réalisent le premier documentaire collectif sur l’Algérie indépendante. Avec une quantité d’images historiques exceptionnelles, tant de guerre (maquis, villages détruits) que de l’immédiate après guerre (reconstructions, revitalisation des campagnes)

Algérie année zéro, Marceline Loridan-Ivens et Jean-Pierre Sergent, 1962, 40 mn

Documentaire sur les débuts de l’indépendance algérienne filmé au cours de l’été 96 à Alger. Le film fut interdit en France et en Algérie mais obtint le Grand prix du festival international de Leipzig en 96 .


  • Jeudi 12 avril, 14h00, TULLE, cinéma Le Palace

Le Général de Bollardière et la torture, André Gazut, 1974, 52 mn

En 97, André Gazut, cinéaste (qui pour ne pas avoir à combattre les indépendantistes algériens déserta l’armée française) réalise avec ce film le portrait du général le plus décoré de la France libre, le général de Bollardière, l’homme qui eut le courage de dire deux fois « non » : à l’occupation nazie et à la collaboration en 9 0 ; à l’usage de la torture en 9 7 lors de la bataille d’Alger. Le film donne aussi la parole, avec du recul, à plusieurs grands témoins ou acteurs de « la sale guerre » (de Pierre Messmer à Jacques Massu, de Paul Teitgen à Robert Lacoste). Projeté à l’époque par les télévisions suisses, belges et canadiennes mais jamais par les grandes chaînes françaises ! Il faudra attendre le 8 juillet 00 pour qu’il soit diffusé… sur la chaîne parlementaire.

  • Jeudi 12 avril, 18h00, TULLE, médiathèque Eric Rohmer

Déchirures algériennes, Jean Labib, 1987, 57 mn

Quatrième partie d’une série de six documentaires sur le général de Gaulle.

Réalisée pour la télévision d’après l’oeuvre de Jean Lacouture, ce film analyse la politique algérienne du général de Gaulle, de son arrivée au pouvoir en 9 8, jusqu’aux accords d’Evian en 96 . L’engagement, Gérard Follin, 1988, 32 mn

Génération est le feuilleton d’une génération qui a grandi sous la Guerre froide et qui, de la guerre d’Algérie à Mai 68 s’engagea dans le militantisme. Alternant images d’archives et interviews, cette série de quinze épisodes dresse le portrait d’une génération qui voulait « changer le monde » et « changer la vie ». L’engagement est le premier épisode de cette série : au début des années 60, les étudiants découvrent le militantisme et l’engagement politique lors de la lutte contre la guerre d’Algérie.


  • Jeudi 12 avril, 21h00, TULLE, cinéma Le Palace

Bled number one, Rabah Ameur-Zaïmèche, 2005, 97 mn

Dans ce deuxième volet de sa trilogie, le réalisateur fait resurgir Kamel, expulsé de France après sa sortie de prison vers son pays d’origine, l’Algérie. Cet exil forcé le contraint à observer avec lucidité un pays en pleine effervescence, tiraillé entre désir de modernité et traditions ancestrales. Violence intégriste, solidarité communautaire, loi traditionnelle impitoyable envers les femmes, rapports entre les enfants du pays émigrés et ceux restés au pays, composent cette chronique d’un petit bourg de l’Algérie contemporaine où se mêlent souffrance et beauté.


  • Vendredi 13 avril, 14h00, TULLE, médiathèque Eric Rohmer

Kateb Yacine, l’amour et la révolution, Kamal Dehane, 1960, 60 mn

Kateb Yacine, écrivain et poète algérien d’origine berbère, instruit dans la langue du colonisateur, considérait la langue française comme « le butin de guerre » des algériens. « La Francophonie est une machine politique néo-coloniale qui ne fait que perpétuer notre aliénation, mais l’usage de la langue française ne signifie pas qu’on soit l’agent d’une puissance étrangère et j’écris en français pour dire aux français que je ne suis pas français » déclarait-il en 960. Ce film reste l’archive principale sur ce personnage lumineux dont l’œuvre traduit la quête d’identité d’un pays aux multiples cultures et les aspirations de son peuple.


  • Vendredi 13 avril, 18h30, TULLE, cinéma Le Palace

Elles, Ahmed Lallem, 1966, 22 mn

En 966, quatre années après le début de l’indépendance, des lycéennes algériennes de première et terminale, parlent de leur vie, des difficultés qu’elles rencontrent dans leur désir d’émancipation, de leurs attentes, de leur espérance dans l’avenir de leur pays.

Algériennes, trente ans après, Ahmed Lallem, 1996, 54 mn

Trente ans plus tard, Ahmed Lallem retrouve quatre d’entre elles qui vivent soit en exil, soit en Algérie. À travers les différents parcours de ces femmes, le film explore la complexité de la vie des algériennes, leurs déceptions mais aussi leur combativité. Une confrontation entre les aspirations, les espoirs d’hier et les désillusions d’aujourd’hui, à travers laquelle trente années d’histoire algérienne sont évoquées.


  • Vendredi 13 avril, 21h00, TULLE, cinéma Le Palace

Elise ou la vraie vie, Michel Drach, 1970, 105 mn

En pleine guerre d’Algérie, Elise une jeune bordelaise « monte » à Paris rejoindre son frère pour gagner sa vie dans une usine automobile. Elle y rencontre Arezki, un militant nationaliste algérien dont elle tombe amoureuse. Ce long métrage inspiré du roman de Claire Etcherelli offre une chronique de la vie ouvrière de l’époque et souligne l’ampleur de la répression policière à l’encontre des Algériens durant une guerre qui ne dit pas son nom.


  • Samedi 14 avril, 15h00, TULLE, cinéma Le Palace

Carte blanche au CNC, Une sélection de films d’archives tournés pendant, la période coloniale ( 896- 96 ) Rue de France, 1896, 1 mn, muet Biskra, enfants indigènes ramassant des pièces de monnaie, Film Lumière, opérateur Alexandre Promio, 1903, 1 mn, muet Journée d’une musulmane, Film Eclair, opérateur Alexandre Promio, 1912, 6 mn, muet Algérie humaine, Jean-Charles Carlus,1948, 30 mn Bouzareah, Jack Pinoteau 1950, 26 mn L’Algérie et notre conscience, Philippe Brunet et Gilbert Prouteau 1955, 19 mn Rossignol de Kabylie, Georges Régnier, 1962, 21 mn


  • Samedi 14 avril, 20h00, TULLE, cinéma Le Palace

La Guerre sans nom, Bertrand Tavernier, Patrick Rotman, 1992, 230 mn

Entre 9 et 96 , près de trois millions de jeunes français de métropole participent en Algérie aux « opérations de maintien de l’ordre », appellation destinée à masquer un conflit dont les traumatismes ont été depuis en grande partie refoulés. Partant de ce constat, Tavernier et Rotman donnent aux anciens appelés l’occasion de s’exprimer pour la première fois. Ouvriers, paysans, commerçants ou cadres. Par les nombreux sujets évoqués : la grande manifestation pacifiste de Grenoble pour empêcher le départ des appelés, l’action psychologique, l’ennui du cantonnement, le repli sur soi, les beuveries, les accidents (un tiers des disparus), la peur, l’incompréhension, l’insoumission, les camps de regroupement, la torture, l’OAS, le sort des harkis… c’est une véritable histoire de la guerre qui se tisse, vue par les appelés du contingent, tous marqués à vie par cette guerre « inutile ».


  • Dimanche 15 avril, 14h45, TULLE, cinéma Le Palace

Algérie, histoires à ne pas dire, Jean-Pierre Lledo, 2006, 160 mn

Jean Pierre Lledo convoque les tabous en sollicitant la mémoire du pays. Ce film est le produit de sa propre histoire, celle d’un algérien d’origine à la fois juive, berbère et européenne, qui est partie prenante de l’Algérie indépendante, mais profondément déçu par l’évolution de son pays. La figure essentielle du film est l’Absent, celui qui n’est plus là et dont la mémoire même tend à disparaître. L’absence du chef de maquis, probablement victime d’un règlement de compte entre indépendantistes et dont la mort reste obscure, celle d’une femme qui a risqué sa vie pour l’indépendance, aujourd’hui meurtrie par l’islamisation du pays, celle des juifs qui ont dû quitter un pays dont ils constituaient l’une des plus anciennes populations ou encore celle des descendants d’immigrants espagnols qui n’approuvaient pas l’OAS et entretenaient des rapports fraternels avec les arabes, et dont certains ont été pourtant victimes de violences aveugles à l’indépendance. Pour lui l’Algérie est devenue indépendante mais n’a pas réussi à être fraternelle. Le film fut empêché de sortie par deux fois en Algérie.


  • Dimanche 15 avril, 21h00, TULLE, cinéma Le Palace

Avant de franchir la ligne d’horizon, Habiba Djahnine, 2010, 64 mn

Dans ce film, Habiba Djahnine va à la rencontre de militants et de militantes qui continuent à agir. Les rencontrer, les surprendre dans leur espace de vie, de travail ou de lutte dans lequel ils inscrivent quelques mots de leur histoire et de celle de la réalisatrice, algérienne, tourmentée. Mémoire, trou de mémoire, bruits de fond, manifestations… Ce documentaire témoigne de 0 ans de mobilisation- répression politique en Algérie.


  • Vendredi 20 avril, 20h00, CORNIL, Lauconie

Mémoires d’immigrés : les enfants, Yamina Benguigui, 1997, 52 mn

Les enfants est le troisième volet d’une trilogie qui s’intéresse à l’immigration maghrébine en France. Nés en France ou venus en bas âge dans le cadre du regroupement familial, les enfants d’immigrés maghrébins vont subir de plein fouet, tout comme leurs parents, les contradictions de la politique qui leur est appliquée.

Suivi d’un apéro-débat 21h30 : concert avec le Cabaret Constantine

Des musiciens du Bal d’Areski, présents aux Nuits de Nacre en 0 0, proposent un voyage hors norme entre la France, les Balkans et le Maghreb. La chanson populaire s’étend au delà des frontières, s’empare des accents orientaux et rend hommage aux grands paroliers comme Lili Boniche, Blond Blond, Salim Halili, Slimane Azem ou encore l’incontournable Cheikh El Hasnaoui.

mercredi 28 mars 2012

Projection à l'Institut du Monde arabe du film "Le Manifeste des 121"

Pour ceux qui n'auraient pas encore eu l'occasion de voir le film de Mehdi Lallaoui "Le Manifeste des 121. Les Intellectuels dans la guerre d'Algérie", nous vous conseillons vivement de vous rendre à l'Ima le 4 avril à 18h30.

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Dans le cadre du 50e anniversaire de l'indépendance de l'Algérie.
Les Jeudis de l'Institut du Monde Arabe en partenariat avec Pangée Network, ont le plaisir de vous inviter le 4 avril 2012 à 18h30 à la projection du documentaire:
Le Manifeste des 121. Des intellectuels dans la guerre d'Algérie de Mehdi Lallaoui, 52 minutes, 2011. (Auditorium, Niveau -2)

dimanche 18 mars 2012

Leçon de cinéma par Dominique Cabrera

Aujourd'hui, pour clore en beauté la première session de cette décade, nous vous donnons rendez-vous à Argentat pour une leçon de cinéma animée par Dominique Cabrera.

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Cette leçon débutera par la diffusion d'extraits de ses films qu'elle commentera, puis par la projection de L'Autre côté de la mer, qu'elle a réalisé en 1997.

Rendez-vous à 16h00 à la librairie l'Aire libre, à Argentat Entrée libre

samedi 17 mars 2012

Cet après-midi, rendez-vous pour une carte blanche à l'Ina

Nous vous donnons rendez-vous cet après midi à Tulle, salle de l'Université Populaire, pour un après-midi de projection de documents issus des archives de l'Ina, en présence de Joëlle Olivier, chef de projets culturels à L'ina. ina.jpg L'équipe de journalistes de "Cinq colonnes" en reportage en Algérie dans un poste militaire français effectuant une prise de son. (crédit : Ina)

Au programme, des épisodes de de Cinq colonnes à la Une et du Bloc-notes de François Mauriac :

Puis un documentaire de Djamel Zaoui : Une Autre guerre d'Algérie

Nous vous donnons rendez-vous à partir de 15h00 à la salle de L'université Populaire, à Tulle
Entrée libre
Toute la programmation de la Décade ici !

vendredi 16 mars 2012

Ce soir, carte banche à Mehdi Lallaoui, en sa présence !

La Décade continue, et nous aurons le plaisir de vous retrouver ce soir pour une carte blanche à Mehdi Lallaoui, qui viendra nous présenter deux films qu'il a choisis :

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Retrouvez ici la présentation de Mehdi Lallaoui rédigée par Geneviève Dreyfus Armand, historienne.

Nous vous donnons rendez-vous ce soir à 20h00 chez Bernard Mullet, paysan à Naves, Solheilavoup
Toute la programmation de la Décade ici !

mercredi 14 mars 2012

Ouverture de la 7ème Décade Cinéma et société ce soir !

Nous vous attendons nombruex ce soir au cinéma Louis Jouvet, à Uzerche, pour la soirée d'ouverture de la 7ème Décade Cinéma et société : El Djazaïr ! France-Algérie, du colonialisme à nos jours. Aff_decade_2012.jpg

Au programme, la projection de

En présence de Mohammed Lakhdar Hamina.

Toutes les informations pratiques sur l'invitation, ici !

Rendez-vous à 20h30 au cinéma Louis Jouvet
Entrée libre

mercredi 7 mars 2012

4ème édition du festival 8-9, 5-16 des films amateurs des Pavillons-sous-bois

Nous sommes heureux de relayer le programme de le nouvelle édition du festival des films amateurs des Pavillons sous bois, qui fêtera cette année sa quatrième édition, jeudi 15 et vendredi 16 mars. festival_films_amateurs.jpg

Le CECAS de la ville des Pavillons-sous-Bois en Seine-Saint-Denis et la revue Cinéscopie (revue des amateurs de cinéma) organisent un festival de films amateurs tournés en formats argentiques substandards (super 8, 9,5 et 16 mm).

OBJECTIFS : - Montrer la richesse et l’intérêt des films réalisés par des cinéastes amateurs dans les formats 8, 9,5 et 16 mm. - Prendre du plaisir à regarder ces films projets sur des anciens appareils de cinéma.

Le rendez-vous est donc fixé les 15 et 16 mars 2012 à l'Espace des Arts, salle Philippe Noiret, 144 avenue Jean Jaurès, Les Pavillons-sous-bois

Vous retrouverez ici le programme complet de la manifestation : Programme_festival_films_amateurs.pdf

lundi 27 février 2012

Soirée événement pour l'ouverture de la 7ème Décade Cinéma et Société

Nous vous annoncions récemment la prochaine édition de la Décade Cinéma et société, nous sommes heureux aujourd'hui de vous convier à la soirée d'ouverture du festival, qui sera une séance événement en présence du très grand réalisateur Algérien Mohammed Lakhdar-Hamina ! vent_des_aures

Au cours de cette soirée seront projetés deux films, Techniquement si simple, de René Vautier, et Le Vent des Aurès, de Mohammed Lakhdar Hamina. Ce dernier nous fait l'immense honneur d'accompagner cette séance et de venir nous parler de son expérience de cinémaste algérien pendant la guerre d'Algérie.

Rappelons que les films de Mohammed Lakhdar-Hamina ont été deux fois primés au festival de Cannes, Le Vent des Aurès a obtenu le Prix de la Première œuvre en1967, et Chroniques des années de braise a obtenu la Palme d'Or en 1975. Mohammed Lakhdar-Hamina a également dirigé l'Office National pour le Commerce et l'Industrie Cinématographique (ONCIC), de 1981 à 1984. C'est donc un grand privilège de pouvoir discuter avec lui, et nous vous invitons à venir particper à cette soirée.

Nous vous donnons donc rendez-vous le mercredi 14 mars 2012 à 20h30 au cinéma Louis Jouvet, à Uzerche. Entrée gratuite !
Retrouvez par ailleurs le programme complet de la 7ème Décade Cinéma et société ici.

Nouvelle édition de la Décade Cinéma et Société

Nous sommes heureux de vous présenter aujourd'hui la 7ème édition de la Décade Cinéma et Société : El Djazaïr ! France Algérie, du colonialisme à aujourd'hui. Elle se tiendra en Corrèze du 14 au 18 mars, puis du 11 au 15 avril, et nous serons ravis de vous y retrouver !

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Pour cette septième édition, et en écho au cinquantième anniversaire des accords d'Evian, la Décade a choisi d'explorer les relations franco algériennes au cinéma, des débuts du 7ème art, avec notamment une carte blanche aux Archives Françaises du film du CNC, à aujourd'hui, avec des films réalisés par de jeunes réalisateurs algériens qui questionnent leur rapport à cette histoire.

Vous pourrez assister à des projections de films rares, longtemps censurés, comme J'ai 8 ans de Yann le Masson, ou Octobre à Paris, de Jacques Panijel. Ce sera aussi l'occasion de redécouvrir des films moins connus de René Vautier, Techniquement si simple et Peuple en marche. Dominqiue Cabrera nous offrira une leçon de cinéma autour d'extraits de ses différents films, nous aurons aussi le plaisir de découvrir des films de talentueux réalisteurs algériens, comme Bled number one, de Rabah Ameur Zaïmèche, Les Folles années du twist, de Mahmoud Zemmouri. Nous vous réservons de nombreuses autres surprises encore !

Comme à notre habitude, chaque séance sera accompagnée soit par le réalisateur du film projeté, soir par un spécialiste de la question soulevée par le film.

Vous retrouverez ici le programme complet du festival : Programme-decade2012.pdf

N'hésitez pas à nous contacter pour plus d'informations, d'envoi de programmes, d'affiches, ou de renseignement pratiques, nous nous tenons à votre disposition !

Au plaisir de vous retrouver dès le 14 mars !

mardi 7 février 2012

Nouvelle édition du Festival International du Film d'Environnement, c'est aujourd'hui !

Nous sommes ravis de relayer le programme, très riche encore cette année, de la 29ème édition de Festival International du Film d'Environnement, qui se tient du 7 au 14 février au cinéma des cinéastes, à Paris. Visuel_FIFE_2012.jpg

Pour les citoyens attentifs au sort de la planète, le cinéma est parfois un vecteur de prise de conscience écologique. C'est ce rôle principal qui lui est confié au Festival international du film d'environnement, afin qu'il informe, éduque et sensibilise le public au monde tel qu'il est et risque d'être. Face aux défis et aux incertitudes, les hommes réagissent et agissent. De plus en plus de films présentent des initiatives, des tentatives, des solidarités qui veulent faire évoluer les choses, construire un avenir durable et respectueux des hommes et de la nature. Ils rapportent des images du monde entier, de l'Arctique au coeur de l'Afrique, des enjeux d'aujourd'hui aux solutions de demain. Ce sont ces regards que présente la sélection du Fife 2012.

Deux débats relaieront les réflexions menées sur deux grands enjeux environnementaux : l'accès à l'eau, un droit fondamental, et l'évolution de la conscience écologique globale 20 ans après le sommet de Rio.

Cette année, le Cinéma des cinéastes, dans le 17ème arrondissement, à Paris, accueillera la majorité des projections. Six autres cinémas franciliens participent au festival. Le Fife 2012 présente aussi une nouvelle sélection : des webdocumentaires et créations numériques, diffusés sur notre plate-forme publique et gratuite "Fife Replay".

Retrouvez le programme complet du festival ici, ainsi que toutes les informations pratiques sur le site Internet de l'événement, ici.

samedi 4 février 2012

Nouvelle édition du Festival Filmer le travail du 3 au 12 février

Nous sommes heureux de relayer la superbe programmation du festival Filmer le travail, qui se tient en ce moment à Poitiers pour sa 3ème édition.

La richesse de ce festival réside en la grande qualité des films projetés, notamment dans la compétition internationale, dans la compétition "Filme ton travail", qui propose à chacun de réaliser des films courts au moyen des nouveaux outils numériques pour témoigner et mener une réflexion sur son propre quotidien au travail, mais également grâce à des rétrospectives, des séances spéciales, et des rencontres avec des intyervenants spécialistes des questions traitées. filmer_travail.jpg

Filmer le travail est un festival en prise avec la réalité sociale, se consacrante ntièrement aux questions liées au monde du travail à travers le cinéma et l’audiovisuel. Du documentaire à la fiction, du film scientifique à l’animation, les images symboliques ou réalistes du travail sont de plus en plus présentes dans tous les genres du cinéma et de l’audiovisuel. Les frontières entre ces genres sont ellesmêmes de plus en plus floues et permettent de renouveler les images témoignant des rapports sociaux, professionnels et des réalités contemporaines du monde du travail. Monde ouvrier, univers du tertiaire, précarité et chômage, mondialisation, nouvelles solidarités, nouvelles alternatives, violence et souffrance, redéfinition même de la notion de travail, sont autant de problématiques mises en lumière par l’image animée aujourd’hui, en France et dans le monde. Plus que jamais, le cinéma et les créateurs d’images s’intéressent au travail et ouvrent ainsi une fenêtre de réflexion sur notre société. Cette année encore, le festival Filmer le travail constituera un espace de rencontre et de questionnement privilégié entre le cinéma, l’image fixe et animée en général, et les réalités du monde du travail. Réalisateurs, chercheurs, acteurs du monde du travail seront là pour échanger avec le public. La programmation à la fois riche et exigeante fait du festival un évènement culturel de qualité. Il constitue un espace d’expression et de débat intéressant aussi bien les professionnels (chercheurs, experts, réalisateurs, syndicalistes) que des citoyens curieux de s’informer, de découvrir, d’échanger et de participer à la vie culturelle. Les cinéphiles, les spécialistes du monde du travail, les étudiants et surtout beaucoup de jeunes actifs semblent s’y retrouver et composent une part importante du public. Filmer le travail propose des films de fictions, des documentaires, des films d’animation, des expositions, des conférences, de nombreux débats, des journées d’études. Le festival s’ouvre aussi vers d’autres formes de création liées au travail : photographie, bande dessinée, théâtre, arts numériques, littérature... Le succès public et médiatique constaté lors des éditions précédentes devraient rapidement faire de “Filmer le travail” un festival reconnu et estimé au niveau national et international. L’équipe du festival « Filmer le travail » vous invite à venir échanger, partager, pour le plaisir, la découverte, le débat citoyen !

Retrouvez ici toute la programmation du festival, et sur le site Internet toutes les informations pratiques.

vendredi 6 janvier 2012

Nouvelle projection organsiée par Voir et Agir et Politis le 11 janvier

Comme nous en avons l'habitude, nous avons le plaisir de vous informer de la prochaine soirée de projection organisée par Voir et Agir et Politis, le 11 janvier au cours de laquelle sera projeté le film La City, la Finance en eaux troubles, de Mathieu Verboud. fcity_finance_en_eaux_troubles.jpg

Au cœur de Londres, se niche l'arpent de territoire le plus riche que la terre ait jamais porté : la City. Capitale mondiale de la finance, la City est un des acteurs majeurs de la dérégulation financière, des bonus extravagants, de la culture du profit à court terme, de la fiscalité douce, mais aussi du secret bancaire, de l'évasion fiscale et du blanchiment d'argent. Bref, un paradis fiscal dont les agissements ont des répercussions sur l'ensemble de la planète et ses populations. Enquête sur une "vieille dame", fort peu respectable.

La projection sera suivie d'un débat animé par Antoine GIRARD avec Mathieu VERBOUD, réalisateur du film, et Gérard GOURGUECHON, du Conseil scientifique d'Attac et de la Fondation Copernic.

Rendez-vous Mercredi 11 janvier à 20h au Centre Culturel/Cinéma de La Clef
21 rue de la Clef 75005 PARIS
Libre participation aux frais

jeudi 5 janvier 2012

Projection du film "La Rue est à eux" vendredi 13 janvier à Tulle

Vendredi 13 janvier 2012, pour bien commencer l’année, Autour du 1er mai et Peuple et Culture vous donnent rendez-vous au cinéma de Tulle pour la projection de La Rue est à eux, un documentaire d’Isabelle Regnier, sur Rue 89, « site d’information et de débats sur l’actualité ». Isabelle est elle-même journaliste au Monde.

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Dans quel contexte a été réalisé ce film ?

Pour replacer ma démarche dans un contexte, il faut se projeter 4 ans en arrière, lorsque j’ai eu envie de réaliser ce documentaire. A la fin de l’année 2007, la presse papier traversait une grande crise, alors qu’au même moment foisonnait une nouvelle forme de journalisme : la presse Internet, avec notamment la création de Rue 89, Mediapart, Bakchich… Ainsi, alors qu’était ressenti au sein des équipes des grands journaux un sentiment d’angoisse et de peur, une nouvelle forme de journalisme se développait sur Internet, à l'initiative de journalistes issus de la presse papier, qui s'entouraient de jeunes qui eux n'avaient jamais travaillé ailleurs. Indéniablement, une nouvelle pratique était en train de naître, avec de nouveaux codes : un lecteur qui participe et donne son avis, des supports multiples (photo, article, film, dessin…), et des formats variés. C’est cette nouvelle pratique que j’ai voulu interroger.

Quelle a été votre approche de Rue 89 ?

J’ai alors choisi de travailler sur Rue 89, car, en 2007, lorsque j’ai été rencontrer l’équipe pour proposer et monter mon projet, un vrai côté « laboratoire » transparaissait : beaucoup de choses étaient testées, discutées, on modifiait, on retravaillait, je trouvais cette ambiance de travail particulièrement intéressante. J'ai eu envie de creuser.

Finalement, mon projet a un peu changé car, lorsque je suis revenue en 2009 pour filmer, le côté « laboratoire » était moins présent, et j’ai trouvé alors plus intéressant de questionner le côté « media participatif » dont se réclame Rue 89. La devise de ce site est « La Rue est à nous », j’ai voulu savoir ce qui se cache derrière cette phrase : qui participe, comment, quel est le nouveau rôle des journalistes, et celui des lecteurs.

On ressent une certaine tranquillité, une lenteur agréable dans vos images, vous avez pris le temps de filmer, vous êtes allée plusieurs fois à la rencontre des gens… Racontez-nous ce tournage…

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Oui, ce film a été réalisé dans la durée, j'ai tourné de mars à septembre 2009. Je me suis attachée à suivre le traitement des sujets dans la durée pour comprendre le fonctionnement de Rue 89. Par exemple, grâce à la grande disponibilité de Sophie Verney-Caillat, j'ai pu saisir une véritable expérience journalistique qu'elle mettait en oeuvre à l'époque, un travail au long cours mené auprès des salariés de l’usine Continental au moment où l'usine était menacée de fermer. Je faisais des allers retours entre la production de l'information et sa réception, en allant régulièrement prendre le pouls du côté des "riverains", comme on appelle les internautes de rue89. J'avais choisi deux des intervenants les plus célèbres du site, que je faisais se rencontrer à intervalle régulier dans un Internet café à Paris, et à qui je demandais de discuter de l'actualité, de son traitement dans la presse et sur rue89 en particulier, de leurs pratique de commentateur et éventuellement bloggueur sur Rue89.

Comment le film a été reçu par l’équipe de Rue 89 ?

Les réactions ont été diverses. J'ai raconté une histoire de Rue89. Il y en avait 1000 possibles. Certains ont apprécié mes partis pris, d'autres moins. L'effet de miroir déformant qu'ont pu produire mes choix a été je pense assez déconcertant pour certains. Au montage de fait, j'ai renoncé à beaucoup de choses que j'avais filmées, et que j'aimais bien. Sans parler du cas du journaliste qui ne m'a pas donné son autorisation de droit à l'image, de nombreux membres de l'équipe n'apparaissent jamais dans le film. C'était pour moi la manière la plus efficace de raconter une histoire, et de poser des questions sur le journalisme. Mais évidemment, cela ne pouvait pas donner, au final, une image objective et exhaustive de la boite. Ensuite, on peut se demander si une telle image est possible. Ce qui est sûr c'est que le film renvoyait une image très différente de celle, très urbaine, jeune, branchée (qui est de manière tout aussi légitime une image de Rue89) qu'ils renvoyaient d'eux-mêmes à l'époque via les réseaux sociaux. Si l'on ajoute à cela le fait que l'expérience de Sophie se termine mal, et que son sujet, "une vieille industrie qui se meurt" comme elle dit, n'est pas particulièrement emblématique de ceux habituellement traités par ce site, j'ai eu le sentiment que mon documentaire n'a pas forcément été facile à digérer par tous les membres de l'équipe. Ce qui me parait tout à fait normal. Rue89 est une petite boite, encore économiquement très fragile, à qui ses salariés donnent tout ce qu'ils ont. Je leur suis, pour cela, d'autant plus reconnaissante de m'avoir laissé les filmés. Sans compter que ce sont des journalistes, qui savent très bien ce que peut l'image. De leur part, c'était à la fois généreux et audacieux.

Aujourd’hui, il faut bien se mettre à l’esprit que même si ce film est récent, les choses ont beaucoup changé depuis, Rue 89 a beaucoup évolué, ils ont déménagé, d'autres outils ont été mis en place, l'équipe a été largement renouvelée... A l'échelle d'Internet, deux ans, c'est presque l'équivalent d'une génération. Ce film est déjà un film historique, c'est une photographie de Rue 89 à un temps T.

Nous vous donnons rendez-vous vendredi 13 janvier à 21h00 au cinéma Le Palace, à Tulle, pour la projection du film, qui sera suivie d'une rencontre avec Isabelle Regnier. N'hésitez pas à nous contacter pour tout renseignement complémentaire

Projection mensuelle de janvier de Sans Canal Fixe

Nous sommes heureux de vous informer de la reprise en 2012 des projections mensuelles organisées à Tours par Sans Canal Fixe, avec la projection, mardi 10 janvier à 20h30, de Salaam Isfahan, de Sanaz Azari. salam_isfahan.jpg

Sous le prétexte de prendre des photos des passants, la réalisatrice prend le pouls de l’Iran à la veille des élections de juin 2009 qui verront la reconduction de Mahmoud Ahmadinejad au pouvoir. Au cours de la séance photo, un dialogue s’engage qui permet aux personnages de se révéler subtilement. Le film trace le portrait d’une société avant, pendant et après les élections, courte période de rêves où un espoir de changement se dessine.

L'équipe de Sans Canal Fixe vous donne rendez vous Mardi 10 janvier à 20h30 au Café-Comptoir-Colette - (57 quai Paul Bert à Tours, en face du pont de fil)
Entrée libre

vendredi 2 décembre 2011

Mercredi 7 décembre : nouvelle projection organisée par Voir et Agir et Politis

Nous sommes heureux de relayer, comme à notre habitude, les informations à propos de la nouvelle soirée de projection organisée par Voir et Agir et Politis, mercredi 7 décembre. A cette occasion sera diffusé le film Merceron scop SA, de Gabrielle Gerll et Romain Lardot.

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Licenciés pour cessation d'activité de leur entreprise, vingt-huit ouvriers décident de reprendre à leur compte l'activité de carrosserie industrielle. Ils deviennent propriétaires à parts égales d'une Société Coopérative Ouvrière de Production (SCOP). Pendant deux ans, les réalisateurs vont suivre leur combat quotidien. Au-delà de la simple chronique des évènements, le film propose une réflexion sur la possibilité de travailler différemment, sur le rapport au travail et sur les représentations du modèle dominant. Une réflexion fort intéressante en temps de crise.

La projection sera suivie d'un débat animé par Antoine GIRARD avec Gabrielle GERLL et Romain LARDOT, réalisateurs du film, et Stéphane VEYER, entrepreneur-associé et gérant de Coopaname.

Mercredi 7 décembre à 20h
au Centre Culturel/Cinéma de La Clef
21 rue de la Clef 75005 PARIS

Libre participation aux frais.

lundi 28 novembre 2011

Proche Orient: ce que peut le cinéma, festival du 30 novembre au 13 décembre

Nous sommes ravis de relayer la programmation de la nouvelle édition du festival "Proche Orient, ce que peut le cinéma" qui se tiendra au cinéma "Les 3 Luxembourg" à partir de mercredi 30 novembre. proche_orient_festival.jpg

Moyen-Orient : ce que peut le cinéma présente la 5è édition de son festival à Paris dans son lieu habituel, les 3 Luxembourg, du 30 novembre au 13 décembre 2011.
Cette biennale lancée en 2003 durait alors une semaine ; en 2011 elle durera 15 jours. Chaque soir, un film et un débat illustreront la vie quotidienne et les conflits dans un des pays de la région. Les débats ont été planifiés par Dominique Vidal, journaliste au Monde Diplomatique et auteur. Chaque journée sera consacrée à un sujet, soit un pays: Irak et Kurdistan, Syrie et Liban, Israël, Palestine, soit un thème : le Printemps Arabe, les femmes, étrangers dans leur propre pays…
Leila Chahid, déléguée générale de la Palestine auprès de l’Union Européenne et soutien fidèle du festival, présidera une fois encore son ouverture et participera au débat ; elle sera rejointe par Yael Ben–Yefet, conseillère municipale de Tel-Aviv et activiste membre du mouvement protestataire des tentes. Un autre moment fort de cette quinzaine sera l’hommage rendu à Stéphane Hessel, plus jeune d’entre nous à 94 ans et présent à toutes les éditions du festival. Il est le sujet de deux films qui retracent sa vie et son œuvre. La soirée de clôture du festival sera consacrée à un hommage à Juliano Mer-Khamis, assassiné en avril 2011 devant le Théâtre de la Liberté dont il fut le fondateur. Plusieurs étudiants du théâtre seront présents, accompagnés par leur « tuteur », Udi Aloni, cinéaste engagé israélien et proche compagnon de Juliano, qui s’est chargé d’assurer la continuité des activités du théâtre.

Vous retrouverez très prochainement sur notre base les films projetés lors de ce festival, en attendant retrouvez toutes les informations et les présentations des séances ici.

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